Liaison interdite avec mon beau père
28 juillet 2022Bonjour moi c’est Steffy. Voici mon histoire érotique : Je suis en couple et mon mec a des parents géniaux. Enfin, surtout son père, Jean-Marc. Il l’a eu à 20 ans, du coup, c’est encore un jeune quadra fringant. En fait, c’est mon mec, mais en plus âgé, en plus mature, en plus expérimenté. Du coup, forcément, je me suis mise à fantasmer sur lui à force de le fréquenter.
Je le trouve plein d’esprit et beaucoup plus intéressant qu’un garçon de 20 ans. Je vois bien qu’il m’apprécie lui aussi, il me complimente beaucoup et m’écoute quand je parle. Quand j’ai appris qu’ils étaient en instance de divorce avec la mère de mon mec, je me suis sentie irrésistiblement poussée vers lui. J’avais envie de lui parler, de profiter de cette fenêtre de tir. Le vice et l’idée de cette liaison interdite s’insinuaient dans mes veines comme un poison qui me contaminait de plus en plus.
La soirée de tous les fantasmes
Un soir, Jean-Marc est passé chez moi, pensant y trouver son fils. Je lui ai ouvert et j’ai été très troublée de le voir passer ma porte. Je lui ai dit de s’asseoir et je lui ai offert un café. Nous avons parlé de son divorce et la discussion s’est poursuivie à la nuit tombée. Je me sentais tellement bien avec lui que j’avais l’impression d’être dans une faille spatio-temporelle. Je gobais ses mots, je le fixais comme une dingue, buvant chacun de ses gestes. Il s’est recroquevillé sous le chagrin. “Je sais que ce n’est pas du tout approprié de te parler de tout ça, excuse-moi.” Je n’ai pas voulu laisser passer cette opportunité d’avoir une raison de me rapprocher de lui, car ça pourrait potentiellement ne plus jamais se reproduire. Je l’ai attiré à moi pour le prendre dans mes bras. Le geste avait une tonalité presque amicale, mais quand nos deux bustes se sont touchés, c’est comme si on avait allumé la mèche de la bombe prête à exploser en moi.
C’était réciproque, car lorsque j’ai saisi ses deux mains pour les poser sur mon corps, façon Titanic, il a empoigné mes seins dans ses paumes et il s’est laissé submergé par la vague de désir qui nous a pris de court tous les deux. Je venais de faire des essayages de lingerie devant ma glace et j’avais de jolis bas, ainsi que de hauts talons noirs. Les planètes étaient toutes alignées pour nous faire tomber dans les bras l’un de l’autre.
Il s’est collé contre moi et j’ai senti à quel point il bandait, à quel point lui aussi me voulait, depuis tout ce temps.
Prise en levrette sur le lit conjugal
J’ai pris les devants et je l’ai déshabillé tout en l’embrassant passionnément. Nous nous sommes retrouvés dans ma chambre, je l’ai fait s’allonger et je me suis jetée sur sa queue. Dans cet élan de folie, j’ai réalisé que j’étais en train de sucer mon beau-père, dans le lit où je baisais avec mon copain. C’était comme si je n’avais attendu que cela depuis tout ce temps, je me suis remplie de sa bite et j’ai fait des choses que je n’osais jamais faire avec son fils, par peur qu’il me trouve trop obsédée sexuelle.
J’ai caressé et léché ses couilles, j’ai titillé son anus avec la pointe de mes doigts pendant que j’avalais sa grosse queue qui déformait ma bouche plus si innocente que ça. Je l’ai regardé avec mes yeux fardés et je pouvais voir qu’il était fou de moi, fou de nos corps ensemble.
Il se laissait avaler par sa belle-fille et c’était pour nous deux un suprême moment d’extase que de céder à cette attirance si taboue et indicible. Je me suis abreuvée de sa queue, la trouvant douce et avec un goût délicat. Je m’en léchais les babines, tant je me régalais de lui. Il a fait un truc encore plus osé : il s’est mis à me photographier comme une muse.
Mon visage, et aussi l’entrée de mon sexe. “Je veux te montrer la vision que j’ai de toi, te montrer ce que moi je vois, pour te prouver à quel point tu es belle.” Il m’a montré la photo de mon visage en train de le sucer, ça m’a grandement excitée. Puis il m’a fait m’asseoir sur lui, jambes écartées, moi l’amazone gagnée par la folie de cette situation, sa bite plantée en moi, mes genoux m’aidant à me relever et à m’empaler de plus belle sur sa queue, lui sous moi, fasciné, voyant ma chatte avaler sa grosseur en elle comme une deuxième bouche. Je me suis branlé le clito en même temps pour me faire jouir.
Il m’a prise en petit chien sur le lit, déversant tout son désir en moi, sa poupée, le centre de ses fantasmes, photographiant mon cul à la peau blanche, enfermant dans son téléphone le souvenir de sa possession de mon sexe. Depuis, il hante mes rêveries et je rêve que nous soyons amants pour toujours.
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