Vous avez demandé la police ?

La rédaction 20 janvier 2021

Excitée par un policier en uniforme, Marjorie, 30 ans profite de l’occasion pour l’allumer avec sa belle poitrine et l’entraine dans les toilettes de la mairie.

Vous avez demandé la police ?

Ce jour-là, je devais passer à la mairie pour le renouvellement de ma carte d’identité. Je venais d’emménager dans ma commune et je ne connaissais pas les lieux, voici mon histoire de sexe. J’ai croisé un policier, et je lui ai demandé où se trouvait le bureau de l’état civil. Il m’a indiqué le couloir et le numéro de la porte, et m’a proposé de m’accompagner. Ce n’était pas très loin, il fallait monter un escalier et traverser un couloir, je lui ai donc répondu que c’était très gentil de sa part, mais que je pouvais me débrouiller seule.

Résultat : j’ai monté l’escalier, et je n’ai pas trouvé le bureau ! Il faut dire que je ne suis pas très douée pour m’orienter… Je suis donc revenue à mon point de départ, et j’ai retrouvé mon agent. Je lui ai expliqué, en riant, que je m’étais perdue. Il m’a gentiment accompagnée jusqu’au bureau, où j’ai pu remplir toutes les démarches nécessaires. En sortant de la mairie, j’ai croisé à nouveau mon gardien de la paix, et il m’a proposé de prendre un café après son service. Je lui ai rétorqué que j’étais à la bourre, que j’avais des trucs à faire. Tout en prononçant ces mots, je pensais que j’avais encore un moment devant moi.

Mon policier ne semblait pas débordé. Alors, nous sommes restés quelques minutes à discuter. Subrepticement, dans la conversation, il multipliait les petits sous-entendus et les regards coquins. Son uniforme m’excitait, ainsi que son allure à la fois svelte et musclée. Juste pour tester sa réaction, je lui ai demandé où étaient les toilettes. Quand il m’a répondu d’un air entendu : « Voulez-vous que je vous y accompagne aussi ? », j’ai ressenti des fourmillements dans le ventre. Évidemment, j’ai accepté sa proposition.

Nous sommes rentrés dans la mairie, et nous nous sommes dirigés vers les toilettes. Heureusement, il était encore assez tôt, il n’y avait personne. Et puis, c’est vrai que les gens ne se posent pas de questions lorsqu’ils voient un policier. Je suis entrée dans une cabine, j’ai fermé la porte. Mon flic m’a demandé si je voulais qu’il monte la garde ! J’ai répondu, la voix enrouée, que je ne voyais pas d’inconvénient à ce qu’il reste. J’ai pissé bruyamment, je l’ai fait exprès bien sûr. On n’entendait que cela, ça résonnait dans les toilettes désertes. J’ai passé une main entre mes cuisses pour m’essuyer la chatte, et c’est là que je me suis rendu compte que j’étais complètement trempée de mouille. Accroupie au-dessus de la lunette, je regardais les pieds de mon agent de l’autre côté de la porte dont le vantail n’allait pas jusqu’au sol.

Je me suis dit qu’une telle occasion n’allait pas se représenter de sitôt. J’ai ouvert la porte, la jupe et la culotte aux chevilles, et j’ai lancé à mon flic : « Je crois que j’ai besoin de quelqu’un pour m’essuyer ! » Il est rentré, m’a plaquée au mur et m’a embrassée à pleine bouche. Il s’est vite agenouillé pour lécher ma chatte trempée. Mon clito était énorme, mes lèvres étaient gonflées et rouges. Je n’avais jamais ressenti une telle excitation. J’avais l’impression de me liquéfier dans sa bouche ! Tout en me léchant, il a levé les bras pour me peloter les seins. Je me cambrais de plus en plus pour lui offrir ma liqueur. Il me lapait comme un petit chien, en reniflant. C’était bestial. J’ai senti un orgasme monter doucement. Je me suis retournée pour lui offrir mon cul, il n’a pas dit non ! Au contraire, il a bien écarté les fesses pour accéder à ma jolie rondelle humide. Il a enfoncé sa langue dans mon anus. Pendant ce temps, je me branlais le clito. J’ai joui longuement.

J’ai demandé à mon keuf s’il avait une capote, car j’avais vraiment envie de me faire prendre. Malheureusement, il n’en avait pas, ce genre d’aventures lui arrivant très rarement pendant son service. Logique ! Il s’est relevé. À mon tour, je me suis accroupie, et j’ai empoigné sa queue. Il l’avait déjà sortie de son pantalon puisqu’il s’était copieusement branlé pendant toute la durée du sublime cunni dont il m’avait gratifié ! Mais ça, il me l’a raconté après. Il était tellement excité qu’il était déjà prêt à gicler, je m’en suis rendu compte car une liqueur sucrée perlait de son gland. Je l’ai pris dans ma bouche, l’ai pompé du mieux que j’ai pu et, au bout d’une minute, il a gémi qu’il ne pourrait bientôt plus tenir. Je l’ai laissé gicler dans ma bouche.

C’est comme ça que nous nous sommes connus, mon petit flic et moi. Il m’a si bien fait jouir… On se file rencart chaque semaine. La dernière fois que nous nous sommes vus, nous avions loué une chambre d’hôtel à la campagne, ou nous avons fait quelques photos… Pourvu que ça dure, il me fait trop bien jouir, mon petit flic. Je vous embrasse tous très fort.

(Image à la une : Getty Images)

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