Roman à la feuille de rose

La rédaction 21 mars 2019

Aurélie, 26 ans, Toulouse.

Moi, c’est Aurélie, 25 ans, coquine toulousaine. Coquine avec un grand C, comme pour caresse, clito ou cul, mon mot préféré !
Je suis une passionnée de belle littérature, au point que je suis devenue prof de français. En août dernier, j’ai pu m’adonner à mes deux plaisirs favoris : la langue française et celle qu’on glisse dans tous les recoins…

Chaque été, je file dans les Landes où j’organise un petit festival de littérature avec des vieux copains de fac. On reçoit des auteurs du monde entier qui viennent parler de leurs ouvrages, on organise des ateliers d’écriture, des conférences… Et en plus d’être un moment culturel formidable, c’est un lieu de rencontres idéal ! Cet été, la plus belle a été Matt, un bel américain dont j’avais adoré le dernier roman. Il commençait à être assez connu, et j’ai été très étonnée quand son attachée de presse a répondu à mon invitation. Matt se disait, d’après elle, « honoré d’être convié à notre festival ». Le jour J, je suis allée le chercher à l’aéroport de Bordeaux, excitée comme une gamine et encore toute surprise qu’il débarque dans notre petit coin du Sud-Ouest. Quand je l’ai enfin aperçu, je n’ai pas pu me retenir de me mordre les lèvres : il était encore plus beau qu’en quatrième de couverture de ses bouquins…
Grand, les yeux bleus, le menton volontaire, il était taillé comme les acteurs de mes films préférés – épaules carrés, pectoraux d’enfer, il était d’une virilité impressionnante. Je le savais aussi doté d’une grande sensibilité : ses histoires d’amour étaient belles à pleurer. Bref, j’avais en face de moi l’homme idéal, celui qui vous met des fourmis dans le cœur, mais aussi entre les cuisses.
Malgré mon niveau d’anglais médiocre, j’ai réussi à tenir la conversation pendant le trajet jusqu’au festival… et à comprendre les allusions de Matt, qui était venu pour « vérifier que j’étais aussi charmante que sur les photos d’Internet ». Incroyable : mon auteur chéri était assis dans ma voiture et en plus il me draguait !

Les trois jours du festival ont été un rêve : l’écrivain et moi ne nous quittions pas d’une semelle. Pourtant, jamais il n’allait plus loin qu’un flirt autour d’un verre ou de longs regards pendant une conférence. J’ai cru qu’il souhaitait simplement jouer. Mais le dernier soir, alors que toute l’équipe fêtait la fin du festival dans un bar, Matt m’a enlacée et m’a murmuré en français : « Viens avec moi à l’hôtel. ». Enfin !
Quand nous nous sommes retrouvés dans sa chambre, plus besoin de mots. Matt n’a décollé sa bouche de la mienne que pour m’arracher ma robe. Il m’a ensuite allongée sur la moquette et a parcouru mon corps de baisers brûlants. Je poussais des gémissements profonds à chaque fois que sa langue soyeuse venait lécher mes seins, l’intérieur de mes cuisses, et c’est en hurlant que j’ai accueilli sa langue dans mon sexe.

J’ai joui en miaulant de plaisir et sans même avoir le temps de me remettre, j’ai senti mon amant m’allonger sur le ventre, sa langue fouillant de plus belle en moi. Mais cette fois-ci, par-derrière. Une chaleur délicieuse m’a envahie, et j’ai bien cru perdre connaissance pendant quelques secondes tant les sensations étaient intenses. Matt était à bout de souffle, le visage plongé dans mon cul. Il s’est enfin redressé et m’a montré le lit.
Je suis allée m’allonger entre ses draps qui sentaient un mélange de sueur et de parfum au santal. Surexcitée, je fermais les yeux et l’entendais à peine fouiller dans sa valise. Quand j’ai rouvert les paupières, j’ai vu que Matt avait déposé sur le lit deux jouets. « Lequel ? », a-t-il lancé avec son accent so sexy. J’ai choisi celui qui ressemblait le plus à un vrai sexe, imaginant déjà la sensation que j’allais ressentir quand mon bel écrivain écarterait mon con avec.
Il s’est alors saisi de l’objet et l’a enfoncé sans ciller entre mes lèvres. Un délice… Matt allait et venait avec le sextoy tout en léchant assidûment mon cul, avec plus d’ardeur encore lorsque ma chatte laissait échapper des bruits de succion. Enfin, je me suis sentie prête : j’ai posé mes mains sur mes fesses et j’ai ouvert en grand. Matt a dardé sa langue aussi loin que possible, la faisant entrer comme dans du beurre chaud.

Je me suis laissé enculer comme une petite chienne, en levrette, le nez dans les coussins, pendant que Matt malaxait mon petit cul bronzé de ses grandes mains. Du bout des doigts, j’ai attrapé le gode resté dans mon con et je l’ai fait coulisser entre mes lèvres juteuses. La queue de mon américain emplissait totalement mon fion, ma chatte ruisselait de mouille… Quand enfin Matt a été au bord de jouir, j’ai arrêté de me retenir : j’ai laissé éclater l’orgasme qui m’a frappée comme un éclair. Foudroyée de part en part, j’ai laissé l’écrivain se vider au plus profond de moi.
Nous n’en sommes pas restés là : prise tantôt par-devant, tantôt par-derrière, j’ai accueilli mon étalon pas moins de trois fois cette nuit-là. J’ai fini le corps couvert de salive et de sperme, le cœur à mille à l’heure, blottie dans les bras de Matt qui sentait bon le sexe et nos sueurs mêlées.
Les adieux à l’aéroport ont été tristes, mais Matt m’a fait une promesse : l’été prochain, il reviendra avec dans ses bagages des livres… et de nouveaux jouets.

(Image à la une : Getty Images)

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« Il a enlevé son peignoir et a commencé à se branler en grognant. Devant lui, je me suis exhibée, faisant onduler mes courbes, collant mes fesses moites contre la vitre. La situation me rendait dingue d’excitation. J’ai alors pris le pommeau de douche et je l’ai placé entre mes cuisses. » Cindy.

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« Un grand vent soufflait dans notre direction et venait frapper son entrejambe. Cette caresse naturelle arrachait quelques petits soupirs sereins qui se transformaient en gémissements chaque fois que mes doigts humectés de sa salive se baladaient sur sa foufoune et se fourraient tout doucement dans chacun de ses trous. » Steeve.

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