L’échappée belle
18 juin 2024Nora sort de chez elle dans le dos de ses parents pour enfin connaitre la sensation de se faire pénétrer.
Mon portable s’est mis à vibrer en affichant sur l’écran une grosse bite bien dure en gros plan, encerclée de poils. Quand je lui avais envoyé ce simple SMS : « Excite-moi ! » (qui m’avait déjà valu beaucoup de lâcher-prise), je n’avais pas imaginé que Sam oserait me répondre par une partie de son anatomie si intime ! Mais je dois avouer qu’il avait visé dans le mille : la photo de ce chibre gonflé de désir était terriblement excitante. Voici mon histoire de sexe.
J’ai senti le bas de mon pyjama s’humidifier sous ma couette. « Si mes parents me voyaient… » ai-je pensé. Mais heureusement, ils dormaient paisiblement dans la chambre tout au fond du couloir. À 24 ans, ils ne m’autorisaient toujours pas à découcher, et je dois avouer que cela nous frustrait terriblement Sam et moi.
S’échapper pour baiser
Nous nous sommes rencontrés il y a trois mois, à la fac, et depuis nous ne nous quittons plus. J’avais envie de le rejoindre, là, ce soir. J’avais envie de baiser avec lui, pour la première fois. J’étais prête. Je n’ai pas hésité plus longtemps, je suis sortie de mon lit sur la pointe des pieds et ai enfilé un jean et un gilet. J’ai ouvert ma fenêtre, évalué rapidement la distance qui me séparait du sol – j’étais au premier étage, je ne risquais pas grand-chose – et j’ai enjambé le garde-corps. Je suis restée suspendue quelques secondes aux barreaux, les pieds dans le vide, j’ai compté jusqu’à trois et j’ai fait le grand saut.
Ma chute n’a pas été vertigineuse, et je me suis vite redressée, fière de mon audace et de mon courage. J’ai composé le numéro de l’agence de taxi que mes parents m’obligeaient à utiliser quand je rentrais après 20 heures d’une soirée, et 30 minutes après, j’étais en bas de l’immeuble de Sam. « Excite-moi, en vrai cette fois ! Je suis en bas de chez toi… » lui ai-je envoyé, un peu déboussolée par l’aventure soudaine dans laquelle je venais de me lancer.
Dix secondes plus tard, Sam m’a sauté dessus, sur le palier de son immeuble, et m’a couverte de baisers et de questions « Mais que fais-tu ici ? Ce n’est pas prudent, enfin ! Et tes parents ? Ils vont me tuer ! »
Coucher dans le dos des parents
Pour toute réponse, je l’ai pris par la main et l’ai emmené devant les ascenseurs. Clic, bouton 8e étage. Je l’ai plaqué violemment contre le miroir froid et l’ai embrassé fougueusement tout en caressant son entrejambe. Il a déboutonné rapidement mon gilet et a ouvert mon jean pour passer sa main dedans. Quand la porte s’est ouverte, j’étais complètement débraillée et j’ai vite refermé mon manteau sur moi, un peu gênée. Nous nous sommes rapidement engouffrés dans son appartement pour continuer nos ébats. Sa télé était toujours allumée, et sa tasse de thé fumait encore sur la table basse. Je l’ai jeté sur son canapé pour lui arracher tous ses vêtements.
L’affaire était assez facile, il ne portait qu’un tee-shirt et un jogging trop grand pour lui.
Quand j’ai vu sa bite, toujours aussi dure et grosse, j’ai repensé à la photo de mon téléphone. J’avais envie de la goûter, de connaître sa texture sous ma langue. Je l’ai léchée puis gobée, amoureusement. Sam me caressait les cheveux en poussant de longs soupirs « Mmm, merci bébé. » Même si cela pouvait sembler ridicule, nous aimions nous donner de petits surnoms affectifs.
Enfin prête à baiser
Il s’est penché à mon oreille et m’a murmuré, inquiet : « Tu penses que tu es prête ? » Oui, je n’avais jamais été aussi prête. Je voulais sentir sa queue en moi, je voulais connaître ce plaisir trop longtemps attendu. Il m’a alors portée dans ses bras et m’a allongée sur son lit. Il a enfoncé deux doigts en moi qu’il avait au préalable soigneusement trempés dans un pot de lubrifiant, pour bien me préparer. Et puis, avec une infinie douceur, il m’a pénétrée.
Mes yeux se sont écarquillés d’un coup. Qu’est ce que c’était bon de sentir – enfin – son sexe en moi. Il retenait ses mouvements, s’enfonçait et repartait très lentement (pour éviter de me faire mal, j’ai supposé). Je me suis agrippée à ses fesses et ai gentiment accéléré la cadence. « Non, pas si vite je vais… » Trop tard. Sam a éjaculé en moi en souriant.
C’est maintenant qu’il va se faire tuer par mes parents…
(Photo à la une : Getty Images)
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« Oui je l’étais, mais je voulais vite m’en débarrasser. Et pour le lui prouver j’ai soulevé mon tee-shirt, lui dévoilant mes deux petits seins bien fermes. Je crois que c’est l’acte le plus fou que je n’aie jamais fait ! » Safia.
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« Un jour, quand je suis arrivée, il était au lit. Il se sentait fatigué. Je suis restée à ses côtés, mais il s’est endormi alors je suis sortie. Lorsque je suis revenue, il était toujours couché, mais il allait beaucoup mieux, il m’a accueillie avec un beau sourire. » Mélanie.