
Mas(sage) mon cul !
26 juin 2025Éva a décidé de se lancer dans le massage à domicile. Pour débuter, son mari lui a proposé de s’exercer sur Alex, son meilleur ami, libertin comme eux. Il n’en fallait pas plus pour que cette première ne se transforme vite en un trio horizontal prouvant qu’Éva n’est pas douée que de ses mains. Orifices ouvrez-vous !
Lorsque Eva s’était résolue à percer dans le massage à domicile, elle n’avait rien négligé. D’abord un diplôme obtenu haut la main, puis elle avait acheté le matériel nécessaire, une table portative, des huiles essentielles et une enceinte pour la musique d’ambiance.

Quelques minutes de voiture plus tard, ils arrivaient tous deux dans la charmante maison du non moins charmant Alex, un ami de longue date, libertin comme eux, avec qui ils avaient l’habitude de baiser ou d’aller en club.
Au courant du projet de reconversion d’Eva, ce dernier était ravi d’être le premier testeur des nouvelles compétences de la belle brune incendiaire. Il se déshabilla donc derrière un paravent, en « conditions réelles », pour réapparaître, la taille ceinte d’une serviette rouge assez minimaliste. Il s’allongea sur la table et Éva commença à le masser avec douceur, mais beaucoup de poigne néanmoins. Elle passa en revue les bras, les reins, les omoplates, les mains, les cuisses fermes de cet amant bien connu avant de lui demander de se retourner sur le dos.
Comment s’attendre à autre chose qu’à l’érection d’un Alex visiblement très émoustillé par la situation, d’autant que Noé, assis dans le sofa juste à côté, avait sorti sa bite et se branlait nonchalamment, reluquant les dessous de la blouse de sa femme qui … ne portait absolument rien d’autre qu’un string corail miniature.
La suite allait de soi, la belle Eva poussa son rôle de masseuse dans ses derniers retranchements, saisissant la queue volumineuse de son patient priapique pour lui appliquer les meilleurs soins possibles. Elle débuta, tout simplement, par une masturbation légère, du bout des doigts, déroulant le prépuce au maximum afin de faire saillir le gland majestueux et rose vif. Le méat perlait déjà de gouttes transparentes. Elle se pencha pour goûter ce miellat.
L’huile masculine était subtilement salée et la verge sentait bon le tiaré, un véritable délice. Il n’y avait plus qu’à enfourner ce mastard qui bandait très dur désormais et, tout en suçant l’objet de son désir, qu’à s’occuper nonchalamment des couilles, blotties sagement dans le pli des cuisses, et qui n’attendaient qu’une chose, être léchées et câlinées à leur tour.
C’était le signal pour Noé, il se leva prestement et se libéra de ses vêtements avant de rejoindre sa femme et son amant, toujours en position allongée. Il approcha son sexe en érection de la main libre de sa compagne et cette dernière prit entre ses lèvres les deux pénis en alternance, une fellation bilatérale et sublimement bien exécutée s’en suivit. La bouche chaude d’Éva s’ourlait sur les couronnes des glands enflés. Sa langue sinuait sous les colonnes de chair et gagnait les bourses gonflées de jus.

Le sillon intime s’était mué en une rivière en crue. Le lit des grandes lèvres était inondé d’un sirop épais et huileux qui facilitait toutes les intromissions jusque dans le petit trou, jamais mécontent d’être, lui aussi, visité par quelques phalanges bien décidées.
Le trio abandonna la table de massage pour gagner le confort du sofa dans le salon.
On fit glisser le string du cul de la belle Eva afin de libérer tous ses accès sensuels, libération qui permit à Alex d’enfiler sa longue queue légèrement coudée dans le vagin de la belle. Aucune difficulté pour la pénétrer, sa chatte était trempée, ses nymphes gonflées et la cambrure de ses reins était telle, qu’il put se ficher dans le sexe humide jusqu’à la garde d’un seul coup.
Une bite en bouche, l’autre en plein va-et-vient sauvages dans son fourreau, la masseuse débutante montrait tous ses talents d’amante et de croqueuse d’hommes. Elle haranguait l’un, encourageait le second, se traitant elle-même et leur lançant qu’elle était « leur petite catin, leur petite salope qui allait leur vider les couilles ».
Les deux barres se raffermirent automatiquement à ces mots et les coups de boutoir que lui assénait Alex se firent subitement plus rapides et plus violents. Eva n’eut que le temps d’abandonner la queue de Noé pour exprimer sa jouissance pleine et entière. Langue pendante, yeux fermés, elle laissa ses cordes vocales hurler le pied fabuleux qu’elle était en train de prendre.
Alex poussa son avantage, basculant le corps délié en position de levrette. Il adorait cette variante pour la liberté qu’elle donnait à ses phalanges, qui pouvaient se concentrer sur les fesses et l’anus désormais totalement accessible.

Les garçons échangèrent alors leur rôle, Alex s’en remit à la bouche experte qui lapait dans le vide, impatiente de retrouver un beau chibre à sucer, tandis que Noé s’égarait dans les méandres vaginaux de sa compagne. Sa superbe masseuse de femme, il le savait, n’allait pas se satisfaire d’un seul orgasme.
Il sortit le grand jeu, acoquinant son bout gonflé sur le clitoris tout aussi enflé, faisant vibrer toute la longueur de son mât sur le sillon aqueux, pour finir par reprendre sensuellement possession du fourreau qui se refermait avec délice sur sa colonne bandée à mort.
Le plaisir vint plus lentement, mais déchira toutes les fibres charnelles d’Eva. Ses seins étaient le fruit de succions et de pincements appliqués et précis, son œillet était visité par plusieurs doigts et, lorsqu’elle entendit ses amants disserter de la suite et envisager comment Alex allait l’enculer profondément, tout chavira et elle fut emportée dans un tourbillon d’ivresse extatique.
Précautionneusement soulevé, son corps fut de nouveau changé d’orientation, ses fesses ouvertes en grand se retrouvèrent face à un Alex bien décidé à investir le sphincter ainsi exposé. Un crachat pile sur la cible, un pouce planté et tournoyant pour vérifier la dilatation du cratère et il introduit son braquemart tout entier dans le rectum de la brune qui cria de surprise et de plaisir.
La longueur de la bite la fouillait loin, la base du chibre, au fur et à mesure de la poussée, lui écartait le cul comme jamais, elle était au paradis, d’autant plus que son homme n’avait pas oublié de lui redonner sa sucette préférée.

De nouveau, Eva était repue comme elle aimait, la grosse queue d’Alex la sodomisait sans ménagement, et pendant ce temps-là, le pénis élégant de son mâle glissait tout au fond de sa gorge, des caresses éparses se diffusant sur ses hanches, ses fesses, son dos et ses seins voluptueux qui gigotaient au gré des coups de reins qu’elle encaissait dans son petit fion.
Elle n’eut pas un, mais deux orgasmes quasiment coup sur coup.
Cette expérience était chargée en érotisme et en images plus coquines les unes que les autres, et ces deux garçons savaient vraiment bien la mener sur les chemins du plaisir et du lâcher-prise absolu.
Lorsqu’elle eut son dernier voyage, Alex et Noé comprirent qu’il était temps pour eux d’en finir également. Chacun regarda son comparse se branler au-dessus du corps désormais amolli par les vagues libératrices. L’éjaculation de l’un, dans la bouche d’Eva, provoqua les giclées du second sur sa chatte et l’intégralité de son bas-ventre.

















