La livraison de pizza
31 décembre 2020Elisa, 29 ans, découvre les plaisirs saphiques avec la livreuse de pizza. Et bien entendu, le voisin ne va pas en rater une miette !
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Décidément, depuis ce matin, la pluie tombait, fine et froide. Le ciel était d’un gris terne qui ne présageait aucune amélioration. Que faire par une telle journée ? Rester au chaud, avec un bon livre, une tasse de thé et des petits biscuits. C’était assez tentant !
J’ai pris une douche, je me suis fait une beauté. La vilaine météo n’était pas une raison pour me laisser aller ! Et, toute nue, je suis passée devant ma fenêtre. Je savais que le voisin d’en face ne perdait jamais une occasion de se rincer l’oeil : ma façon à moi d’entretenir des rapports de « bon voisinage ».
J’ai enfilé des bas blancs. La pluie a redoublé. J’allais patienter avant de sortir. J’ai mis mon doux peignoir de satin. Allongée sur le divan, un coussin sous la tête, je me suis plongée dans la lecture d’un roman. Midi approchait, l’éloge de la paresse. J’ai décidé de commander une pizza. L’annuaire, une pizzeria dans le coin, un coup de fil, et c’était fait.
J’avais la flemme de m’habiller, je me suis contentée de rajuster mon peignoir et de mettre un peu d’ordre dans mes cheveux quand j’ai entendu le coup de sonnette : cela devait être ma pizza. Je me suis dépêchée pour ouvrir. À ma grande surprise, sur le pas de la porte se tenait, non pas l’homme qui m’avait répondu au téléphone, mais une femme, la trentaine bien conservée, jolie, maquillée et avec un sourire splendide !
Je l’ai fait entrer, le temps de chercher de quoi la payer. « On dirait que vous avez les mêmes goûts en lecture que moi« , m’a-t-elle dit en se saisissant de mon bouquin. Et elle a continué : « Mais il y a un passage au début du livre que je voudrais vous montrer, j’aimerais avoir votre avis. » Elle ne semblait pas pressée, et moi, je m’ennuyais : ce petit brin de conversation m’allait !
Je l’ai invitée à s’asseoir sur le divan et j’ai pris place à ses côtés. Nous discutions, mais je voyais que son regard se posait sur moi, je sentais son attention se détourner vers l’échancrure de mon peignoir. J’essayais de le remettre bien, mais le satin est un peu rebelle. Je n’avais jamais connu de situation semblable, et ce n’était pas désagréable !
Je lui ai proposé de partager ma pizza et de se mettre un peu à l’aise. Elle a enlevé son blouson. Elle n’avait sur elle qu’un simple pull léger qui n’arrivait pas à cacher l’arrogance de ses seins. Les pointes semblaient crever le tissu. Et elle portait un jean moulant qui lui faisait une taille fine et des hanches épanouies. Pas mal la nana !
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Les rideaux étaient ouverts. J’ai tendu une part de pizza à ma charmante livreuse, sa main l’a repoussée et est venue se poser sur mon genou qu’elle a effleuré. Puis, doucement, elle a laissé courir ses doigts légers le long de ma cuisse, touchant à peine ma petite toison. J’étais curieuse de savoir ce qui allait se passer. Elle a fait glisser mon peignoir le long de mon épaule, pris mon sein qu’elle a dénudé et s’est mise à le caresser légèrement.
Sa bouche s’en est emparée, et sa langue a stimulé mon petit téton qui durcissait. De son autre main, elle faisait délicatement le tour de mon second mamelon. Ma chatte s’humidifiait. Elle a vu que je prenais du plaisir, et sa main est remontée pour se glisser entre les lèvres de mon sexe. Elle a vite trouvé mon clitoris qu’elle a fait rouler entre ses doigts. Mais moi, je voulais d’abord goûter cette bouche dont le sourire m’avait éblouie dès que je l’avais vu.
J’ai saisi son visage entre mes mains et je l’ai approché doucement du mien. Ma langue s’est glissée entre ses lèvres pulpeuses et lentement, j’ai fouillé sa bouche dans les moindres recoins. Nous étions drôlement excitées. Fébrilement, j’ai remonté son pull. J’ai jeté un coup d’oeil vers la fenêtre, mon vicieux de voisin retraité ne manquait pas à l’appel. Il allait faire une attaque !
Il pouvait voir deux jolis seins ronds et fermes, fiers, n’attendant que mes caresses. Sous mes doigts, ils étaient souples, chauds, parfumés. Ma belle amante a quitté son jean et son slip. Nos poitrines se frôlaient, s’écrasaient l’une contre l’autre. Puis nos sexes ont lié connaissance, ses poils doux se sont mêlés aux miens.
Mes doigts se sont faits inquisiteurs. J’ai trouvé le point sensible de son sexe, elle mouillait sur ma main qui a plongé en douceur dans son puits et l’a exploré. J’y ai introduit ma langue, afin de découvrir un autre goût que le mien ! C’était vraiment un plaisir nouveau pour moi. J’ai même osé pénétrer plus profondément cette petite chatte si agréable.
Mon voyeur pouvait à loisir lorgner sur la rondeur de mes fesses que je lui dévoilais sans pudeur. Pour l’exciter davantage, je me suis introduit un doigt par-derrière dans ma fente tout humide. Je l’ai sorti pour me caresser légèrement. Sous mes coups de langue, la charmante livreuse a joui longuement, avec des petits cris. Son orgasme a entraîné le mien, sublime de volupté.
J’étais encore dans la découverte de ce nouveau plaisir entre femmes quand son téléphone a sonné, comme un rappel à l’ordre. Il fallait qu’elle se remette au travail. Elle s’est rhabillée et m’a envoyé un baiser de la main avant de franchir ma porte.
Derrière la baie vitrée, je voyais mon voisin : il avait baissé la fermeture de son pantalon, ce qui me laissait deviner son membre dur qu’il branlait. En me regardant, son mouvement de va-et-vient s’est accéléré et il a éjaculé de longs jets sur sa fenêtre. C’était ma BA du jour !