Sport…en chambre !

La rédaction 16 décembre 2018

Elle m’avait toujours plu, je devais bien le reconnaître, mais les histoires avec les clientes, je savais très bien comment ça se terminait. En plus, je ne tenais pas particulièrement à me traîner une réputation de baiseur de belles oisives. Pas très bon pour le business tout ça. Bref, j’ai encore craqué… Ce n’est que la troisième fois que ça m’arrive en quinze ans, mais au fond de moi, je sais que c’est une forme d’échec. Mais bon, l’échec n’était pas si pénible ! J’étais tranquillement en train de lui faire reprendre sa position à l’horizontale quand j’ai vu son petit abricot qui me faisait de l’œil sous son microshort de sport. Il émanait d’elle une odeur qui ne pouvait pas tromper sur son état.

Elle savait que j’avais vu et je savais qu’elle le savait. Et ça aussi, elle le savait. Son regard s’est troublé. Tout était clair tout à coup. Ma main est descendue le long de ses cuisses soyeuses. Elle a écarté les jambes pour accueillir ma caresse.

J’ai massé son entrejambe déjà brûlant de désir. Elle avait de la fièvre. Il fallait administrer un traitement d’urgence… Peut-être du bouche-à-bouche. Nous nous sommes embrassés comme des fous. Nos dents s’entrechoquaient dans l’émotion, dans la libération de nos envies.

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Puis, j’ai voulu lui faire du bouche-à-bouche autre part… Je n’ai jamais été très bon en secourisme, si bien que je me suis retrouvé en train de lui laper le petit trou. Son cul se cambrait sous mes coups de langue et appelait de ses vœux une exploration de plus en plus profonde.

J’ai écarté bien fort les deux joues de son deuxième visage et j’y ai trouvé beaucoup d’émotion.

Sa chatte coulait tout le long de ses cuisses. Son sillon était ouvert, sa fente palpitait. Le petit fruit rouge était si beau. Son corps entier était un cri de jouissance, un hurlement de loup affamé. Elle m’inspirait tellement de saloperies avec sa plastique parfaite et sa musculature d’Amazone.

Elle aussi avait de la suite dans les idées d’ailleurs… Elle a voulu continuer ses exercices pendant que je la cajolais… Elle a choisi les armes et je me suis mis à l’ouvrage. Je voulais faire chavirer ses sens, tel un naufragé qui trouverait des vivres échouées sur la plage après avoir écrasé son navire sur un rocher turgescent.

Sa chatte était une gourmandise, un vrai bonbon au bon goût de fille facile. Cela sentait la petite sueur toute fraîche et le gel douche du matin. Cette femme était une fleur. Je me suis jeté sur son petit bouton avec une énorme fringale. Elle a tout de suite posé sa main sur ma tête pour m’écraser le visage contre son ouverture affamée.

J’ai léché, avide, tout le nectar qui s’échappait par cette petite porte du paradis. Elle coulait sous mes lèvres. J’ai baladé la pointe de ma langue tout autour de ses grandes lèvres, puis je suis remonté tout le long de son chemin d’amour jusqu’à son mont de Vénus. Je suis revenu sur son clito tout gonflé de plaisir.

J’ai léché avec la partie la plus râpeuse de ma langue, j’étais un chat qui démontre toute son affection avant de vous délaisser sans remords. Essayez de le retenir, vous prenez un coup de griffes. Mais quand il vous réserve son attention… Quelle joie, quel instant précieux !

Et j’avais décidé de la gratifier de la totalité de ma concentration, de mon savoir-faire… J’ai senti ses mains se crisper sur mon crâne. Elle a joui en poussant un petit son rauque.

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Immédiatement après, elle m’a basculé par terre, sur une autre machine à abdos. Elle s’est empalée sur ma queue. La chaleur de son minou était délicieuse. C’était moite et elle épousait parfaitement les contours de ma verge. Je me sentais comme massé par ses parois brûlantes.

Elle se servait des manches de la machine pour faire balancier sur ma tige. Je n’avais qu’à me laisser faire et c’était plutôt agréable ! Toute sa sauce de coquine me dégoulinait sur les bourses. Cela ajoutait encore à mon excitation et j’avais déjà peur de jouir, elle m’avait trop stimulé, la cochonne ! Il était temps pour un petit changement de terrain…

Je me suis collé derrière elle pour la baiser en levrette, ce qui me permettait de reprendre le contrôle sur nos mouvements tout en faisant une petite pause.

