Un treillis si sexy

La rédaction 1 avril 2019

Romain, 32 ans, Montpellier.

Cela faisait bien quatre ans que ce treillis et moi avions connu toutes sortes d’aventures. Je l’avais traîné dans la boue au rythme de la voix sèche et autoritaire de mes supérieurs, je l’avais maculé de sang lors d’un sauvetage extrême d’un village malien après une attaque et j’avais transpiré toute l’eau de mon corps dedans lors de longues nuits chaudes en Afrique subsaharienne. Mais ce qu’il n’avait pas encore subi, c’était le jet saccadé de sperme de Roger, mon meilleur ami.

Nous étions alors en camp éphémère en Tunisie. Roger et moi effectuions une derrière ronde de nuit avant de passer le relais à nos camarades et d’aller nous coucher. C’est à ce moment-là que Roger s’est retourné brutalement : « J’ai entendu un bruit derrière les rochers. ». Nous nous sommes jeté un rapide coup d’œil, et avons commencé à encercler les rochers, silencieusement. Plusieurs pierres étaient empilées les unes sur les autres et formaient un monticule qui aurait pu facilement servir de cachette à n’importe quel ennemi. J’ai entendu un rire très féminin s’en échapper, suivi de quelques mots d’arabe (que j’avais appris à baragouiner au fil du temps) : « Arrête, tu es bête, tu vas nous faire repérer. ». Roger et moi avions souri tous les deux, ces personnes étaient loin de représenter une menace pour nous. Nous nous sommes approchés doucement dans le noir, et nous nous sommes accroupis simultanément pour regarder derrière. Deux femmes étaient blotties l’une contre l’autre, elles ne nous avaient pas repérés. Elles se murmuraient des mots tendres à l’oreille en arabe.

Roger, qui maîtrisait bien mieux la langue que moi, s’est redressé d’un coup et a dit d’une voix menaçante : « Deux jeunes femmes, en pleine nature ? N’avez-vous pas peur de ce qui peut vous arriver ? Que faites-vous ici ? ». La première des femmes, brune et élancée, a cherché à s’enfuir. Je me suis rué sur elle, l’ai attrapée fermement par les bras et l’ai ramenée près de sa copine.

« Nous nous sommes enfuies loin de nos familles. S’il vous plaît, ne nous ramenez pas », était en train de nous implorer la deuxième, ronde et pulpeuse. Roger a sorti sa lampe torche pour mieux les regarder, elles étaient vraiment jolies. Elles se sont prises dans les bras l’une de l’autre. Roger m’a jeté un regard complice, il avait lui aussi deviné : elles étaient sûrement rejetées par leurs familles à cause de leur attirance l’une pour l’autre et cherchaient à rejoindre l’Europe pour vivre pleinement leur relation.

Roger s’est approché très près de la grande brune : « Vous avez besoin d’aide, les filles ? ». Elles ont acquiescé toutes les deux de la tête, encore un peu apeurées. Roger les a regardées en souriant. « Je sais comment traverser la Méditerranée, mais pour cela il faut que je vous fasse un plan. ». Sa lampe torche coincée dans la bouche, Roger expliquait à l’aide d’un bout de bois sillonnant le sable à quel endroit trouver des embarcations, dans un arabe parfait qui me rendait, je dois l’avouer, un peu jaloux. Je ne comprenais pas tout à ce qu’ils se racontaient, mais les deux femmes ont fini par pousser des cris de joie et se sont embrassées langoureusement devant nous. La grande brune a ensuite embrassé Roger à pleine bouche pour le remercier. Elle a passé sa main entre les boutons de sa veste déjà entrouverte en rigolant. Roger lui a rendu son baiser en palpant bien fort ses fesses juste devant moi.

J’avais très envie de me joindre à eux. La deuxième femme pulpeuse a retiré son haut et a agité sa grosse paire de seins juste sous mes yeux, comme deux fruits défendus. J’ai plongé ma tête dedans, ça l’a fait rire ! Elle a écarté ses cuisses, a pris ma main et l’a serrée très fort contre son sexe. Je sentais sa fente chaude et humide à travers la toile très légère de son pantalon. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas pris une femme dans mes bras. D’un coup, elles se sont reculées toutes les deux et nous ont laissés, Roger et moi, dans un état d’excitation totale !

Elles se sont frottées l’une à l’autre, se sont déshabillées et ont commencé à se doigter toutes les deux. Roger avait déjà sorti son sexe et commençait à se branler devant ce show improvisé. J’ai fait jaillir ma grosse queue de mon treillis et ai fait de même, en lubrifiant le bout de mon gland avec ma salive. Les deux femmes continuaient, imperturbables, à se caresser en riant. Je voyais leurs doigts s’introduire dans tous les orifices de leur corps, même par la petite porte, derrière.

C’est à ce moment que j’ai senti le sperme chaud de Roger se coller sur mon treillis. « Désolé mec », s’est-il juste contenté de répondre. Les filles se sont rapidement rhabillées et se sont sauvées en courant.
Je suis resté la bite à la main et le sperme de Roger collé à mon pantalon.

(Photo à la une : Getty Images)

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