Good charlotte

La rédaction 25 juin 2024

Thomas, 31 ans, rencontre une jeune femme déprimée et lui redonne le sourire à l’aide d’une partie de jambes en l’air sur le bord de la plage.

Nous étions à la fin du mois de juin. C’était un midi. Je faisais la queue pour acheter un hamburger dans une célèbre chaîne de restauration rapide du centre-ville. Il y avait beaucoup de monde ; dans la file, mon regard s’est porté sur une jolie fille d’une vingtaine d’années. Elle était grande, avec de longs cheveux blonds bouclés et une jolie petite frimousse, mince et bien roulée. Cela se voyait dans son pantalon noir et son petit haut blanc. Voici mon histoire de sexe.

A cette heure, il y avait foule. Miracle, j’ai trouvé une place sur une table juste à côté de la fille. Je l’ai regardée sans la dévisager, mais elle ne faisait pas attention à moi. Normal, j’avais dix ans de plus qu’elle et j’étais en costume. Elle paraissait triste et perdue dans ses pensées. De plus, elle ne mangeait rien. J’ai alors vu des larmes rouler sur ses joues. Elle les a essuyées rapidement. J’ai un peu hésité, puis je lui ai griffonné au dos de ma note : « Vous êtes bien trop jolie pour pleurer. » J’ai ensuite glissé le billet sur sa table. Surprise, elle m’a regardé, puis elle m’a souri doucement. Je me suis approché un peu plus et je lui ai dit que, si elle le voulait, nous pourrions prendre un café ensemble et causer de ses soucis. Elle s’appelait Charlotte. Elle m’a confié qu’elle venait d’échouer à son examen de passage en deuxième année d’école d’infirmière et qu’en plus, côté coeur, elle n’avait plus personne depuis près de trois mois. Elle me faisait fondre, j’avais envie de l’aider et de la prendre dans mes bras. Je lui ai proposé qu’on se retrouve en fin de journée pour faire un petit footing au bord de la plage.

Une naturiste insoupçonnée

Le soir même, elle m’attendait dans sa voiture, face à la mer. Elle avait retrouvé son sourire. J’ai été subjugué par son corps alors qu’elle sortait de son véhicule. Elle portait un shorty et une brassière, tous deux noirs. Sa peau était toute bronzée. Elle était encore plus belle que je ne le pensais ! Moi aussi, j’étais en tenue légère. Elle a été surprise de me voir sans mon costume, elle m’a d’ailleurs un peu charrié. L’atmosphère était assez tendue malgré tout, car nous savions tous les deux qu’il pouvait se passer quelque chose entre nous.

Nous avons commencé à courir sur la plage, mais ma belle en tenue de fitness n’aimait pas vraiment le jogging. Au bout de cinq minutes, elle était déjà essoufflée. Je lui ai proposé de nous asseoir au pied des rochers. Et immédiatement, elle s’est appuyée contre moi. Je l’ai regardée dans les yeux, et elle m’a dit : « J’ai envie… » Je me suis mis à bander très fort et je l’ai embrassée à pleine bouche. Ma main est passée sous sa brassière, et j’ai câliné ses seins menus. J’ai jeté un rapide coup d’oeil alentour. Nous étions seuls. Nous nous sommes enfoncés un peu plus loin, à l’abri de grands rochers. Je lui ai ôté sa brassière. Face à face, nous nous sommes embrassés et caressés. J’ai fait glisser son short. Là, surprise ! Charlotte était entièrement épilée. Elle devait pratiquer le naturisme car elle était bronzée de partout, et quand je dis partout…

Baiser sur le bord de la plage

Elle avait besoin qu’on s’occupe d’elle avec tendresse. Je l’ai allongée sur le dos, et je l’ai léchée, de ses petits seins jusqu’au nombril. Puis, lui écartant délicatement les jambes, j’ai posé mes lèvres sur son sexe entrouvert. J’ai pris mon temps pour l’explorer, suçant, aspirant et léchant sa mouille abondante. Ma langue tournoyait, et Charlotte gémissait. Je lui ai pris la main et je l’ai glissée dans mon short tendu à craquer. Elle a entamé de timides mouvements. Je l’ai sentie prête à décoller, et j’ai approché ma queue de son visage. Elle m’a pris dans sa bouche et a commencé à me pomper. Nous étions super excités et, lorsque je l’ai entendue gémir fort puis crier, je suis sorti et je me suis laissé aller sur le sable.

Nous sommes partis, les jambes coupées, pour aller chez elle. À peine étions-nous arrivés qu’elle s’est précipitée sur moi et m’a ôté tous mes vêtements. Nous nous sommes roulés sur sa moquette. Cette fois, elle m’a enfilé un préservatif et m’a chevauché en accélérant les coups de hanches. Je caressais en même temps ses adorables seins. Sa main dans son dos est venue me caresser les bourses, puis titiller mon anus. C’était divin ! À mon tour, mes doigts pleins de salive se sont dirigés vers son petit trou. J’en ai fait pénétrer un. Elle gémissait fort. Je sentais que j’allais décharger. Alors, je lui ai proposé de la prendre en levrette. Elle m’a présenté sa croupe, et je l’ai limée tout en lui doigtant le cul. Nous avons décollé ensemble, et j’ai inondé mon préservatif.

Après ce jour, nous nous sommes revus à plusieurs reprises. Mais elle a préféré que nous en restions là, car notre écart d’âge lui faisait peur. Et, en cadeau d’adieu, elle m’a offert son pucelage anal. Je peux vous assurer que je l’ai pris avec la plus grande délicatesse. J’espère de tout coeur qu’elle ne l’oubliera jamais.

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