Une doublette pour cette coquine

La rédaction 1 mars 2023

Je m’appelle Charles, j’ai 33 ans et j’ai une histoire de sexe à partager. Cela ne fait pas très longtemps que je lis votre magazine, mais mon côté exhib’ me pousse déjà à vous adresser ce récit. Petit jeu en bonus, Élisa, la fille du récit, en a envoyé un autre qui a été publié. Après une discussion avec Élisa au sujet de ses fantasmes non assouvis, nous avons décidé qu’il était grand temps de satisfaire l’un des principaux.

Un cul envoûtant

Les bouteilles étaient presque vides, les têtes tournaient et l’ambiance chauffait. C’était le moment. Élisa a passé sa main sous le T-shirt de Florian et l’a poussé vers le petit lit de mon studio d’étudiant. « C’est un complot ? Vous essayez de me faire boire pour profiter de moi ? », a ri Florian — Exactement. Tu es le seul de nos amis qui peut réaliser ce fantasme. Deux hommes, une femme. Jusqu’au bout. Nous savons aussi qu’il faut parfois te pousser un peu. Mais tu te laisseras faire avec complaisance, ta fausse pudeur ne trompe plus personne. »

Élisa a embrassé Florian, et ses caresses se sont faites plus pressantes. Les mains de Florian ont parcouru le corps de ma chérie sous ses vêtements et se sont attardées entre ses cuisses. Les premiers vêtements se sont envolés avec les dernières pudeurs.

Florian s’est allongé sur le dos et Élisa l’a chevauché. Dominante. Sublime. Tous deux étaient torse nu. Ses seins le caressaient quand elle se penchait pour l’embrasser. Son cul dansait devant moi. Je savais que je ne me tiendrais pas longtemps à l’écart. Mon sexe a grossi, et la pression de mon jean sur mon gland a encore accentué mon excitation. Élisa a reculé, son dos s’est cambré et son cul s’est approché. Ses lèvres ont caressé le torse de Florian tandis qu’elle l’empoignait par l’entrejambe pour le masser vigoureusement.

Je me suis approché à mon tour et j’ai embrassé les appétissantes fesses de mon Élisa. Je lui ai retiré son string, devenu superflu, et j’ai commencé à la masturber. Mais je voulais la goûter. Ma main a bientôt laissé la place à ma langue. Elle en a profité pour ouvrir le pantalon de Florian et a libéré son large pénis, déjà dur comme une poutre. Elle l’a avalé alors que ma langue pénétrait sa fente. Je savais que ses coups de langue faisaient écho aux miens. Je la léchais avec ferveur et elle s’appliquait à bien sucer la bite de notre ami, sa salive dévalant sur ce gland tandis que sa propre chatte coulait dans ma bouche. « Baisez-moi, les mecs ! — D’abord lui. Puis moi. Puis nous deux », ai-je répliqué.

Nous avons changé de position et abandonné nos derniers vêtements. Florian s’est agenouillé derrière Élisa pendant que je prenais sa place. Le plaisir se lisait sur son visage car le sexe de Florian a caressé sa chatte. Puis, elle a poussé un petit cri lorsqu’il est entré en elle. La largeur de son membre l’a remplie tout entière, écartant sa fente, envoyant des vagues de plaisir dans tout son corps. Elle en tremblait.

Affamée de queues

Sans plus attendre, j’ai saisi sa tête et l’ai guidée vers mon engin impatient. À chaque poussée de Florian, ma queue pénétrait la bouche d’Élisa, et nous gémissions de concert. L’unisson des mouvements et la simple conscience du sexe qui la pénétrait pendant qu’elle engloutissait le mien m’excitaient autant que la langue qui enrobait mon gland et le recouvrait d’une chaude salive. J’aurais pu jouir et remplir cette bouche de mon foutre. Mais les réjouissances ne faisaient que commencer. Je me suis annoncé : « À mon tour ! »

J’ai positionné Élisa et Florian sur le flan, face à face, tête bêche. Affamée, Élisa a englouti la queue tendue devant son visage. Florian lui a soulevé une jambe pour dégager sa fente… qu’il a sucée. Je me suis approché du dos d’Élisa. « Je vais entrer dans ton cul, d’accord ? » Un « oui » étouffé m’est parvenu. J’ai pressé mon sexe encore trempé de sa salive contre son anus. Quelques petites pressions ont suffi à introduire le gland. Un râle de plaisir est monté de sa gorge lorsque je l’ai enculée. Je me suis introduit doucement, centimètre par centimètre. Son fondement chaud enserrait mon membre. Elle a gémi, je me suis enfoncé en elle de tout mon long. Je l’ai remplie, j’ai comblé ce boyau jusqu’à y être complètement englouti. Mes couilles se sont blotties entre ses douces cuisses.

Nous avons baisé son cul, sa bouche et sa chatte tour à tour jusqu’à ce qu’elle nous supplie de la prendre tous les deux en même temps. Florian s’est remis sur le dos. Élisa l’a enfourché et a guidé sa queue vers son vagin. Elle se l’est empalée doucement, profitant de chaque millimètre. Je me régalais du spectacle. Puis elle s’est penchée en avant et m’a présenté son cul. Je me suis agenouillé derrière elle et je l’ai de nouveau enculée avec délectation. J’ai imprimé mon rythme pour nous trois.

Ses deux orifices étaient tellement garnis qu’elle en criait de jouissance. À chacune de mes poussées, je sentais le sexe de Florian qui remplissait la chatte d’Élisa, de l’autre côté de sa paroi intime. J’étais enivré de plaisir. Mes mouvements se sont faits plus rapides et plus profonds. Quand l’orgasme est devenu inéluctable, je me suis enfoncé en elle et j’ai explosé dans son cul dans un ultime coup de reins. J’ai projeté mon sperme tout au fond d’elle en une série de saccades qui semblait ne jamais devoir finir. J’ai flotté encore quelques instants dans une brume extatique. Florian a joui à son tour, peu après. Je me suis retiré et j’ai contemplé le foutre qui s’écoulait de tous les orifices d’Élisa pendant qu’elle posait sa tête sur le torse de Florian. Et elle l’a embrassé.

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