L’invitation au voyage

La rédaction 3 juillet 2025

Libertine et seule, Irina n’a qu’une envie, inviter un charmant garçon de ses connaissances pour un après-midi de sexe et de plaisir. Afin de multiplier ses chances de succès, la belle brune va envoyer plusieurs SMS à ses amants réguliers et attendre que « ça morde ». Surprise, quelques minutes plus tard, deux réponses arrivent simultanément, Thomas est libre, Julien aussi ! Qu’à cela ne tienne, elle convie les deux à la rejoindre !

Irina ouvrait grand ses deux yeux incendiaires, sa chatte s’était déjà transformée en une source chaude et liquide à la réception de la réponse de Thomas « Je finis un truc au travail et j’arrive ma belle, je bande et je vais te défoncer, j’ai terriblement envie de toi ! », assortie d’un cliché de sa queue en érection.

Elle était folle de sa bite, bien longue et d’une endurance incroyable. L’inondation de son petit minou n’avait fait que s’accentuer lorsqu’elle afficha le texto de Julien « J’étais sur la route pour rentrer, je fais demi-tour et suis là dans quinze minutes, attends-moi à poil, regarde ce que je te réserve ! » et ce fou avait, lui aussi, pris en photo son gros braquemart à un feu rouge !

Thomas arriva le premier, suivi de peu par Julien, les garçons furent légèrement décontenancés par la présence d’un rival, mais une mâle complicité s’instaura très vite autour de la bière fraîche que leur servit une Irina toute en beauté, vêtue d’un simple déshabillé et d’un joli tanga en dentelle noire.

La splendide brune se plaça judicieusement entre ses deux amants et leur laissa mutine-ment l’initiative. Elle n’eut pas longtemps à attendre, les deux membres de ce duo étaient arrivés avec chacun une énorme bosse qui déformait leur pantalon.

L’ambiance était clairement au débordement de testostérone et des mains masculines se posèrent très rapidement sur les délices tout en arabesque de son corps parfait.
Enlacée à Julien, la tête installée sur son épaule, elle laissa Thomas remonter la nuisette jusqu’à son sexe, les doigts tâtèrent le tissu et eurent la surprise de trouver une véritable inondation.

Irina reporta son joli minois sur son épaule à lui tandis qu’un Julien opportuniste s’accroupissait pour venir humer la vulve aux parfums capiteux qu’il connaissait pourtant si bien.

Il écarta la culotte d’un index bien décidé et le glissa sans plus de préambules dans la fente lubrifiée à l’extrême.

Il savait que leur amante n’avait rien contre les préliminaires, mais lorsqu’elle était dans cet état d’excitation, aller droit au but était ce qui la faisait chavirer à coup sûr. Il immisça son doigt un peu plus à l’intérieur de la cavité trempée et imprima des aller-retour très doux et très profonds dans le vagin ouvert. Irina ne fut pas longue à gémir et à se laisser aller dans les bras musclés de Julien, dans un accord muet, ils décidèrent de gagner la chambre à coucher de leur hôte.

Une fois allongé sur la couette, le trio reprit très vite ses attributions précédentes. Julien embrassa le cou suave de leur déesse commune tout en faisant glisser sa nuisette le long de ses épaules pour dénuder ses petits seins naturels et parfaits pendant que Thomas, toujours prompt à aller à l’essentiel, commençait à lécher la chatte baveuse à travers la dentelle avant d’écarter de façon autoritaire cette dernière pour libérer l’accès à tous les orifices, but ultime de ses caresses. Irina l’aida dans son entreprise en tirant sur le haut de sa culotte. Cette langue l’avait tant de fois portée aux nues qu’elle ne souhaitait qu’une chose, la sentir frétiller sur son secret.

Elle ne fut pas déçue, l’appendice minutieux cibla son clitoris qui bandait fortement, et elle sentit rapide-ment, de nouveau, un doigt investir sa grotte. Le combo la fit chavirer une première fois dans les abysses du plaisir, tandis que ses mamelons roses étaient pris d’assaut par la bouche de Julien qui avait une idée bien précise en tête.

Les garçons, d’instinct, tournèrent autour de ce canon qui ne désirait qu’une chose, leur donner son corps parfait en offrande.

Elle avait envie d’être possédée, de sucer leurs deux queues dont elle savait tout le potentiel orgasmique qu’elle pouvait en tirer. La bite de Julien émergea de son jean, elle affichait déjà une érection totale, il n’y avait plus qu’à l’enfourner au fond de sa gorge apprivoisée.

Le bruit d’un zip derrière elle la renseigna sur ce qui l’attendait alors qu’elle se lovait docilement en levrette.

La nuisette chiffonnée au niveau de la taille, son fantasme se matérialisait comme par magie, elle avait désormais le cul entièrement à l’air.

