Un vrai sac à foot
4 novembre 2020Élodie, 24 ans, trompe son mari mais pour se faire pardonner elle accepte de réaliser son plus grand fantasme : un gangbang avec ses amis du foot.
Je m’appelle Élodie et j’ai 24 ans. Je suis mariée depuis 2 ans avec Mike, l’homme de ma vie. Mais il y a 6 mois, j’ai fait une grosse bêtise. Pire : pour la réparer, j’ai accepté un truc vraiment dégueulasse… Et j’ai adoré ça. Personne ne peut comprendre, à part des gens ouverts d’esprits comme les lecteurs d’Union. Je partage aujourd’hui ma secrète histoire de sexe avec vous.
À l’époque, je faisais un remplacement comme secrétaire dans un cabinet dentaire. Mon patron s’appelait Pierre, un trentenaire charmeur. J’aime Mike de tout mon cœur, mais j’ai craqué. Vous comprenez, mon homme et moi sommes ensemble depuis nos 17 ans, et j’ai eu envie d’essayer autre chose… Nous avons fait l’amour deux fois, au cabinet. C’était bon mais je me sentais coupable, alors je lui ai dit que l’on arrêtait. Trop tard : Mike a senti que quelque chose n’allait pas et, un soir, il a fouillé dans mes SMS.
Quand je suis entrée dans notre chambre, il m’a tout balancée. J’ai pleuré, il a pleuré, je l’ai supplié de me pardonner. Mike a répondu qu’il ne pouvait pas, car je l’avais trop humilié. Je lui ai rétorqué qu’il pouvait me faire pareil, me tromper avec ma meilleure amie s’il le fallait, mais que je ne pouvais pas vivre sans lui. Pendant que je parlais, il a eu un drôle d’air. C’est là qu’il a voulu me raconter son fantasme secret.
Mon mari joue depuis 2 ans dans un club de foot amateur. Je connais quelques-uns des mecs, que l’on invite les soirs de match à la maison. Je sais qu’ils me trouvent jolie (Mike me répète souvent que « les gars du club sont jaloux de sa petite femme »). Son idée est partie de là : puisque je m’étais comportée comme une garce, il fallait que j’assume, et pas seulement avec ses copains. Et toute l’équipe serait invitée.
Au début, j’ai été choquée. J’en ai même rêvé cette nuit-là : un truc super réaliste, où je me voyais passer de gars en gars. Quand je me suis réveillée, j’ai mis ma main entre mes cuisses. Je mouillais comme une dingue… Alors, le lendemain, j’ai accepté. Mon mari a géré les détails et le samedi suivant, pendant le repas, il a posé un sac sur la table. Des bas et un body noir super sexy… J’ai su que c’était le moment.
Je suis allée me préparer. Devant le miroir, je me suis trouvée super sexy, mais mon cœur battait la chamade. Durant tout le trajet en voiture, j’ai même failli demander à Mike si l’on pouvait faire demi-tour. Mais l’idée de le perdre et le souvenir de mon rêve m’ont convaincue de me taire. Mon mari s’est garé devant un immeuble et nous sommes entrés, direction son fantasme.
Je n’ai jamais su à qui appartenait l’appartement. C’est un brun, la quarantaine, qui nous a ouvert, puis nous a amenés dans une grande pièce. Quasiment pas de meubles, mais une quinzaine de mecs, beaucoup en caleçon, d’autres déjà à poils. J’ai reconnu quatre ou cinq potes de Mike, mais pas les autres. Mon mari leur a serré la main puis il a sorti son smartphone. C’était le signal. Tous me regardaient maintenant avec appétit. J’ai pris une grande inspiration et enlevé mon manteau. Dessous, je portais mon ensemble noir… Les types ont commencé à se branler.
BOUTIQUE SEXY
Là, je me suis mise à genoux et j’ai fermé les yeux. Les murmures se sont rapprochés et j’ai compris que l’équipe se mettait en cercle autour de moi. J’ai senti des mains baisser mon corsage, caresser mes épaules… Puis un premier sexe a effleuré mes lèvres. Du liquide perlait. J’ai résisté, mais la pression s’est faite plus forte. Une main a même empoigné ma queue de cheval et j’ai dû entrouvrir les lèvres, la queue bien dure se frayant un chemin dans ma bouche. Les murmures se sont changés en grognement.
Quand j’ai rouvert les yeux, une forêt d’hommes se pressait autour de moi. Un deuxième type s’est présenté et je l’ai reconnu. C’était Seb, un ami de Mike. De nouveau, j’ai pensé dire non, mais j’ai croisé le regard de mon mari. Ses yeux brillaient, il avait l’air plus excité que jamais… Alors j’ai avalé la bite de Seb sans broncher. Puis une autre, et encore une autre…
Pendant que je pompais, d’autres hommes se succédaient pour me toucher. Mes seins, mes cuisses, mon cul… Au bout de 10 minutes, je me suis retrouvée entièrement nue, soumise au passage d’un nouveau type entre mes lèvres. J’ai aimé m’enivrer d’une nouvelle odeur, d’un nouveau goût. J’étais prête.
Plus d’hésitation désormais : la situation était devenue si excitante que j’ai commencé à avaler les bites les unes après les autres, encaissant les plus excités jusque dans la gorge. Je devais en être à mon dixième quand j’ai senti qu’un des gars m’attrapait pas la taille, m’obligeant à me cambrer. Un doigt est entré en moi, puis un second. J’ai senti le type cracher dans sa main et étaler le liquide sur ma chatte. Il m’a alors pénétrée bien doucement. Le suivant a été moins gentil : ses coups de boutoir m’ont projetée en avant, me forçant à avaler le chibre que j’avais en bouche jusqu’à la garde. Je mouillais désormais comme une fontaine…
Pendant que je suçais, on me doigtait le cul tout en me limant la chatte. Qui ? Je l’ignore. Mais des insultes ont commencé à fuser : « Salle chienne ! », « Vas-y, petite garce », « Mange-moi ça ! »… Je ne savais plus où donner de la tête, branlant, pompant, recevant dans la vulve… et même dans l’anus ! Un mec a éjaculé sur ma langue et, moi qui déteste ça d’habitude, j’ai penché la tête en arrière pour laisser le nectar couler.
Une voix a lancé : « Regarde, Mike, ta femme avale ! ». Les mecs se sont alors déchaînés. J’ai été soulevée et placée sur un fauteuil, et un type s’est mis à me doigter à toute vitesse, un autre se mettant au-dessus pour m’enfiler la gorge avec son sexe parfumé. Une odeur de femelle… Le salaud sortait de mon cul !
J’ai poussé des gémissements de chienne, l’orgasme montant en moi comme un tourbillon. Quand l’orgasme m’a arrachée un dernier hurlement, l’inconnu au-dessus de moi en a profité pour éjaculer dans mon gosier, et je me suis écroulée, vaincue. Je n’ai qu’un vague souvenir de la suite : les mecs qui n’avaient pas encore joui se sont finis sur moi, à même le sol, puis mon mari m’a rhabillée.
Arrivés chez nous, Mike m’a mis dans la douche et a nettoyé doucement le sperme qui collait à ma peau. Je me suis réveillée le lendemain entre ses bras. Aujourd’hui, je me sens plus amoureuse que jamais, mais je reste obsédée par le souvenir de cette nuit. Je prie en secret que Mike me propose de recommencer.
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Thadee Phutsri
Merci pour ces bonnes nouvelles, UN VRAI SAC À FOOT.