Ca suce aux Alpes suisses 

La rédaction 10 août 2025

Gabriel, 51 ans, adore la baise avec sa sublime femme Grazielle ! Il nous raconte leurs ébats les plus chauds en vacances, à l’intérieur comme à l’extérieur !

Gabriel nous raconte son histoire de sexe amateur avec sa femme très coquine !

Enfin, j’ai l’autorisation de Grazielle de vous raconter nos vacances dans les Alpes suisses !

C’était en deux mille vingt-deux, nous sommes partis en voiture et ma femme ayant décidé que nous allions passer un séjour « sexe » a mis tout de suite en pratique sa résolution en me gratifiant d’une pipe magistrale pendant que je conduisais, déglutissant, de surcroît, tout mon foutre !

Une femme très chaude !

Les séances de fellations, du reste, ont été quotidiennes, dès le réveil, madame me prenait en bouche, nue dans le lit, croupe relevée et à disposition de mes mains fureteuses.

Ma gaule matinale n’était pas perdue pour tout le monde, Grazielle tâtait ma queue sous la couette et, la trouvant dure, elle se faufilait jusqu’au fruit de sa convoitise pour me régaler de sa langue et de ses lèvres onctueuses jusqu’à un feu d’artifice crémeux qu’elle s’empressait d’avaler avant même son petit déjeuner.

J’adore quand elle me pompe ainsi à l’improviste, encore plus si elle porte ses lunettes, cet air sérieux et intello, allié à sa technique parfaite, impossible de ne pas lui éjaculer puissamment en criant et en la maintenant par les cheveux !

Ma douce avait pensé à emporter toute une panoplie de dessous plus sexy les uns que les autres, des bas, des déshabillés, des strings qui en montraient plus qu’ils n’en cachaient pour ma plus grande joie.

Chaque soir, j’avais le droit à un strip ou à un défilé brûlant, je devais alors jouer les photographes ou les paparazzis, l’allumant de mon flash et capturant jusqu’au plus intime de sa féminité.

Randonnées coquines

Et que dire lorsqu’elle décide de tout montrer, de tout verser en offrande à mes regards fiévreux, de son sillon sucré et humide à sa petite pastille serrée qu’elle m’invite régulièrement à investir après s’être superbement enculée avec

Nous partions en randonnées, à travers les vaches et les alpages, au milieu de paysages époustouflants.

Quand, soudain, Grazielle laissait choir son sac à dos, relevait son tee-shirt et … abaissait son legging sous lequel la belle petite salope ne portait … RIEN !

Là, en grosses chaussures de marche, elle posait les mains à plat sur le sol, ce qui avait pour double but, un, de me prouver sa souplesse, deux, d’ouvrir les beaux melons de son postérieur ferme.

C’est au milieu de cette faune et cette flore verdoyante et exubérante que ma compagne m’invitait à la prendre, très souvent par le cul.

Sodomie dans la nature

Je ne saurais expliquer pourquoi, le sexe dans la nature la conduisait à me demander de la sodomiser, et avec une certaine brusquerie, qui plus est.

Elle écartait les globes charnus, poussait sur son troufignon, y glissait un doigt enduit de sa salive et réclamait une introduction anale profonde et sans plus de préliminaires que cela.

Elle en concevait des orgasmes dont l’écho se répercutait longtemps sur les parois rocheuses qui nous entouraient.

Elle se retournait alors pour me prendre en bouche, reniflant ma queue turgescente qui sortait à peine de son trou du cul brûlant, une femelle en chaleur, de je ne sais quelle espèce, n’aurait pas plus d’instinct animal.

Ayant identifié ses propres relents organiques, elle m’avalait loin dans le fond de sa gorge, me griffant les couilles et branlant mon manche en l’enserrant très fortement au niveau de la hampe.

Le résultat ne se faisait guère attendre et je déversais mon foutre en lui intimant l’ordre de tout laper et de ne laisser aucune souillure sur mon gland rose et gonflé.

Baiser partout

Le retour n’était qu’un jeu de ping-pong salace où nous débattions de comment nous allions recommencer cette danse sexuelle une fois arrivés à l’hôtel.

Le plus souvent, ma femme enfilait des bas, aucun de nous n’allions nous doucher, trop avides de nos fragrances puissantes, de nos odeurs musquées.

J’enfonçais mon nez, comme un chien sa truffe, dans les sillons interdits de Grazielle, cette dernière grognait de plaisir et d’excitation, écartant ses globes de ses mains pour me donner pleinement accès à son étoile.

Pour préparer le terrain, un jouet, mes doigts ou ma langue la léchant partout, et je pouvais de nouveau lui foutre mon pieu dans l’orifice de mon choix.

Je l’ai baisée, elle m’a baisé, me giclant sa mouille dessus et me réclamant mon sperme en éjaculations faciales, sur ses seins ou bien encore tout au fond de son cul incendiaire !

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