Elle écarta les fesses et, face à son visage, la tige de Julien sautait comme possédée par une danse de saint Guy. Elle n’eut qu’à entrouvrir les lèvres pour sentir le chibre investir sa bouche pleine de salive. Elle entama sa fellation avec application, le temps que Thomas sorte totalement sa belle bite de son slip et, sans sommation, la lui glisse intégralement tout au fond de la chatte. Ses seins, cônes parfaits, pointus et fermes, commencè-rent à ballotter, résultat de ses va-et-vient sur la queue qu’elle suçait et des coups de boutoir qu’elle recevait par derrière. Le moment s’étira.

Irina ferma les yeux, goûtant simultanément à la liqueur salée qui coulait au fond de sa gorge et aux assauts de plus en plus puissants qui lui dé-fonçaient le vagin. Elle percevait avec acuité les clapotis obscènes qui provenaient de sa conque en état de liquéfaction complète. Il ne lui en fallut pas plus pour profiter une seconde fois des dé-lices du paradis.

Julien lui pinçait la pointe des mamelons, Thomas lui enfonçait un pouce dans l’anus et lui titillait le bourgeon avec un doigt de l’autre main. L’orgasme la terrassa, toutes ses zones érogènes contribuant à ce second pinacle aussi rapide qu’inattendu. Elle était plutôt du genre « peine à jouir » d’ordinaire, surtout si elle n’avait pas un sextoy vibrant, sous la main et … sur le clito !

Tous ses territoires sensuels étant saturés, elle demanda d’autorité aux garçons de lui donner chacun leur bite à sucer. Les deux belles verges se matérialisèrent devant sa bouche. Elle entama ses mouvements de pompe, une aspiration sur une queue, une aspiration sur la seconde tout en masturbant lubriquement la tige abandonnée.

Les hommes suffoquaient de plaisir, contraints de limiter leurs caresses impatientes aux cuisses de leur naïade qui, maline et légèrement sadique, s’amusait à écarter les jambes impunément afin de leur exhiber, au plus possible, sa fente toujours aussi humide et tentatrice.

Irina ne se lassait pas de ces sublimes cornes d’abondance qui libéraient leurs sucs dans sa gorge. Elle en profitait pour distraire la pulpe de ses doigts sur les deux gros paquets de bourses qui étaient à sa portée. La double pipe dura le temps qu’il fallut à Irina pour récupérer, cette dernière sentant bien que les appétits de ses Apollons étaient loin d’être assouvis.

Julien finit par retirer son tee-shirt, laissant apparaître un immense tatouage de serpent qui lui entourait le ventre et le torse pour se terminer tout en haut de ses omoplates.

Affamé par les parfums irrésistibles de la chatte de la belle brune, il se glissa sur le dos afin d’approcher son visage de la jolie petite moule toute lisse.

Irina enjamba la tête, trop heureuse de goûter de nouveau aux délices d’un cunnilingus expert. Elle faufila sa main sur les ourlets de son sexe pour en écarter les lèvres et plaqua sa motte tout entière contre une bouche déjà ouverte. La sienne, dans le même temps, reçu également les hommages de la barre de fer de Thomas dont l’érection n’avait rien perdu de sa superbe.

La queue de son lécheur, elle aussi, s’offrait à elle. Elle allait donner tout de ses capacités dans cette nouvelle fellation en duo, à chaque gland son tour, à chaque couille d’être câlinée, dorlotée, sucée, aspirée, laissant les traces de sa salive onctueuse sur les scrotums et les hampes des deux hommes, variant les rythmes et les profondeurs d’enfouissement au creux de sa gorge selon l’intensité des gémissements de leur propriétaire.

Le ballet des langues se mêlait dans une chorégraphie parfaite. Le sillon d’Irina était soit lapé, soit aiguillonné, tantôt pourfendu pour être mieux pénétré, ou bien encore toutes les chairs de ses nymphes étaient avalées, clitoris compris, ce qui lui arrachait des cris d’orfraie aigus et emplis d’un appel qui hurlait « encore » !

C’en était trop, son prochain orgasme, Irina le voulait avec une bite, non, avec les deux queues en elle en même temps.

Leste et rapide comme l’éclair, elle abandonna les bâtons de plaisir qu’elle pompait avec de plus en plus d’énergie, pour chevaucher celui de Julien. Le pénis gonflé fut englouti tout de go, jusqu’à la garde ! Il sembla à Irina qu’il était encore plus gros et plus dur que la dernière fois qu’ils avaient baisé ensemble, mais elle n’eut point le temps de s’appesantir sur ce questionnement intérieur car le gland décidé de Thomas s’efforçait de franchir le rempart serré de son anus.

Pas plus fa-rouche du côté pile que du côté face, l’incendiaire totalement offerte poussa sur son sphincter secret tout en l’oignant de sa salive et de sa mouille, un trou du cul lubrifié est une garantie d’un trou du cul comblé … dans tous les sens du terme !

La bite força doucement sur l’œillet, le cercle se dilata tout en souplesse et bientôt le gland fut enfermé dans la chaleur ouatée et étroite de cette ouverture proscrite par une certaine morale.

Irina avait toujours adoré se faire enculer profondément, c’est elle qui recula son petit cul aux courbes parfaites pour s’empaler jusqu’à la garde sur l’immense tige masculine.