J’ai retrouvé son fourreau chaud comme une étuve avec la satisfaction de celui qui revient au foyer après une longue journée de travail. Nos membres étaient vraiment faits l’un pour l’autre, c’était incroyable.

Ce genre de moment qui vous donne envie d’y croire, vous voyez… Je serais bien resté toute ma vie dans ce petit bout de femme aux ailes d’ange.

J’ai pincé ses fesses entre mes mains pour mieux la pilonner. J’étais chargé d’électricité, une vraie mule enragée ! Je la bourriquais au maximum.

Ma jolie cliente couinait, la bouche grande ouverte, et plus je lui pinçais le fessier, plus elle paraissait aux anges. « Han han han ! » J’aimais très fort cette petite musique si répétitive et entraînante.

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Je dansais en elle avec la vigueur d’un jeune homme et l’expertise d’un gars solide qui en avait vu d’autres. Ses ailes d’ange se tordaient sur son dos, j’avais l’impression qu’elle allait prendre son envol… Mais vu comme je la clouais au sol, elle avait intérêt à donner de sacrés coups d’ailes pour nous faire décoller tous les deux.

J’ai attrapé ses seins joliment refaits qui battaient la cadence. Son corps était doux et chaud, un peu humide. Quelle carrosserie !

D’être collé de la sorte tout contre elle, des idées me venaient… Après tout, j’avais bien préparé sa petite entrée des artistes en amont… Je me demandais comment cela pouvait bien être dans ce conduit marron. Je me suis relevé derrière elle sans sortir de sa chatte et j’ai ralenti la cadence.

J’ai contemplé son petit pruneau adorable. Elle lisait dans mes pensées et le faisait se resserrer sous mes yeux. Un appel, une supplique… Oui, il allait falloir que je l’encule. Très, très fort. J’ai collé un doigt dans le petit trou serré. Elle l’a accueilli d’un « haaannn » tout aussi lascif que les précédents, mais plein de promesses.

Je l’ai installée sur moi pour lui offrir une sodomie de prof de sport. Un truc à pas dépasser la dose, un vertige de l’amour à vous faire éclater le cœur.

Elle était mon jouet, je l’ai fait basculer lentement sur ma hampe. Son cul était, évidemment, un véritable parc d’attractions. Nous étions positionnés dans un axe qui ne souffrait aucune incartade, pas d’écart ! Le piston était en état de marche, et la petite en prenait pour son grade. Haut, bas, haut, bas… J’étais une machine. Mon manche était en acier trempé et son cul n’était plus qu’un engin à coulisse.

J’allais tout au bout d’elle et sentais son délicat anneau qui venait faire la bise à mes couilles à chaque nouveau coup de reins. J’ai ralenti pour bien déguster tout son couloir à lentilles. Elle avait une grande agilité pour le comprimer et me faire sentir très à l’étroit là-dedans… Je sentais les affres du bonheur qui me remontaient dans le bassin, je n’allais plus tenir longtemps.

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Changement de tactique, elle serait mon écrou et je serais sa vis. Je l’ai fait pivoter sur moi. Un bon petit exercice pour faire travailler les muscles abdominaux latéraux. Je la balançais de droite à gauche, lentement. Je sentais son cul à bout de souffle qui étouffait mon sexe tel un boa constrictor. La belle avait une endurance impressionnante. Elle soufflait fort. Elle était un peu rendue, tout de même… Et moi aussi, j’étais arrivé au bout de sa nuit.

Je l’ai soulevée pour la remettre face à moi. Je suis revenu dans sa rosette. C’est entré comme dans du beurre. J’avais sa belle poitrine face à moi. Elle a décidé de bien terminer notre folle cavalcade. Elle tirait son cul à fond pour vraiment m’ouvrir toutes les pièces de son manoir musqué. La visite de la propriétaire était presque finie !

Elle a remué son popotin et me couvrant de saloperies : « Casse-moi le cul pour de vrai ! Vas-y bordel, pète-moi bien la rondelle merde ! » Voilà qui me changeait de son attitude de petite bourge habituelle… Mais le contexte avait quelque peu évolué, il est vrai… Je n’en pouvais plus, j’avais vraiment envie de lui repeindre la chambre côté cour. Son rez-de-jardin était en pleine action quand j’ai soudain tout lâché. L’orgasme a été fulgurant, j’ai vu des éclairs passer devant mes yeux qui étaient fermés. Elle a crié en se crispant et son cul s’est dilaté totalement.

Ma queue a été recrachée, dans un bruit liquide et venteux… Pas si bourge finalement !

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