La petite allumeuse

La rédaction 6 mai 2021

Guillaume, 39 ans, use. se retrouve en tête à tête avec la meilleure amie de sa fille.. qui se trouve etre une vraie petite aguicheuse.

Je n’aurais jamais cru que ça m’arriverait un jour. Je m’appelle Guillaume, j’ai 39 ans, et je suis l’heureux père d’une famille nombreuse. Camille, mon aînée, a 19 ans et mon petit dernier, Clément, 4 ans. Pour les vacances de Pâques, ma femme est partie avec les plus jeunes dans notre maison en Bretagne, avec sa soeur et ses trois neveux, nous laissant, Camille et moi, seuls à Paris pour deux semaines. C’était l’occasion pour moi aussi de passer du temps avec mon aînée, qui avait décidé de rester réviser ses partiels de première année de droit. Je vous raconte mon histoire de sexe.

Un mardi soir, après le travail, je suis rentré chez moi assez tard, vers 21 heures. J’ai pensé que Camille avait déjà mangé. Je me suis mis à réchauffer un peu du curry que ma femme avait préparé avant de partir, puis je me suis servi un verre de vin. J’ai allumé la télévision pour m’offrir quelques minutes de détente pendant que mon dîner chauffait. Derrière moi, j’ai entendu : « Bonjour Monsieur » Je me suis retourné en souriant, c’était Sophie, la meilleure amie de Camille. « Je crois que votre fille s’est endormie sur ses cours. Ça ne vous embête pas si je fais une petite pause avec vous ? »Ça ne me dérangeait pas du tout, j’aime bien discuter avec les amis de ma grande fille.

Sophie s’est lovée dans le canapé en me faisant face. Elle portait un short court et blanc, et un T-shirt échancré qui ne cachait pas grand-chose de son décolleté. Ses pieds nus effleuraient sans le vouloir ma cuisse. Sophie se montrait très bavarde, normal avec toute la pression des examens. Je l’écoutais avec attention quand j’ai senti ses orteils se fourrer sous ma cuisse. J’ai sursauté, et elle m’a susurré : « Ça ne vous dérange pas ? J’ai froid aux pieds. » Je lui ai expliqué que ce n’était pas très approprié, mais elle n’a pas amorcé de retrait. Au contraire, elle me fixait maintenant avec un petit air amusé.

Moi, j’essayais de la regarder le moins possible, mais je n’ai pu m’empêcher de constater que ses tétons pointaient. Elle ne portait même pas de soutien-gorge. J’avais une brunette toute fine, adorable, qui essayait de m’aguicher alors que sa copine, ma fille, dormait à l’étage. J’ai voulu me relever, mais d’un bond, Sophie s’est jetée sur moi, son corps collé au mien, ses jambes nues enchevêtrées dans les miennes, ses cheveux si près de mon nez que je pouvais sentir le parfum délicieux de son shampoing. Mon coeur battait très vite, j’ai essayé de la repousser sans violence. Mais la petite aguicheuse était déjà en train de me mordiller le lobe de l’oreille.

Elle a même fourré sa langue dans mon conduit auditif, ce qui a fait bondir mon pénis dans son caleçon. J’ai bien protesté, dit que j’avais une femme, la mère de sa meilleure amie, il semblait que Sophie n’en avait rien à faire. De toute façon, la petite peste avait déjà passé la main dans mon caleçon pour tâter la fermeté de mon bâton. « Taisez-vous, je m’en fous de votre femme. Je veux que vous me baisiez. J’ai toujours fantasmé sur vous. » Je me croyais dans American Beauty, sauf que je me sentais très bien dans ma vie. Mais la chair est faible, hélas, trop faible et, quand Sophie a ôté son short, je n’ai plus vu que son string gris qui moulait son petit sexe et soulignait la fente nette de sa vulve. J’ai aperçu l’auréole liquide au niveau de sa chatte, et ça m’a rendu fou. Je me suis jeté la tête la première sur sa foufoune, je l’ai mangée à travers le tissu. Je devenais violent, sauvage, j’aspirais fort. Son odeur était assez prononcée, tout comme son jus que je goûtais à travers le string.

Sophie a écarté ce dernier, et ma langue s’est immiscée dans tous les recoins moelleux et doux que sa chatoune fraîchement rasée comptait. Sophie gémissait si fort, je me suis dit qu’elle avait joui. Tout à coup, on a entendu du bruit en haut. J’ai voulu tout arrêter, mais Sophie m’en a empêché. D’un geste sûr, elle a déboutonné mon pantalon et, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, elle m’a chevauché sans protection, sans demander son reste. Ma queue avait trouvé son fourreau, chaud, confortable. Sophie bougeait comme une fière amazone au-dessus de moi, faisant cette chose circulaire avec son bassin tout en me mettant la main sur les couilles et me les pressant presque trop fort. J’ai senti que j’allais exploser. Mais je n’avais vraiment pas envie de le faire en elle, trop risqué… J’ai dû l’arracher de mon pieu, juste à temps. Les giclées sont parties dans tous les sens, dans ses cheveux, sur sa poitrine fine, sur son menton. L’apocalypse.

J’ai dit à Sophie que ça ne se reproduirait jamais, et qu’elle ferait mieux de s’en aller. Depuis, je redoute cette jeune fille comme la peste, d’autant qu’elle ne se prive pas, à chaque fois qu’elle vient à la maison, de m’arroser d’oeillades salaces et de sous-entendus vraiment limite. Quelle sale petite allumeuse ! Mais j’ai pris mon pied comme je l’avais rarement pris. Je vous joins des photos que Sophie a pris avec un autre type, et qu’elle a eu la « délicatesse » de m’envoyer sur mon mail au bureau. Il faudrait que je parle à ma fille de ses fréquentations.

(Image à la une : Getty Images)

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