Un record absolu
20 avril 2020Ania, 31 ans.
Je m’appelle Ania, je suis une femme de 31 ans aux courbes dont on ne tarie pas d’éloges, totalement libérée depuis que j’ai quitté un mari jaloux et paresseux, il y a de ça un an précisément.
La plupart des gens vivent leur rupture comme s’il s’agissait d’un échec, je peux vous assurer que dans mon cas, il s’agit d’une véritable libération. « Déserteuse », me diriez-vous ? Peut-être, mais nous n’avions aucun enfant ensemble, il n’y avait donc aucune raison pour que je m’enferme avec un homme qui suscite en vous autant de désir sexuel qu’une huître. Et qui s’habille nuit et jour avec un survêtement informe, preuve irréfutable de l’abandon définitif de toute tentative de séduction à mon égard. D’ailleurs, en couple, le port des survêtements devrait être listé dans les agressions sexuelles conjugales. Quelle horreur ! Pour ma part, j’adore sortir avec des petites tenues sexy. Des jupes, des talons hauts, un peu de maquillage… La plupart des gens disent de moi que je suis coquette, je préfère dire simplement que je prends soin de moi. Et évidemment, que j’adore attirer les regards sur ma silhouette. Si vous ne me connaissez pas et que vous me croisez dans la rue, vous penseriez certainement de moi que je suis une femme à hommes. Et vous auriez raison !
Depuis que je me suis sortie de cette relation toxique, je profite de toutes les queues qui passent. J’essaie d’en avoir le plus possible, et surtout, le plus rapidement possible. La dernière fois, j’ai battu mon record ! Je vous explique l’histoire. Alors que j’ai dû, comme à mon habitude, passer par un parc pour aller rejoindre mon RER, je croise le regard d’un très beau jeune homme (environ 5 ans de moins que moi, j’ai un faible pour les « petits jeunes ») et l’interpelle gentiment. « Excusez-moi, pour aller au RER, c’est bien par-là ? »
Je pense que le type a bien vu que j’habitais dans le coin et ne s’est pas fait avoir. Il s’est rapproché de moi, le pas sûr de lui, et m’a regardée droit dans les yeux en me disant. « ça dépend, c’est pour réellement vous enfuir de la ville ou c’est pour trouver un prétexte pour me parler ? Si c’est la deuxième option, alors le RER, c’est direction chez moi. » Jamais aucun mec ne m’avait adressée la parole avec autant de bagout, et dix minutes plus tard, nous étions dans son petit studio. À peine la porte de son entrée passée qu’il m’avait déjà plaquée contre son mur, nos deux langues étaient entremêlées. Dix minutes entre le temps d’abordage, et le passage à l’acte, je n’avais jamais vu ça ! Son parfum était enivrant et son corps, tonique à souhait. C’est ce que j’aime chez les jeunes, la fraîcheur de leur peau, l’élasticité de leur muscle, le peu de gras sur le ventre.
Il était étudiant, quelques livres de finance étaient disposés à côté de son lit, après les avoir mis plus loin, nous nous sommes enroulés, à moitié nus dans ses draps ! Qu’il était plaisant de découvrir un nouveau corps, qu’il était grisant de m’occuper d’une nouvelle bite, fière et vaillante. Je pense qu’il y a trouvé son compte aussi, il n’arrêtait pas de m’explorer du bout des doigts, comme si j’étais une petite poupée gonflable.
À la fin, il m’a demandée s’il pouvait éjaculer sur mes seins, et, j’ai bien évidemment accepté. Cela faisait trente minutes que nous avions fait connaissance, et j’observais son foutre glisser sensuellement entre mes deux seins. Un record absolu.
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« Il m’allonge sur le lit et me pénètre d’un coup qu’il veut tendre et délicat, mais que je ressens comme un bon gros coup de pilon entre mes jambes. Il me lime sans discontinuer, avec une rythmique parfaite, certainement inspirée des vagues qui le bercent en mer. Il ne s’arrête que lorsqu’il sent qu’il va éjaculer et me demande alors où je souhaite qu’il dépose sa semence. » Aline, 28 ans.
« Le lendemain, il était bien chez moi et on a baisé comme des bêtes ! J’ai adoré découvrir ce corps que j’avais tant désiré, tant voulu. Cette bite que je m’étais représentée de mille façons différentes pour ne pas être déçue en la voyant pour la première fois. Je n’ai pas été déçue. Elle était douce en moi, ferme, vaillante. Il m’a labourée comme un pro… » Solène, 28 ans.