Sexy dandy

La rédaction 10 janvier 2021

Mimi, 26 ans, rencontre un sexy dandy en soirée. Pleins de désir, ils finissent chez elle pour une bonne partie de baise !

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J’ai repéré Simon en janvier, au cours d’une soirée d’étudiants de bonne famille, à laquelle une copine un peu fofolle m’avait traînée. Ce mec m’a tout de suite sauté aux yeux au milieu de cette foule d’abrutis enthousiastes qui carburaient à la bière légère et aux bonnes intentions cuculs. C’était le seul qui ne portait pas des mocassins marron avec un jean « pseudo-usé » et un polo fuchsia au col relevé…

J’exagère, mais pas tant que ça! Bref, lui, il arborait une moustache ironique, un tatouage d’oiseau exotique au creux du cou, et sa chemise hawaïenne s’accordait à merveille avec ses rangers. Il avait une gueule d’ange et l’élégance absolue de ces personnes qui ne sont jamais incommodées par l’adversité ambiante, un vrai dandy fêlé tout droit sorti de la série L’agence tous risques. Rien qu’à le regarder, j’ai senti le fond de mes dessous s’humidifier.

Je l’ai abordé en déconnant, genre troisième degré. Il m’a rendu ma blague sur le même ton. Nous nous sommes plu, et ma culotte, elle, a fini par être à tordre.

Après avoir récupéré les bouteilles que nous avions apportées avec nous, nous avons filé à l’anglaise, loin de cette sauterie tellement barbante qu’elle confinait à la torture… Nous sommes allés chez moi. Après quelques verres de vin rouge, assise avec lui sur mon canapé à écouter de la musique soul, j’ai réellement compris qu’on n’allait pas tarder à se mélanger et que ça allait être super hot.

On a dansé, puis on s’est mutuellement déshabillés un peu à la brutale, tout en s’embrassant à pleine bouche. Jusque-là, tout était normal, je m’attendais à la petite baise du jeudi soir, avec un vendredi matin un peu brumeux, genre « mal au dos mais sans plus », quoi… Comme j’ai été outrée quand il m’a fourré un doigt entier dans le petit trou alors que, quelques minutes plus tôt, nous débattions encore de notre plat préféré! Je ne m’attendais pas vraiment à un rustre.

J’ai d’abord eu un mouvement de recul, il m’avait prise par surprise et ça m’avait fait mal. Il a paru déstabilisé sur le coup. Il a dû se sentir con, je dirais. C’est étrange, mais cela m’a rassurée. Il a pris ma réaction en compte et a adapté son comportement.

Le pire, c’est que ça m’a donné envie de lui deux fois plus fort ! J’ai eu peur de l’avoir refroidi et j’ai attrapé sa main pour la coller à nouveau sur mon cul. Je voulais me faire pardonner. Finalement, c’était plutôt excitant comme sensation d’avoir un doigt dans le derrière…

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Il est tombé droit sur ma chatte, langue la première. Humm, tout à coup, cet index enfoncé dans ma rosette a pris tout son sens. J’ai eu l’impression qu’une fleur énorme poussait à l’intérieur de mon abdomen. Je me suis abandonnée à ce toucher si particulier.

Toute la région de mon bassin s’est engourdie. C’était comme si mon corps ne m’appartenait plus, mais que toutes mes sensations étaient décuplées. Mes capteurs sensoriels étaient brouillés, ils renaissaient. J’ai joui sous ses coups de langue, une fois, deux fois, trois fois. Il a commencé à lécher tout mon corps sans pour autant cesser de me masser l’intérieur du cul. J’ai saisi sa queue dans la main. Elle était épaisse et dure. Je l’ai astiquée.

Il a gémi en léchant et les vibrations de sa voix étaient autant de petits détonateurs de plaisir sur ma peau. N’en pouvant plus, j’ai tiré sur son manche pour l’attirer à ma bouche, il fallait absolument que j’y goûte. J’ai étalé ma salive sur tout son morceau et j’ai surtout insisté sur ce gros gland que je voulais voir gonfler encore plus.

J’ai roulé des pelles humides à sa bite, sans oublier de caresser ses belles couilles. Comme j’ai ses couilles ! Elles étaient si douces… Je les ai chéries comme il se devait. Il allait me venir sur les lèvres, je le sentais.

Je n’ai pu m’empêcher de penser : « Après tous les efforts qu’il a fournis pour me préparer la petite porte, il va jouir sur le parquet ! » Mais, en fait, non ! Il s’est relevé pour aller chercher un appareil photo et une capote dans son pantalon. Il m’a portée jusqu’au canapé et m’a positionnée pour me baiser.

Je ne l’ai même pas vu enfiler la capote, mais je l’ai bien senti quand il est entré en moi ! Il a insisté pour immortaliser ce moment précis. Il a vite lâché son appareil pour mieux me défoncer. Cerise sur le gâteau, il s’est amusé à m’étrangler doucement en limant ma chatte. Il souriait largement, content de son petit effet.

Je grognais contre le manque d’air, mais je ne pouvais pas vraiment me plaindre… Finalement, j’aimais bien ce jeu dangereux. C’était délicieux de se faire ainsi bourrer la minette en suffoquant légèrement. Il m’a retournée et s’est à nouveau enfoncé dans ma chatte dégoulinante. Cette fois, il s’en est pris à mes seins qu’il a pétris d’une main pendant qu’il poussait l’autre dans ma petite porte.

Un doigt, deux doigts, la pointe de sa main… Il a eu beau forcer, il n’a jamais pu passer sa main entière ! J’aurais apprécié la performance, mais je prenais déjà tellement mon pied que cela m’importait peu… Il m’a avertie qu’il allait jouir. Il s’est retiré et il a craché tout son foutre épais sur mon dos creusé, en soupirant comme un soldat le jour de l’armistice. J’ai cru qu’il ne s’arrêterait jamais de souffler. Il m’a embrassée sur le crâne en caressant mes cheveux.

Sans m’en rendre compte, je me suis endormie sur le canapé. Il a dû se rhabiller et partir aussitôt car je ne l’ai pas revu depuis… J’ai simplement reçu, par email, les photos que je vous envoie. Il n’avait pas même ajouté de message dans l’email, juste un objet: « Je reviendrai. »

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