Mon rectangle de poils
24 septembre 2019Line, 37 ans
Je suis une femme de 37 ans et je suis particulièrement à l’aise avec mon corps. J’aime qu’il soit observé, photographié, vénéré. Et il y a une chose à laquelle je tiens en particulier dans ma nudité, c’est ma pilosité pubienne. Je ne comprends pas la mode des chattes rasées et épilées, exposées aux quatre vents. Alors, je n’ai pas de motte de poils ou de touffe à proprement parler, mais j’aime laisser un liseré de velours sur mon sexe, une toison qui recouvre mes lèvres et mon mont de Vénus, que je taille à l’aide de ciseaux pour y voir un peu plus clair. J’aime mon minou ainsi, qu’on puisse le deviner à travers les poils, mais qu’il conserve ce duvet noir qui protège ma peau et le décore joliment. Je suis très attachée à ce rectangle sombre et je le défends bec et ongles. Mes partenaires l’aiment aussi à vrai dire, ils aiment en sentir le contact, à la fois doux et rugueux.
Mon amant du moment, Pierre, en est particulièrement friand. L’autre jour, il m’a proposé de le photographier sous toutes les coutures pour interstron.ru. Il s’est mis à caresser ma petite colline herbeuse de ses doigts délicats, éprouvant sa texture, son toucher, et stimulant ma peau et ma vulve par la même occasion. J’aimais le fait que ma foune lui plaise et cela suffisait même à me faire mouiller. Il a joué avec son doigt sur mon con pour l’éveiller un peu plus à chaque pression, le testant, le faisant frissonner, agaçant le bouton, trempant une phalange à l’entrée du vagin. Je me suis mise à le sucer car j’étais très excitée par ses attentions. Il m’a prise en photo en train de m’occuper de lui. Sa queue était tendre sous ma langue et j’aimais aussi qu’il ait gardé des poils à la base de son sexe, que je caressais de mes doigts tout en le suçant.
Lui aussi s’est mis à me lécher, à promener sa langue sur ma fente et le liseré de poils qui la borde devait peut-être lui picoter la bouche. J’adore quand il me lèche, j’ai tellement de sensations ! Parfois, plus que le simple bout de sa langue qui léchait mon clito, il posait sa bouche en entier sur tout mon sexe pour s’imprégner de son volume, de son odeur et de son goût. Et moi je regardais son visage entre mes cuisses et je jouissais de son évident plaisir à me goûter tout en le prenant en photo à mon tour. Puis nous nous sommes mis à baiser, je l’ai attrapé dans ma chatte poilue et, là aussi, il a voulu photographier sa bite en train de s’enfoncer dans ma fente finement soulignée par ma toison. Je me suis postée accroupie au-dessus de lui et je tenais mes cuisses par en dessous pour bien dégager mon sexe et qu’il ait une vue plongeante sur sa queue en train de m’envahir entre mes lèvres fines et délicates, encadrées de leur barrière de protection. Puis nous avons posé l’appareil et je me suis mise à accélérer les mouvements sur sa bite, en étant toujours au-dessus de lui, à descendre et à remonter sur sa tige.
Son chibre me remplissait délicieusement, parfois, je le sortais pour le frotter contre ma chatte, mon clito et ma fourrure, avant de l’engloutir à nouveau. Je me suis fait jouir ainsi, en agitant sa queue sur mon bouton comme un vibro, avant que lui vienne à son tour pour déverser son foutre en moi. C’était un moment sensuel et je chéris mes poils qui gardent l’odeur de son sperme après l’amour.
(Image à la une : Getty Images)
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