Bad boy rider very sexy

La rédaction 7 septembre 2018

Alexandre, surnommé Pégasse, est un motard aguerri. En plein été, il se rend à une concentration de bikers en Auvergne. En chemin, il prend une auto-stoppeuse prête à tout pour l’accompagner…

Les meufs n’ont jamais pu me résister. Mon côté bad boy, elles adorent. Et aussi, ma moto. Enfin, surtout ma moto. Il y a une vieille rumeur qui veut que les mecs à grosse moto en ont une toute petite. Je suis la preuve vivante du contraire. Cette légende, c’est peut-être vrai pour les kékés, les motards du dimanche en tongs, mais pas pour les purs comme moi.

Mon prénom est Alex, mais on m’appelle aussi Pégase, rapport au tatouage que je porte sur le bras. Celui-là je l’ai fait quand je me suis acheté mon premier engin. Depuis, j’ai eu quatre autres bécanes. Avec la dernière en date, j’étais fier de me rendre au mois d’août à cette concentration en Auvergne.

Et, bien entendu, sur la route, une bombe faisait du stop. Il faut que je vous explique si vous ne connaissez pas : nous, les motards, on a des fans. Les nanas sont limites prêtes à tout pour sortir avec nous. Et, quand, il y a des concentrations, ce n’est pas rare de se trouver une auto-stoppeuse canon qui a bien envie de jouer les SDS (ndlr : »Sac de sable », terme propre aux motards pour désigner une passagère). Ce jour-là j’ai ramassé Lucie sur le bord de la route. Une vraie bombasse. Elle en faisait un peu trop, mais elle était sacrément bonne, gros seins, bouche à pipes, la parfaite salope.

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Je lui ai dit de grimper, mais au lieu de s’asseoir derrière moi, elle est montée devant, jambes écartées, pour me faire face. J’avais tiré le gros lot. La chaleur était écrasante. Pour épater mon amazone, j’ai essoré la poignée (ndlr : accélérer). La belle n’avait pas peur. Elle s’est encore plus allongée vers l’arrière. Elle avait passé le test. J’ai enrhumé deux, trois chicanes mobiles (ndlr : doubler des voitures). Ma groupie avait déjà sa main sur mon entrejambe et elle pressait le tissu pour sentir mon bâton.

Excité comme un taré par cette grosse bonasse, j’avais peur de jardiner (ndlr : sortir de la route), mais je voulais lui prouver que j’assurais. Heureusement, c’est elle qui m’a dit : « Arrête-toi, bébé ». J’ai stoppé net sur le bas-côté et j’ai soulevé brutalement son T-shirt. Ses nibards étaient gonflés comme des gommards (ndlr :pneu), super ronds, avec des mamelons bien dessinés et des tits roses et érectiles que j’ai sucés et léchés. J’ai enlevé le jean de la groupie pour aller tâter de sa chatte.

Elle était bien mouillée la salope, prête à se faire défoncer le cul. Ca me plaisait.

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C’était tout à fait mon genre de meuf. Je l’ai fait se mettre debout pour l’ausculter en détail. Je  lui ai écarté les fesses pour me régaler de la vue qu’elle m’offrait. Elle avait des lèvres roses et bien ouvertes, et une chatte qui semblait très confortable. Son trou du cul était fin et délicat, impeccablement propre.

Je n’ai pas résisté, je l’ai léché en long et en large, tout en lui fourrant des doigts bien profonds partout. J’avais la bite bandée, prête à exploser dans mon jean, et je commençais à avoir chaud. Lucie aussi. Des gouttes de sueur perlaient en bas de son dos, juste à la naissance de sa raie fine et lisse. Elle bougeait du cul comme si j’étais déjà en train de la lui mettre, et mes doigts sont allés voir du côté de son bouton d’allumage. Je l’ai titillé en passant ma main par dessous. Comme ça, ma paume recouvrait toute sa chatte. Mes doigts sont allés jusqu’à sa vulve, où j’ai senti des poils assez longs.

Une caisse nous a dépassé et klaxonnés. Je ne sais pas si c’était pour nous saluer ou désapprouver, mais ça a fait redoubler mon érection. « Je veux que tu me prennes sur la moto », a couiné Lucie. Décidément c’était vraiment une pure fan de motards. Une petite que j’allais sûrement entraîner dans pas mal de mes virées. Elle s’est mise à quatre pattes sur la selle et m’a littéralement offert son cul. Je l’ai fait se retourner sur le dos, et je lui ai léché la chatte en lui foutant mon index dans le fion.

