Le club libertin

La rédaction 18 décembre 2019

Mathieu, 33 ans

De bonne heure, ma cousine et moi, on s’est allongés près de la piscine. Après le déjeu­ner, on s’est servis dans le bar de tonton. Plus l’heure avançait, plus le soleil tapait, et l’alcool commençait à nous monter grave à la tête. Une petite sieste s’est imposée.

Mon réveil a été pour le moins surprenant. La bou­che de ma cousine Val s’était emparée de mon gland. En revanche, la main ferme et puis­sante qui s’était saisie de mon membre n’était pas celle de Valérie, sûr que non. En ouvrant les yeux, j’ai vu ma douce cou­sine lécher mon gland tandis que Jérôme, son copain, me branlait. « Dis, cousine, tu es au courant que ton mec me branle ? — Il se fait plutôt sucer par des mecs d’habitude, alors pour une fois, je l’ai convaincu de s’y coller. »  Val s’est retirée de mon gland et Jérôme a continué à me branler. C’est très vigoureusement qu’il m’a fait jouir, j’en avais partout.

A ce moment-là, on a sonné à la porte. Ma cousine est allée ouvrir pour revenir avec une bombe. J’ai été sous le charme en moins de trois secondes. Caroline était une jolie brune de 22 ans qui travaillait dans un bar où Val et Jérôme allaient presque chaque soir. Val a mis Caro à l’aise : « Mi casa es tu casa, mets-toi à l’aise, je file te cher­cher un verre, ma belle. » Et la bombe a fait glisser sa petite robe à ses pieds, vêtue simplement d’un micro bas de bikini. Jérôme en a eu la mâchoire qui pendait. C’était Valérie, en brune, avec une plus grosse poitrine et des jambes un peu plus longues. Moi je scot­chais sur place avec un braque­mart d’enfer. Les filles sont allées piquer une petite tête dans la piscine. Puis nous les avons rejointes dans l’eau, mais les deux ga­zelles se sont his­sées sur le rebord. Là, trop fort ! Ma cousine a écarté ses jambes de ma­nière à ce que nous ne rations pas une goutte du specta­cle, puis elle s’est caressé le haut des cuisses, avant d’en arriver à sa chatte toute rasée. Elle s’est masturbée devant nous, tout en parlant à Caroline de la soirée de folie que nous avions passée la veille.

Valérie s’est allongée le long du rebord. Miss Caro en a profité pour glisser le nez entre les jambes de ma douce cousine. Jérôme s’est assis à côté d’elles, et je me suis hissé pour me retrouver le nez face à son monstre. Je ne savais pas comment ma cousine faisait pour gober la totalité de la bite de Jérôme, tellement ses proportions étaient énormes. « Essaye, cousin, tu comprendras. — Ouh la, cool ! J’ai jamais fait ça, moi ! » J’ai quand même voulu tenter le coup. J’ai pris son mem­bre entre mes mains. C’était presque trop facile. Instinctivement, je savais quoi faire pour lui faire plaisir. Sûr que c’était doux, dur et chaud, et même vachement agréable. Je bandais comme un porc. Je me suis lancé : dans un pre­mier temps, je lui ai léché la base du gland, là où il y a tous les petits nerfs. Ça l’a fait, il a fermé les yeux. Puis, dou­cement, je l’ai pris dans ma bouche et je l’ai gobé le plus loin possible. Valérie se faisait toujours laper par sa copine, l’entendre gémir m’excitait terriblement. « Nom d’un chien, pour sa première pipe, ton cousin m’a fait un truc de fou », a dit Jérôme à Val, encore tout émue du cunni que la miss lui avait fait.

Valérie s’est blottie contre moi en me susurrant plein de compliments sur ma perfor­mance. Ma bite était au garde-à-vous depuis tout à l’heure. Je me suis retrouvé avec une brune à droite et une blonde à gauche. Toutes les deux ensemble, elles se sont saisies de mon sexe et de mes bourses, en me cares­sant par moments l’anus. Ces coquines n’en étaient pas à leur coup d’essai, ça, c’était clair. Et moi, petit chanceux, je récoltais tout ce savoir-faire. Miss Caro a été la première à descendre et à prendre mon sexe dans sa bou­che, puis Valérie l’a rejointe. Ouff… Il n’y a pas de mots pour vous décrire ce que j’ai vécu à ce moment-là. Des chattes dou­ces et prévenantes se roulaient des pelles tout en me suçant, le regard posé sur moi. Caroline a posé sa tête sur mon torse et j’ai senti comme une explosion dans mon bas-ventre. Ma respiration s’est presque arrêtée, j’ai lâché un énorme râle en crachant je ne sais combien de sperme sur la joue de Valérie.

Sur les coups de 22 heures, on  s’est mis en route pour un club libertin. La soirée s’est déroulée à 200% sexe. On n’a pas pratiqué l’échangisme, mais on a fait le festival dans la boîte à nous seuls pendant la moitié de la nuit. Caroline m’a demandé de la prendre en levrette, et me voilà jouant au guerrier, lui asse­nant des coups de reins aussi profonds que je pouvais. Et elle criait à chacun de mes coups de boutoir. Puis je l’ai prise dans mes bras et je l’ai soulevée sur la table, sur le dos, une jambe enroulée à ma taille et l’autre sur mon épaule. Caroline a joui comme une malade. Ce soir-là, j’ai eu droit à la totale. J’avais à peine 20 ans et sur deux jours, j’ai eu plus de sexe que pendant toute l’année qui venait de s’écouler !

Ma cousine avait chaud, alors Jérôme ne s’est pas fait prier. À un moment, il a pris son glaive pour lui transpercer le petit trou. Elle criait comme une folle. Si j’avais eu encore de la vigueur, je l’aurais gratifiée d’une double, on ne se serait pas privés, croyez-moi. Jérôme l’a fait jouir comme si elle avait le diable au corps. Ses yeux se sont presque révulsés. Puis il s’est mis face à son visage et s’est branlé pour enfin l’inonder de son foutre. Et, sans même se regarder avec Valérie, on s’est mis tous les deux à sucer Jérôme puis à lécher Caroline. Après, ça s’est un peu calmé.

Bref, c’était il y a quatorze ans, mais c’est comme si c’était hier. C’est une bien belle page de notre vie qui s’est tour­née cette année-là.

(Image à la une : Getty Images)

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