Essai privé

La rédaction 8 décembre 2016

Chauffer un client pour coucher avec dans les secondes qui suivent ? Le pari était risqué, surtout dans ma petite boutique de fringues, mais je m’en suis sortie comme une vraie pro !

J‘avais lancé un pari avec Maylis, ma meilleure amie qui était aussi vendeuse à la boutique. « Le prochain client potable qui passe, je me le fais ! »

Elle avait déjà réussi son défi lorsqu’elle tenait la caisse ce matin, elle s’était faite un beau black au rayon petites culottes. Là, c’était à mon tour de lui prouver que je pouvais aussi m’amuser sur mon lieu de travail. Heureusement, un des premiers clients qui a poussé la porte de la boutique était plutôt mignon. Pas incroyablement gaulé, mais ça ferait l’affaire.

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J’ai fait mon petit numéro de vendeuse lubrique et au bout de quelques minutes à peine, j’étais déjà en train de lécher la toile de son pantalon bien serré.

Il a d’abord eu l’air surpris « Madame, Mademoiselle… je… j’ai une femme… je ne crois pas… » Mais il s’est très vite tu alors que j’engloutissais bouche grande ouverte son membre tout dur !

Il me laissait faire, prisonnier de mes caresses buccales d’experte. Ce que je ne lui ai pas dit, c’est que j’avais moi aussi un petit copain, mais là, il s’agissait juste de garder la tête haute devant Maylis !
Le cochon se laissait docilement faire, couché sur le canapé qui servait à nos clientes pour qu’elles attachent leurs chaussures. Il ne disait rien, abasourdi par la vitesse avec laquelle nous étions passés tous les deux « aux choses sérieuses » alors que nous n’étions que deux inconnus. Quand il a repris ses esprits, il s’est enfin décidé à venir s’occuper de moi. Il léchait ma petite fente avec application.

Merde, mon mec ne me faisait pas autant plaisir à la maison ! J’avais l’impression qu’il découvrait avec sa langue les parfums de ma chatte, remuant toutes les lèvres pour découvrir de nouvelles saveurs. Il bavait bien sur mon abricot, je me sentais parfaitement lubrifiée, prête pour accueillir le diamètre conséquent de sa queue ! J’avoue que sur ce coup-là, j’étais tombée sur un phénomène plutôt rare.

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Mon étalon du moment m’a fait basculer sur le canapé. Il a remonté mes deux magnifiques jambes à la perpendiculaire, et m’a ensuite enfoncé son chibre sans plus de sommation.

Wouatch ! Ça avait quand même du mal à passer ! Il m’a arraché un petit cri au passage, trop difficile de se retenir face à ce beau 20 centimètres.

Pensez-vous qu’il se soit calmé une fois à l’intérieur ? Pas du tout, mon bel inconnu a accentué ses coups de rein comme un marathonien en plein sprint. J’écartais bien mes fesses pour lui laisser du passage et éviter que mon vagin ne le serre de trop.
Il est vrai que je n’avais pas fait de « quicky » avec mon copain depuis un bon moment, j’avais oublié à quel point ça pouvait être douloureux et inconfortable.

D’après le regard amusé de mon partenaire, ce retournement de situation lui plaisait beaucoup : « alors comme ça, tu veux me chauffer et tu te retrouves à douiller ? Mais attends ma petite, tu vas prendre aussi pour ma femme qui me refuse toute pratique qui s’éloigne du missionnaire… Tu t’es déjà fait enculer ? » Non, jamais à vrai dire, et cela ne me tentait pas plus que ça…

Mais enfin, impossible de le lui refuser, Maylis avait été très claire sur les règles du jeu de notre pari : il fallait que j’aille jusqu’à l’éjaculation. « Jusqu’à l’explosion de son foutre sur ta belle langue… » si je dois reprendre ses termes.
Bref, mon homme du moment qui était bien moins timide tout d’un coup, s’est allongé sur le canapé en me faisant signe de venir m’empaler sur son membre bien dressé. « Je veux que ton merveilleux petit boule d’allumeuse coulisse sur mon dard ». Aïe, je vais jongler.

Il m’a laissé y aller à mon rythme, heureusement. Je m’empallais avec une infinie lenteur, centimètres après centimètres. Mon sourire grandissait au fur et à mesure que mon cul s’enfonçait sur sa bite. Encore plus que quelques à-coups et j’arrivais à la garde. Ce n’était finalement pas si difficile que ça, et même plutôt agréable. « Bravo ma belle ! Pour une première, tu te débrouilles plutôt bien » m’a-t-il encouragé. Je me suis quand même retirée, j’avais peur de me déchirer quelque chose. Je lui ai expliqué que je faisais une petite pause mais qu’il aurait le droit de me défoncer le cul à sa guise dans quelques minutes.

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Ça a eu l’air de le rassurer, mais il a quand même ajouté « garde ton cul bien ouvert, je ne voudrais pas que tout le boulot que tu viens de faire parte en fumée ».

Écartant bien mes petites miches, je suis venu le pomper histoire de le faire patienter. Il me laissait tranquillement faire, les mains vissées derrière la nuque. Il se comportait vraiment comme un pacha maintenant qu’il savait qu’il avait les pleins pouvoirs sur moi.

Sa bite avait un peu le goût de mon cul, c’était très épicé…

Heureusement au bout de quelques coups de langue, le parfum s’atténuait et celui de ma salive reprenait le dessus. Mon anus était toujours bien dilaté, je me suis dit que c’était le bon moment pour reprendre notre folle enculade.

Je suis venue me remettre sur lui, m’agrippant à ses épaules puissantes. Lui m’a chopé par les fesses et m’a embroché d’un coup sur son membre ! Wouatch ! Il n’y allait pas de main morte. « Bon maintenant on passe à la vitesse supérieure » m’a-t-il prévenu.

Il m’a pilonné comme un forcené, j’avais l’impression d’être lancée sur un cheval en plein galop. Je dois avouer que j’avais tellement mal au début que j’ai cru tout devoir arrêter (et donc perdre mon pari) mais j’ai tenu bon, et au bout de quelques minutes, la douleur s’est dissipée laissant place au plaisir !

C’était d’ailleurs très déroutant de ressentir quelque chose à cet endroit-là, je ne savais pas que cet orifice, qui me procurait une sensation très modérée lorsque mon homme y glissait un doigt, pouvait être un puissant excitant. Il faudrait que j’essaie avec mon mec une fois à la maison, il va être tout content !

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Mon inconnu continuait sa cadence effrénée, je sentais dans ce petit trou étroit qu’il était sur le point de décharger sa sauce, sa bite était sur le point d’imploser.

Je l’ai arrêté tout de suite : « Nan pas ici, gicle-moi sur le visage, c’est mieux… »

Il ne se l’est pas fait dire deux fois, il est sorti de mon cul dans un – plop – et s’est tout de suite engouffré dans ma bouche. Beurk, toujours ce goût aussi amer. Pas grave, vu la grosseur de l’engin, ce n’était plus qu’une question de secondes…
3,2,1, larguez les amarres ! Cet homme, que je ne connaissais pas il y a à peine une heure, venait de décharger dans ma bouche ! Pari gagné, et haut la main !

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La rédaction


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