Une petite sodo après mes abdos ?

La rédaction 9 juillet 2020

Germain entretient son corps d’athlète et ne déroge jamais à sa séance d’abdos matinale. Lorsque la sœur de son coloc’ le trouve ainsi en plein effort, elle ne saura résister bien longtemps à l’envie, elle aussi, de gainer son corps… de l’intérieur !

Je venais de faire une vingtaine de kilomètres à vélo pour venir voir mon frère, Thomas, afin de discuter de l’organisation de l’anniversaire de ma mère. J’arrive à sa coloc’ à 10 heures pétantes, comme convenu, et je reçois un message de sa part au moment de sonner à l’interphone. « Désolé Véra, je ne suis pas chez moi ce matin, je viens de me réveiller dans le lit d’une charmante inconnue. Je prends un café avec elle et j’arrive… dans une heure environ? »

Il n’était vraiment pas sérieux ce petit frère, il aurait pu me prévenir avant. Hors de question que je fasse le trajet inverse. Je suis donc entrée chez lui (j’avais les clés) et je suis tombée nez à nez avec son nouveau colocataire, allongé sur le tapis, en train de faire un entraînement musculaire façon militaire, la musique à fond !

« Salut, je suis Véra, la sœur de Thomas.» ai-je dit poliment en posant mon vélo. Thomas avait déjà évoqué ce nouvel ami qui venait de Belgique et qui passait une année d’étude en France.

Mais il avait complètement oublié de me dire qu’il était archi-canon.

Le coloc’ a continué ses abdos et m’a répondu en me regardant droit dans les yeux « Salut, moi c’est Germain. » Imperturbable, il continuait sans sourciller sa séance, la musique toujours au maximum. J’ai trouvé ça un peu gonflé qu’il ne fasse pas un effort pour accueillir une inconnue, même s’il était en train de travailler son corps. « Et alors, rien ne peut t’arrêter?» ai-je dit en me positionnant face à lui sur le canapé, dans une position un peu allumeuse.

Il s’est arrêté net. Muet, attentif. Il s’est redressé sur ses coudes, semblant attendre avec beaucoup d’intérêt la suite des événements.

J’ai senti qu’il ne fallait pas le décevoir.

Alors, j’ai totalement improvisé. J’ai commencé par laisser traîner mes mains partout sur mon corps, rapprochant mes doigts de ma bouche, glissant négligemment l’autre main sur mon entrejambe. Le poisson était ferré, et quand j’ai relevé mon haut, lui dévoilant ma poitrine, il s’est figé. Je crois bien que sa respiration s’est même coupée. Il faut dire que j’ai reçu beaucoup de compliments sur mes seins et je sais qu’ils peuvent rendre certains hommes totalement fous.

Germain s’est alors approché tout doucement de moi et a tiré très lentement sur mon shorty en jean. Là, je l’ai aidé à me déshabiller et me suis vite retrouvée en string.

Il a joué un peu avec l’élastique tout en me dévisageant avec insistance. Il avait un regard très troublant, très pénétrant. Je ne connaissais rien de ce Germain, mais j’avais l’impression qu’il avait dû avoir de nombreuses expériences amoureuses.

Il restait calme, posé, et avec tendresse, il a posé ses doigts sur ma chatte, et a entrepris un léger massage de mon clito. J’ai fermé les yeux et basculé la tête légèrement en arrière. Je me laissais aller complètement. Nous n’avions qu’une heure devant nous avant que mon frère ne débarque, mais je présageais qu’elle allait être intense.

Ses doigts ont progressivement quitté mon bouton pour venir s’intéresser à l’entrée de mon vagin. Il en caressait les contours, laissant parfois un doigt se perdre à l’intérieur.

Puis il a glissé son doigt un peu plus en bas, à l’entrée de mon cul. Personne ne m’avait encore sodomisée et j’avais beaucoup d’appréhension sur ce passage. Mais ses gestes précis et délicats ont peu à peu apprivoisés cette partie de mon corps, me laissant offerte à tous ses désirs. Ainsi, j’ai laissé sa phalange s’introduire dans mon petit cul. Il était très précautionneux, manifestement très à l’écoute de mes réactions, analysant tous les effets de ses caresses sur ma personne.

Après avoir appréhendé toutes les courbes de mon corps, il a fini de me déshabiller et s’est ensuite dévêtu. Comment vous décrire à quel point son corps semblait avoir servi de modèle aux statues grecques ? Il pouvait être fier de son entraînement, cela portait ses fruits ! Son torse était plat et musclé, ses pectoraux puissants et le rebondi de son cul aurait réveillé la libido de n’importe quelle femme un tant soit peu hétérosexuelle.

Sa bite bandait déjà bien. Il s’est assis sur le canapé et, comme j’étais lancée en mode “grosse chaudasse”, je suis venue le pomper sans plus de ménagement. Il s’est laissé faire, trop heureux que l’on vienne s’occuper de lui sans avoir à le réclamer.