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Elle n’arrêtait pas de me dire : « Vas-y bébé, c’est bon, continue ». Alors, j’ai accéléré le rythme de mes coups de langue. Entre deux lapée de mouille acidulée, je lui balançais qu’elle était bonne, qu’elle allait prendre cher. Elle ondulait du bassin d’une manière tellement sexy ! Ses mains sont allées tâter ma braguette pendant qu’elle se relevait pour me rouler une pelle qui m’a allumé comme pas permis, et elle a pressé ma bite et mes couilles à travers le tissu épais de mon jean.

Ce jean, je l’ai déboutonné et je l’ai laissé tomber par terre. Ma tige nervurée avait gonflée sous le coup de l’excitation, mais Lucie avait un peu de travail à faire si elle voulait que je pète mon record.

Elle s’est complétement allongée sur le dos de la moto et elle m’a demandé de me rapprocher au maximum de son visage. Elle a commencé par frotter mon gland avec l’arrête de son nez et elle a fait un bisou au bout. Puis, elle a ouvert grand la bouche comme chez le dentiste avant d’enfourner ma tige. Elle enserrait la base de ma queue avec ses doigts forts aux ongles longs et carrés, et sa paume massait mes boules pendant qu’elle me donnait des coups de langue à faire gicler un puceau.

Ses lèvres jouaient avec la couronne de mon nœud, elle avait l’air de véritablement adorer bouffer mon bâton de chair. Moi, je sentais le sang affluer vers le bas. Ma bite durcissait à vue d’œil, et j’ai décidé qu’il était temps que la brunette y passe.

J’étais super énervé, j’avais bien envie de me la taper, façon motard en colère. Je l’ai portée pour la soulever, je me suis assis en dessous d’elle et je l’ai vissée sur mon tube.

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Ca a glissé comme dans du beurre. Lucie était un poids plume, je l’ai manipulée comme un pantin désarticulé. Je la soulevais et je la faisais redescendre sur ma tige. Je la poussais vers l’avant et je la balançais vers l’arrière pour changer mon angle de pénétration. Ma queue cognait contre les parois fines de son vagin, et je sentais juste derrière que son entrée rectale m’attendait, elle aussi.

J’avais très envie d’éjaculer, mais j’ai calmé le rythme. Je voulais me l’enculer d’abord. Je l’ai dévissée de ma tige après quelques coups de riens supplémentaires, et j’ai poussé sa tête vers mon membre dur comme du béton pour qu’elle me suce. Elle a bien obéi. Je lui tirais les cheveux pour qu’elle garde le rythme. Elle a eu un petit sourire complice, elle aimait bien que je lui fasse des trucs sauvages. Finalement, je lui ai dit que je comptais la lui mettre dans le cul. Elle m’a demandé d’y aller doucement. Tu parles.

Je n’avais qu’une envie, c’était de lui exploser le pot d’échappement. D’autant que, j’en étais sûr, elle n’en était pas à sa sodomie d’essai…

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Je me suis assis à califourchon sur ma bécane et je lui ai proposé de monter sur ma bite. Elle s’est placée bien au-dessus et, lentement, elle a abaissé sa croupe sur mon mastard qui ne baissait pas la garde. Ca a glissé avec difficulté, mais j’ai réussi à placer mon zob tout au fond, dans sa caverne brûlante. La SDS me regardait droit dans les yeux. J’ai mis la poignée dans la coin (ndlr : accélérer), j’avais l’impression de faire une course de moto.

J’allais de plus en plus fort, de plus en plus vite. Elle s’accrochait à mon cou pour qu’on prenne ensemble les virolos. A un moment, je me sentais proche de décharger dans son conduit, mais je voulais qu’elle jouisse.

On a une réputation à tenir, nous, les motards. Plus on est bons, plus ça attire les gonzesses. J’avais une lourde responsabilité. Toujours au fond de son cul, j’ai pressé un de ses nichons et je l’ai pompé comme si je voulais boire à la tétée. Une de mes mains est allée lui chatouiller le clito. Elle a crié, un cri perçant, puis une succession de râles. Son corps était agité de spasmes de plaisir. Son anus s’est tellement contracté au niveau de l’anneau que c’est parti automatiquement. J’ai recouvert ses parois lisses de mon sperme chaud. Cette meuf était vraiment une reine. Du coup, je l’ai emmenée à la concentration. Et la belle, pas farouche, a bien aimé mes potes aussi…

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« Elle était superbe. Elle est allée direct à quatre pattes à l’intérieur. Je me suis délecté de sa petite chatte que j’ai suçotée comme un bonbon acidulé avant de passer à sa mignonne rondelle. Elle a joui avec un petit cri étouffé, hyper sexy ! Puis, brutalement, elle m’a allongé et elle a sorti ma queue pour la branler. » Adrien, 27 ans. musicien, Internet.

« J’ai engouffré sa queue comme une gloutonne. Pour le faire durcir à fond, j’ai pris toute sa tige dans ma bouche, ça m’a fait déglutir… » Deborah, 27 ans. 

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