Masturbateur de dindons et autres (vrais) métiers insolites !
13 décembre 2016A table !
Non ! Il n’y a pas de sous métiers. Mais certains méritent quand même de faire parler d’eux.
1. Masturbateur de dindons
Certains dindons d’élevage bien engraissés deviennent trop lourds pour s’accoupler avec des femelles. Si des petites selles d’accouplement peuvent être installées sur le dos de ces dernières pour éviter qu’elles ne se blessent lors des ébats, il reste plus commode de masturber les dindons à la chaîne et de procéder par la suite à une fécondation assistée. en reproduction naturelle.
Cette tâche souvent décrite comme ingrate, répétitive et mal payée a même inspiré le film « Ma part animale » de Sébastien Jaudeau.
On vous laisse découvrir :
« Masturber les dindons, c’est pas un métier. Pourtant, c’est ce que fait Etienne, chaque jour : il branle des mâles trop nourris, donc trop lourds pour pouvoir s’accoupler, toujours habillé de vert, parce que les dindons aiment cette couleur. « Quand ils te voient, ils te prennent pour une dinde? » persifle Claire, sa femme, qui, après avoir ironisé, puis patienté, finit par désespérer…Alors qu’Etienne, à son propre étonnement, prend presque plaisir à ce boulot pas comme les autres. «
2. Excitateur de pandas
Le printemps et l’été sont les périodes idéales pour la reproduction des pandas. Le seul hic ? Ce sont des animaux paresseux et très peu portés sur la chose sexuelle. Pour doper leur reproduction, les gardiens de zoo se voient souvent obligés d’utiliser de stratagèmes très chronophages comme leur faire visionner du porno de pandas (oui !) plusieurs fois par jour ou inciter les plus jeunes à regarder les aînés.
Ce qu’on ne ferait pas pour la sauvegarde de l’espèce…
3. Sexeur de poussins
La technique du sexage consiste à déterminer avant l’âge de trois jours le sexe d’une volaille. Ils seraient une centaine à la pratiquer en France selon Le Bulletin des Agriculteurs. Cette pratique, qui demande un réel sens de la précision à ce stade précoce du développement, permet de sélectionner les femelles « pondeuses » d’un côté et d’envoyer les mâles inutiles à la broyeuse de l’autre. Décrié comme un métier assez cruel, il est le plus souvent exercé par des sexeurs d’Asie du sud est, là où se trouvent les meilleures formations.
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(Image à la une : Getty Images)