Un été débridé

La rédaction 2 août 2019

Inès, 35 ans, Puteaux

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Bonjour interstron.ru ! D’habitude c’est mon mari qui vous écrit, c’est même lui seul qui vous lit. Mais ça, c’était avant. Avant Vanessa, 21 ans, la petite qui lui fait tourner la tête, et le motif de notre récente rupture. On a deux enfants en bas âge, autant dire que j’étais assez remontée contre lui. Lui qui avait toujours exigé de moi un nombre de tâches précises allant de l’éducation des enfants à la gestion du linge tandis qu’il s’occupait des courses et de la cuisine, je l’ai trouvé vraiment gonflé de tout envoyer valser pour une petite amourette, comme si soudain tout l’investissement d’énergie que notre couple réclamait au quotidien ne valait plus rien. D’ailleurs, j’imagine que vous trouvez ça amusant un homme qui choisit de faire les courses ? Vanessa était caissière, vous avez votre réponse.

Bref, deux mois après qu’il a pourri l’atmosphère familiale, je me suis offert une petite semaine en Charente, là d’où je viens. J’avais besoin de retrouver mes racines et surtout de me consoler dans les bras de ma mère. Celle qui avait toujours trouvé que c’était un sombre petit con. On devrait toujours écouter sa maman.

À cette occasion, j’ai refait un tour du quartier où j’avais grandi. Et je dois avouer que Charles, le fils du voisin qui devait avoir plus ou moins mon âge, était devenu particulièrement bel homme. « Ça a changé par ici, non ? » l’ai-je apostrophé alors qu’il était dans son jardin « Tu me fais visiter le coin ? » Jamais auparavant je ne me serais autorisé ce comportement de chasseuse d’hommes, mais je n’en avais plus rien à faire. Charles m’a emmené faire le tour de la forêt, c’est amusant comme ce lieu m’était à la fois familier et étranger, comme si la nature avait vieilli sans moi.

Arrivée près du ruisseau, je me suis totalement lâchée « Bon allez, à poil. Je veux un bronzage intégral ! » Charles était complètement sur le cul. « Il est où ton homme ? Tu ne l’as pas emmené ? » J’ai rigolé et lui ai expliqué ma situation. « Ah je comprends ! » a-t-il juste répondu, compatissant, en retirant son short.

J’ai deviné une bosse qui  se dessinait sur son slip. Bon, les années avaient passé,  mais j’étais toujours bandante, super !

À peine avait-il posé ses fesses près des miennes, que je l’ai embrassé à pleine bouche. Pas envie de minauder plus longtemps en tournant autour du pot, il me fallait un homme pour oublier, effacer, recommencer. Charles l’a bien compris et m’a tout de suite passé la main sur les seins. Mon ex-mari m’avait souvent dit qu’il les trouvait petits et tombants, ça me faisait énormément plaisir de voir que Charles s’en délectait du bout des doigts. Il faut que je le suce ! Cela m’est apparu comme une évidence, comme une forme de bon sens. Il faut que je sente son gland toucher le fond de ma gorge. J’ai sorti son engin qui devait bien avoir quelques centimètres de plus que celui dont j’avais l’habitude. Ça m’a tout émoustillée de savoir que j’avais un nouveau jouet !

Au goût, rien ne changeait, à vrai dire ça n’en avait aucun. Mais la texture était complètement différente : Charles en avait une plus poilue, plus chaude, plus visqueuse aussi. Ne me demandez pas de vous expliquer pourquoi, mais j’ai trouvé ça plus viril, plus masculin. En même temps, je ne suis pas très objective…

On a entendu un bruit suspect et comme je sais que ma mère va souvent se promener en forêt, j’ai trouvé plus raisonnable de vite nous rhabiller et de continuer notre promenade comme si de rien n’était.

C’est comme ça qu’a commencé mon séjour en Charente, avec Charles le premier jour, puis avec Etienne, son super copain le lendemain. Après il y a eu Raoul, le charcutier (un peu plus âgé, mais des muscles d’enfer !) et enfin Bruno, un vacancier, comme moi. Je ne vous raconte pas tous les détails (j’en garde un peu pour les prochaines lettres). Mais oui , il y a bien eu quatre mecs en une semaine.
À mon cher mari dont je tairais le prénom, si tu me lis dans ce magazine et que tu te reconnais, je te souhaite tout le bonheur du monde avec Vanessa. Et comme tu le vois, je ne suis pas rancunière…

(Image à la une : Getty Images)

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« Je l’ai rejoint dans la cuisine, il m’a dit de m’allonger sur la table, que je serais à la bonne hauteur. Il a enfin ouvert le grand étui en tissu qui m’intriguait, et il en a sorti un tube creux d’un mètre de long environ, avec une corde à l’intérieur. Il m’a dit que c’était pour ne pas que je bouge, et m’a attaché les chevilles à chaque extrémité. » Jennifer.

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