Sa queue était d’un calibre plutôt imposant, elle remplissait ma bouche sans ménagement ! Son gland, doux et lisse, fleurtait avec ma gorge.

Germain promenait de nouveau sa main près de mes fesses. Et peu à peu, mon cul allait à sa rencontre. Cette belle queue frémissante sous ma langue associée à ses caresses sur mon cul me faisait lâcher prise. Je me suis alors cambrée et un peu plus offerte pour qu’il puisse cette fois-ci aventurer son doigt plus loin.

Il savait y faire. Je ne sentais plus que ses doigts qui s’affairaient autour et dans mon petit trou avec une dextérité inimaginable.

« C’est la première fois par la petite porte? » m’a-t-il demandé à l’oreille.

Je lui ai répondu « oui » dans un grand tressaillement, promettant par là même que j’avais bien l’intention de le recevoir dans mon cul.

Germain est alors allé dans sa chambre pour chercher un tube de lubrifiant et en a badigeonné copieusement toute sa queue. Elle luisait alors, c’était parfait. Il m’a ensuite positionné sur le dos, les gambettes un peu surélevées et je gardais mes mains contre mon cul pour doser au mieux ses assauts. J’ai fermé les yeux, offerte, abandonnée. Germain a frotté sa bite entre mes fesses.

Puis, tout doucement, il a introduit son gland et m’a demandé d’une voix inquiète si tout allait bien. La sensation était folle. J’avais l’impression de ressentir les moindres détails de sa queue en moi. J’aurai pu dire avec précision combien de centimètres s’enfonçaient dans mes profondeurs. Germain, ravi de ma réponse, a continué sa lente progression afin de m’embrocher, jusqu’à la garde. Et peu à peu, il a augmenté la cadence.

Je sentais sa queue prendre possession de mon corps. De violentes déflagrations de plaisir envahissaient mon ventre. Ma chatte frémissait à chaque pénétration, frustrée de ne pas profiter de ce chibre puissant. Dans l’espoir d’attirer sa bite, ou même ses doigts, vers ma vulve, je me suis retournée pour me mettre en levrette et lui offrir tous mes trous, à la vue comme au touchée. Si mon cul était largement offert, ma chatte dégoulinait de plaisir, disponible elle aussi.

Comme entré en transe, il m’a bourrinée le cul comme pas permis. Avec une de mes mains, j’écartais un peu plus large mon orifice pour laisser à son diamètre le loisir de s’épanouir comme il le méritait dans mon petit cul. Germain avait les mains bien posées sur mes hanches et m’obligeait à adopter une attitude plus qu’indécente, le cul bien relevé et la tête baissée.

Puis, tel un judoka confirmé, il m’a prise tendrement dans ses bras musclés et m’a faite basculer sur le côté sans sortir sa bite de mon petit trou étroit. Quelle chorégraphie incroyable.

Maintenant que j’étais au-dessus de lui, je n’en menais pas large. Il me serrait bien fort dans ses bras et contrôlait toujours la pénétration. Il me pilonnait comme un forcené, son rythme s’accélérait.

Je sentais son pénis grossir à chaque mouvement.

Mon cul était comblé et je ne ressentais plus que du plaisir, beaucoup de plaisir en moi… Et tout mon corps en voulait encore. Il me soulevait doucement par la taille pour mieux me laisser retomber sur lui. Peu à peu j’ai senti une vague de chaleur qui partait de mes reins. Je l’ai laissée m’envahir, me submerger.

Je crois bien que j’ai eu un orgasme du cul !

Il m’a enlacée tendrement dans ses bras alors que mon corps tremblait encore de plaisir et de sensations fortes. Pour redescendre de nos émotions, nous nous sommes mis en 69. Je suçais tendrement la bite qui venait de me défoncer le cul avec talent, et Germain léchait ma petite chatte trempée de désir.

Je sentais sa langue récupérer toute la cyprine qui s’échappait de mon orifice.

Par moment elle s’aventurait un peu plus profond dans mon antre, et je voyais pointer en moi une nouvelle vague de plaisir. J’ai joui une seconde fois lorsqu’il a entré un petit bout de doigt dans ma vulve tout en en léchant le pourtour.

Il a patiemment attendu que je profite de ce nouvel orgasme avant de venir se branler juste au-dessus de mon visage pour se terminer.

Il a joui très rapidement.

J’ai alors récupéré son sperme avec mes doigts pour le déguster avec appétit. « Pas un mot à Thomas? » lui ai-je demandé, en me nettoyant les lèvres.Il a haussé les épaules d’un air entendu et complice.

Si mon frère Thomas m’avait vue avec la bite de son coloc’ dans le cul, je ne suis pas sûre qu’il l’aurait très bien pris. Mais pour moi, ce nouveau coloc’ est validé !

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