Les leçons du sexologue

La rédaction 3 mars 2021

Carine, 45 ans connaît ma sa sexualité, elle décide de consulter un sexologue sur lequel elle flash. Ils vont très vite passer aux travaux pratiques…

Je m’appelle Carine, j’ai 45 ans et voici mon histoire des sexe.

J’ai pris la décision d’aller voir un sexologue. Je suis une quadra plutôt sexy, tendre, drôle, qui s’attache facilement aux hommes. Ils me le rendent bien, car je leur fais tourner la tête avec ma coupe courte brune et mes formes sensuelles. Même si je suis mariée, je m’autorise des écarts qui me semblent indispensables à mon bien-être.

Mon problème, c’est que je m’ennuie très vite au lit. Malgré mon âge, je me connais encore mal. J’ai l’impression d’avoir passé ma vie à faire plaisir aux garçons et pas vraiment à moi-même. J’ai donc voulu en parler avec un professionnel, pour essayer de voir ce que je pouvais faire pour reprendre possession de ma sexualité. Je me suis donc rendue au cabinet du sexologue le plus proche de chez moi. L’homme m’a reçu et là, évidemment, chose que je n’avais pas vraiment prévue, juste peut-être vaguement fantasmée : il était absolument renversant.

Un quadra comme moi, très brun, probablement assez poilu – j’adore ! – avec un sourire qui a tout de suite attrapé mon regard et m’a rendue captive de sa séduction. Il m’a demandé ce qui m’amenait ici et j’ai un peu bafouillé pour lui répondre. Je lui ai raconté ma vie sexuelle débridée. « Mais, le souci, c’est que j’ai l’impression de mal connaître mon plaisir… Malgré tous ces hommes qui me sont passés dessus. »

J’avais envie de provoquer quelque chose en lui, de le choquer. Je n’étais plus dans la résolution de mon problème, mais dans le désir de le séduire, de le faire flancher.

« Peut-être n’avez-vous pas encore trouvé celui qui laisse la place à votre désir pour qu’il s’épanouisse… » a-t-il soufflé en me fixant par-dessus son bureau.

J’avais tellement envie de lui dire : « Vous ne pouvez pas aller y regarder, vous, pour m’aider à trouver ce que j’aime vraiment ? »

Comme s’il lisait dans mes pensées, il a dit : « Si vous voulez, je propose un service de toucher pour développer les énergies. Rien de sexuel, mais cela implique un contact dans la pièce derrière mon bureau où nous pouvons nous installer sur un sofa prévu à cet effet. » Hum, il avait quand même de la suite dans les idées, le sexo ! Il n’était peut-être pas si sage que ça, lui non plus.

J’ai accepté et, au rendez-vous suivant, j’ai vraiment fait exprès de me saper comme jamais. J’avais mis une robe noire moulante, des bas, un string, un corset noir, des bijoux. Un avion de chasse, vous dis-je ! La tête qu’il a fait quand je me suis dévêtue dans la partie “massage” du cabinet ! Dans mon attirail, je me suis étendue sur le canapé couleur crème. J’ai cru qu’il allait m’engueuler et me dire de me rhabiller, mais non ! Il a fermé son clapet et a pratiqué des touchers sur différentes parties de mon corps, un peu comme de la kinésithérapie, pour dénouer des points de tension. Le frôlement de ses mains me donnait des frissons sur tout le corps.

Je sentais mes tétons se dresser et mon clito se durcir, alors que la détente m’enveloppait. À un moment, il s’est éloigné pour aller chercher une huile essentielle et j’en ai profité pour extraire mes seins du corset et écarter mon string. Qui ne tente rien n’a rien ! Je me suis mise à caresser ma fente et les plis de ma vulve, qui était trempée de mouille au point que j’avais peur de salir son canapé. Il s’est retourné en disant : « Mais que faites-vous ? » « J’essaie d’explorer les sensations que vous éveillez en moi… » ai-je tenté en continuant de me caresser. Ses yeux allaient de mon visage à mes mains qui jouaient. Il a pris des photos. « Au cas où vous me reprocheriez des choses ensuite… » Ça a encore plus mis le feu au plancher et je me suis caressée de plus belle. Il est allé se poster entre mes cuisses et, sans préambule, sa langue a remplacé mes doigts pour m’astiquer le clitoris. J’ai accentué mes caresses sur mes tétons pour qu’il voie l’effet qu’il me faisait.

Je l’avais donc moi aussi séduit ! Sa langue bougeait admirablement et provoquait un plaisir qui montait, tel une houle, dans mon corps. J’étais en pâmoison et je jutais… Il a viré ses fringues et s’est rapproché pour se mettre à la hauteur de mon visage, debout près du canapé où j’étais installée. Sa bite toute droite pointait directement vers ma bouche, alors c’est là qu’elle a atterri, la belle queue qui sortait d’un lit de poils noirs. Son côté animal me plaisait. J’ai saisi sa pine pour la déguster à mon aise. Voilà ce que j’aimais : un homme à l’écoute de mon plaisir et qui exprime le sien aussi, à coups de soupirs sonores, tandis que je repeignais sa bite de ma salive et de mes caresses. Il me surplombait et je voyais son corps poilu fondre sur moi, et son sexe lisse et rose pénétrer mes lèvres. Ma fente coulait, encore… Je me suis branlée avec ma main tandis que lui se soulageait dans ma bouche… Les tressaillements de son plaisir résonnaient dans les pulsations du mien sous mes doigts… Notre jouissance est venue quasiment en même temps et il m’a aspergée de son foutre… Pas super éthique, ce sexologue !

Mais moi, j’avais pris mon pied et j’avais aussi giclé sur son canapé… Il ne me restait plus qu’à tirer une conclusion de tout ça : ce dont j’avais besoin, et ce qu’avait révélé le sexologue, c’était de prendre en main mon désir et de suivre mon instinct.

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