Faites monter la sauce !
11 mai 2015Carla s’est mise aux fourneaux afin de préparer une délicieuse sauce pour les spaghetti qu’elle compte servir à ses amies de fac. Mais lorsqu’Adrien, l’ancien locataire des lieux, fait son apparition, c’est une tout autre sauce que la belle va déguster !
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Ce soir, j’avais décidé de préparer une bonne sauce tomate “maison” afin d’accompagner le plat de pâtes prévu au dîner. Pour cette rentrée en fac, nous étions convenus de nous réunir avec quelques amies dans mon studio. J’étais tranquillement affairée dans la cuisine lorsque j’ai entendu les clés tourner dans la serrure. Comme mon copain était retenu pour la soirée à son cercle de poker, cela ne pouvait être qu’Adrien, l’ancien locataire, qui avait gardé un trousseau de clés pour finir de débarrasser ses affaires ! Il est entré dans la cuisine et m’a saisie par la taille pour m’embrasser dans le cou. Avec Adrien, on se connaissait super bien, mais il n’y avait jamais eu de sous-entendus entre nous ! Là, pourtant, il semblait chaud bouillant et j’avoue que moi, depuis ces trois années à l’université, j’avais du mal à rester insensible à son charme. Pour tenter d’apaiser la tension, je me suis proposée de lui faire goûter ma sauce tomate. Le gourmand a eu l’air d’apprécier, mais rien ne semblait vouloir l’éloigner du registre “sexe”.
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“Tu sais comment vérifier si tes pâtes sont cuites ? Il suffit de les jeter sur une surface lisse et si elles restent accrochées, elles sont prêtes !” Joignant le geste à la parole, il a lancé un bout de spaghetti sur ma poitrine en riant. “C’est bizarre, a-t-il commenté, les pâtes semblent loin d’être cuites et pourtant elles adhèrent sur toi ! Remarque, devant une si belle poitrine, je comprends qu’elles n’aient pas envie de se décrocher…” Les choses se déroulaient si prestement que je n’avais même pas le temps de réaliser ce qui se passait entre nous ! Mon mec pouvait rentrer à tout moment, mes invitées étaient sur le point de sonner à la porte pour notre petite soirée entre filles et pourtant, j’avais une envie folle de sexe ou plutôt d’un sexe, celui d’Adrien ! Mon regard devait parler de lui-même car le beau blond s’est approché davantage tout en susurrant : “C’est vrai que parfois, moi aussi, j’aimerais bien être un spaghetti pour pouvoir m’accrocher à ta sublime poitrine et jamais en décoller !” J’étais conquise…
Il a descendu la bretelle de ma nuisette rose et, de sa main, a commencé à pétrir mes gros nichons. Il n’a pu réprimer un “Whaouuu !!!” en découvrant mes seins sur lesquels il avait dû fantasmer depuis ces trois ans. Il était déjà trop tard pour faire machine arrière.
Malheureusement pour moi, il fallait faire vite car mes copines allaient arriver d’une minute à l’autre et je comptais bien découvrir Adrien sous toutes les coutures avant le début de notre petite soirée “spécial filles”. J’ai donc quitté le plan de travail pour passer la main sur la grosse bosse qui s’était formée dans le pantalon de mon beau mâle. J’ai rapidement sorti l’engin qui paraissait bien à l’étroit sous le tissu. Sa bite était grosse, épaisse… Un délice que je me suis dépêchée de gober afin de la déguster. Une goutte de plaisir perlait déjà de son méat et je me suis empressée de l’avaler, savourant ce nectar. À son tour, confortablement assis sur le plan de travail, le blondinet profitait maintenant de mes talents de suceuse “hors pair”, à en juger par les commentaires de mes précédents amants. J’avalais littéralement sa queue au fond de ma bouche jusqu’à m’en étouffer. Résultat, je bavais abondamment, ma salive dégoulinant sur cette longue tige tendue qui s’offrait à moi. Adrien gémissait alors que je gobais ses couilles bien pleines. Un régal !
Hummmmm… Adrien a juste eu le temps de se rhabiller et de filer que, déjà, mon homme débarquait pour “me faire un bisou”. Et vous savez quoi ? Il n’a rien trouvé de mieux que de me prendre sur le plan de travail. Décidément !