Tendresse entre femmes
17 septembre 2020Claire, 33 ans, ne voit pas beaucoup son mari. Un jour, elle cède aux avances d’une fille de 25 ans qui va devenir son amante secrète.
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Maman de 33 ans, avec un mari absent toute la semaine, ma vie sexuelle vient de prendre un tournant inattendu. Ayant cédé aux avances d’une fille de 25 ans, je trompe mon époux.
Tout a commencé lors de mon inscription à un cours de théâtre. Dès le début, j’ai sympathisé avec une petite blonde à queue-de-cheval, mince avec des hanches prononcées qu’elle cachait derrière un jogging trop grand pour elle. Il se dégageait d’elle un charme naturel, même habillée ainsi. Après plusieurs cours, c’est tout naturellement que nous nous sommes mises ensemble pour le spectacle de fin d’année. Nous allions jouer un sketch des Vamps.
Le jeudi soir, les enfants sont gardés par une nounou, et j’attends toujours avec impatience cette bouffée d’air qui me sort de mon train-train quotidien. Lucie était très tactile, et j’étais parfois gênée quand elle minaudait ou lorsque nos regards se croisaient (heureusement sans ostentation) devant le groupe. J’appréciais sa bonne humeur et devenais de moins en moins réfractaire à sa façon de me coller en permanence. Un jeu s’était même installé entre nous, je la collais à mon tour.
Pour les fêtes de fin d’année les cours de théâtre étaient suspendus. Laurence, notre prof, nous a invités à répéter les uns chez les autres. J’ai invité Lucie chez moi, seule. Les enfants seraient couchés, nous allions être tranquilles. Ce jeudi soir venu, cela faisait une heure que je tournais en rond, apprêtée comme si j’allais sortir, lorsque ça a sonné. Elle était là, en manteau cachant un petit gilet rouge avec un chemisier blanc en dessous. Cette fois, pas de jogging ni de baskets blanches, mais une jupe mi-cuisse marron, des collants de même couleur et des ballerines. C’était la première fois que je la voyais en femme.
Bise tendre. Je lui ai pris son manteau et l’ai invitée à s’asseoir sur le canapé pour boire du champagne agrémenté d’un petit en-cas. Nous avons parlé de tout sauf du théâtre. Collée contre elle, je sentais la chaleur de son corps, sa cuisse contre la mienne. Il faisait chaud. Lucie a enlevé son petit gilet rouge. Elle n’avait rien sous son chemisier blanc qui laissait apparaître ses tétons démesurés. Ils pointaient. Mes yeux étaient comme attirés par son chemisier entrouvert. Sa poitrine était petite, presque inexistante.
J’ai été gênée quand elle s’est aperçue de mon regard plongeant. Avec un grand sourire, elle a défait un bouton, ajoutant au passage qu’elle n’avait pas besoin de soutien-gorge. Surprise et ne sachant pas quoi dire, je me suis entendue lui répondre que « tout ce qui est petit est mignon ». Aussitôt, elle a pris ma main pour la glisser dans son chemisier. Une bouffée de chaleur m’a envahie. Lucie m’a embrassée. Sa main, sur ma jambe, est remontée entre mes cuisses. La tête me tournait.
Rapidement, nous étions dans ma chambre, sur le lit conjugal. Elle me caressait les seins avec des bisous dans le cou. Elle me mordait parfois. Sa main est de nouveau passée entre mes cuisses. Mon sexe était trempé. Ses doigts glissaient sous ma culotte. Mon corps était inerte. Impossible de bouger ou de parler. J’étais à sa merci. Je lui appartenais. Elle a enlevé ma culotte, et sa tête a plongé entre mes jambes bien ouvertes.
Ses doigts glissaient en moi. Sa langue parcourait mon sexe. Sa bouche m’aspirait le clitoris. Mon corps allait lâcher. Je tremblais de partout. J’étouffais, l’air me manquait. L’explosion. Plus rien, le noir. Lucie me caressait le visage. Je ne comprenais plus ce qu’elle disait. J’avais perdu connaissance pendant quelques instants. Le plaisir était si intense ! Cela ne m’était jamais arrivé.
Bientôt minuit, Lucie devait partir. Je dormirais peu cette nuit-là… Et le matin, j’avais un message sur mon portable. C’était elle : « Coucou Claire, tu ne m’en veux pas pour hier ? » J’ai vite répondu par SMS : « Non je ne t’en veux pas, j’ai aimé. »
À présent, nous nous voyons le plus souvent possible, nous sommes des amantes discrètes. Ça ne durera pas, car Lucie devra quitter ma ville (elle est là pour le travail). Mais sa douceur, ses caresses et ses baisers vont me manquer. Bisous ma Lucie, ta Claire qui t’aime.