Les garçons usèrent alors d’imagination et d’innovation. Irina ne savait pas pourquoi, mais les hommes, quand ils la prenaient en double, avaient une tendance naturelle à l’enfiler l’un après l’autre.

Dès que l’un sortait de son vagin, le second lui possédait le cul de toute la longueur de son mandrin, mais cette fois ce fut différent.

Thomas et Julien, sans un mot, s’accordèrent au même diapason, poussant leur chibre respectif simultanément. La pression et la tension dans chacun des orifices de celle qui se donnait à eux étaient alors à leur comble ! Elle se sentait remplie, pleine comme si ses deux trous allaient ex-ploser. Elle percevait parfaitement les deux phallus congestionnés se comprimer et s’épouser à travers la fine cloison, puis un grand vide creusait ses entrailles, grand vide qui disparaissait aussitôt que Thomas et Julien la pénétraient de nouveau !
Aucune échappatoire possible, la montée du plaisir fut fulgurante et inarrêtable. Les deux gouffres envoyèrent des signaux très clairs, contractions, pulsions pour finir par une crispation si intense qu’elle en chassa les deux barreaux. Un jet de cyprine fuita de sa chatte tandis qu’elle se laissait aller à hurler son bonheur et son extase physique.

Pas question néanmoins pour les deux garçons d’en rester là, l’opportunité était trop belle. Irina flottait encore dans les nimbes d’un plaisir flou qui l’avait laissée pantelante. Quelle plus formidable occasion pour échanger les rôles ? Alors chacun prit possession de l’orifice occupé par son comparse quelques minutes plus tôt. Les chibres, de tailles équivalentes, ne rencontrèrent aucune difficulté à, de nouveau, s’insinuer dans les grottes sacrées de la brune enflammée. Sa peau douce les embrasait de désir. Les pistons se remirent à danser à l’unisson, ne ménageant aucun répit à leur proie consentante, de tout son corps et de toute son âme.

Et à scénario identique, conclusion similaire, cette fois-ci en deux temps. Une première vague de plaisir se concentra sur le sphincter, la seconde déferlante vint de son vagin et de son clitoris, comprimé sur le pubis de celui qui lui fouillait la chatte. L’orgasme déboula, fracassant tout sur son passage, la laissant exsangue et définitivement épanouie jusque dans toutes les fibres de son être !
Il était temps pour les garçons, à leur tour, de rendre les armes et de saluer la performance de leur amante par un flot séminal dont ils savaient qu’Irina était friande.

Néanmoins, Julien ne put s’empêcher de regoûter au fruit de la passion. Il raffolait de son goût suave.

Une langue sur le bourgeon nacré, un index velouté planté dans le gouffre satiné, bientôt rejoint par la main d’un Thomas qui ouvrait la conque trempée. Une ultime saillie pour faire monter la sève dans les deux sexes dressés.

Irina se laissait posséder comme une poupée de chiffon, incapable de repartir sur les chemins de l’extase, mais toute prête à faire offrande de ses charmes afin que ses deux bienfaiteurs giclent finalement leur semence sur ou en elle, peu lui importait.

Elle désirait juste les entendre râler, crier et les voir se répandre, trop heureux d’enfin éjaculer après cette orgie fabuleuse.

Irina trouva tout de même les ressources nécessaires pour ânonner sa dernière volonté de l’après-midi « Venez dans ma bouche, j’ai envie de vos foutres ! ».
La requête ne fut pas discutée. Les deux athlètes se redressèrent, vits en main, Irina se donna une fois de plus en spectacle, écartant les lèvres de son con, libérant son vagin, débusquant son anus afin de l’exposer à la vue des deux colosses en train de se branler, les yeux assidûment rivés sur le show torride qu’elle leur proposait.

Thomas craqua le premier, ayant juste le temps d’annoncer sa jouissance proche, les premiers jets crémeux fusaient de son méat. La première rasade atteint Irina sur la joue, elle ouvrit alors grand la bouche afin de recueillir la suite du flot saccadé. La liqueur était épaisse, abondante, presque mousseuse. Elle enroba sa langue de ce filtre d’amour et lapa les gouttes qui lui maculaient le visage pour finir par tout avaler.

Julien ne put se retenir plus longtemps et, à son tour, lâcha son foutre en geysers nerveux et puissants, visant l’interstice buccal qu’il toucha à au moins cinq reprises !

Les émissions étaient fournies, le sperme était sucré et très crémeux, il nappa tout le palais d’une Irina qui fermait les yeux pour déguster cette ambroisie.

Les deux saveurs se mêlèrent, envoûtant les sens d’Irina, ravie d’avoir mené ses deux baiseurs jusqu’à cette extase finale.

Elle se saisit des deux belles queues qui baissaient enfin pavillon, récoltant, au bout des glands sensibles, les dernières gouttes de leur miellat qui finissaient de s’épancher dans des râles gutturaux.

Elle dégusta jusqu’à la lie les semences, laissant les suprêmes arômes se fondre longuement, rêvant déjà de leur prochaine confrontation à trois.

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