La solitude, ça n’existe pas !
13 septembre 2025Stéphane, 47 ans, Houille
On connaît tous le topo, on organise des vacances avec un couple de copains et rien ne se passe comme prévu ! C’est ce qui nous est arrivé en juillet dernier avec ma chérie, Éloïse. Voici notre histoire érotique.
Des vacances en trio
Nous étions censés partir avec Arthur et sa petite amie Jeanne, mais ils ont rompu avant le départ. Arthur est donc venu seul. Proches de longue date, je ne me suis pas inquiété, dragueur invétéré, il allait se trouver une minette sur le bassin d’Arcachon, notre destination. Perdu ! Rien, au bout de deux semaines il était toujours solitaire comme un ver et nous avions conscience qu’il devait bouillir à entendre de nos ébats nocturnes avec Éloïse. Un soir, ma copine a voulu aller le voir dans sa chambre avant qu’on ne se couche, je l’ai accompagnée et, maladroitement, nous n’avons pas attendu qu’il nous réponde après avoir toqué. Nous avons ouvert pour tomber en pleine séance de branlette ! Gêne générale, puis éclat de rire salvateur de ma compagne qui s’est approchée du lit en lançant à un Arthur interdit « Tu veux un coup de main ? » et elle lui a chopé la bite pour la lui secouer avant d’enlever sa nuisette qui, de toute façon, ne cachait rien de sa sublime anatomie.
Ne conservant que ses bas, elle a saisi la queue en bouche et sa longue chevelure blonde est tombée en cascade sur les grosses burnes de notre copain, ravi ! J’ai filé chercher mon portable dans notre chambre et suis revenu aussi sec pour prendre en photos la femme de ma vie. Dieu qu’elle m’excite lorsqu’elle se donne à un autre homme devant moi ! Elle me surprend toujours et j’avoue que cette fois-là n’a pas dérogé à la règle, après une pipe magistrale qui a failli coûter une éjaculation précoce à mon pote, Éloïse n’a même pas réclamé de cunni, elle le voulait en elle. Il faut dire qu’Arthur est particulièrement bien membré et ma moitié adore les grosses queues. Elle a donc tout simplement basculé sur le dos, a écarté largement les cuisses et s’est ouvert la chatte de ses mains graciles. Le chemin était tout tracé, Arthur s’est glissé entre les jambes avenantes et a pénétré mon épouse d’un trait puissant et décidé. L’antre dans lequel il est entré était lubrifié à point, Éloïse mouille très facilement, encore plus lorsqu’elle est excitée par une situation hors du commun. Cette dernière a refermé ses petits pieds autour des reins du mâle dominateur qui la surplombait et s’est abandonnée aux coups de boutoir qui n’ont pas mis longtemps à pleuvoir, telles des déflagrations foudroyantes idéalement dirigées.
Plan candauliste
Je n’avais plus qu’à tourner autour du lit en me branlant et en prenant des photos de ce couple magnifique, c’est très vite devenu très chaud du reste. Éloïse n’a pas tardé à gémir, gémissement qui se sont mués en plaintes, puis, très rapidement, en cris de plaisir, elle pouvait enfin se lâcher ! Les ruades se sont accentuées, les reins d’Arthur décollaient de plus en plus haut, je pouvais voir distinctement son gland volumineux qui sortait totalement du fourreau béant, avant de s’y engouffrer de nouveau, provoquant de petits geysers de cyprine qui maculait les cuisses de ma femme et la housse de couette. À ce rythme, autant vous dire que le premier orgasme a été très rapidement au rendez-vous. La chambre a été envahie de cris féminins des plus reconnaissables. Éloïse a joui en agrippant les draps et en mordant férocement l’épaule de son amant. Absolument pas rassasiés, ce merveilleux couple a continué sa petite affaire, en levrette cette fois-ci.
C’est la position préférée de ma compagne et j’ai très vite compris qu’il en était de même pour Arthur. Celui-ci a ouvert le fruit fendu, une fesse dans chaque main, un pouce traînant non loin du trou du cul avant de s’y loger avec douceur, les coups de reins se sont alors de nouveau déchaînés, laissant Éloïse abasourdie par deux félicités aussi violentes que rapprochées. La rotation du duo a continué, passant en revue tous les angles de pénétration imaginables. C’est beau de voir ce qu’on peut faire avec une queue longue et épaisse ! Je crois que ma femme a pris son pied dans chacune d’entre elles, écartant plus ou moins les jambes, serrant avec diverses intensités les muscles de son vagin tonique, elle a vraiment décollé, je me suis arrêté de compter les orgasmes après le sixième. Arthur se révélait être un amant attentionné et, surtout, infatigable ! Il a tenu longtemps jusqu’à se laisser chevaucher. Les ondulations du petit cul de mon amour ont fini par avoir raison de sa résistance, il a éjaculé tout au fond d’elle en râlant. Les vacances n’ont plus été les mêmes après cela.
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Estelle
Trop bien de se faire baisée a ne plus rien contrôler devant son mec moi j adore ça ! Ce récit me donne très très envie d une baise caudauliste n hésitez pas a nous contacter moi c est Estelle et lui Dominique