Un traîneau nommé désir…
13 mai 2015Pour ces fêtes de fin d’année, la pétillante Laura est partie rendre visite à Inge, sa correspondante danoise. Malgré la neige, nos deux coquines vont trouver une technique bien à elles
pour se réchauffer. Vive les énergies nouvelles !
Le Danemark, c’est beau, mais il y fait froid, très froid ! Pour ce petit break de Noël, j’avais décidé d’aller rendre visite à Inge, ma correspondante danoise avec qui j’avais entretenu des liens d’amitiés pendant l’année qu’elle avait passée avec moi à l’université. Blonde, joyeuse et même un peu barrée derrière son air timide, Inge était une pile électrique qui prenait toujours la vie du bon côté.
Cet après-midi-là, nous avions décidé d’aller chercher un peu de bois afin de nous faire du feu. Lorsque j’ai vu ma jolie blonde simplement vêtue d’une minijupe, je me suis dit que sa résistance au froid était hors du commun. Et, quand elle a ajouté avec son délicieux accent : “Regarde mes tétons, ils sont tout durs !”, on a subitement changé de registre. J’ai immédiatement dégrafé mon haut. Là, les choses se sont précipitées à une vitesse folle. Inge m’a fait asseoir sur le traîneau destiné à nos bûches et a aventuré une main habile sous mon string couleur neige. Ses doigts qui malaxaient mon clitoris par-dessus le fin tissu me faisaient presque oublier le froid environnant. Tout dans la vie était fun pour Inge, y compris le sexe. Mecs, filles, tout lui plaisait, et j’étais bien décidée à en profiter ! Lorsque les lèvres de ma poupée du Nord sont venues à la rencontre de ma bouche, j’ai ressenti une émotion que je n’avais jamais connue avec un homme.
Je prenais un plaisir immense à sentir sa langue tournoyer tandis que ses doigts fouillaient mon intimité.
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Heureusement que le soleil nous offrait quelques rayons, sinon ma mouille aurait gelé sur moi ! Après avoir délicatement excité mon bouton d’amour, Inge a introduit le plaisant objet au fond de moi. La coquine n’a pas tardé à entamer un va-et-vient avec son sextoy entre mes cuisses ouvertes. La blondinette savait manier le jouet avec une étonnante dextérité, preuve de son utilisation fréquente.
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Allez ! À toi maintenant de me montrer ton talent !” C’était la première fois que je posais ma langue sur un sexe de fille et, même si je me sentais un peu gauche, je trouvais la sensation délicieuse. Inge mouillait abondamment, et cette liqueur qui coulait dans ma bouche avait un goût puissant mais exquis. Ma petite blondinette qui, elle, n’en était pas à ses premières amours saphiques s’est mise en levrette afin de me faciliter l’accès à son intimité. J’ai plongé ma langue entre ses lèvres et j’ai dégusté ce mets qu’elle m’offrait en profondeur. J’avoue que je n’avais jamais imaginé que faire l’amour à une autre fille puisse être si plaisant. “Enfonce-moi le gode !”, a tout à coup réclamé ma partenaire.
J’ai saisi le gode rouge, plus épais que celui auquel j’avais eu droit, et je l’ai planté entre les lèvres de la belle Inge. L’objet est entré entièrement dans cette intimité déjà ouverte par ma langue, et ma poupée du froid n’a pu retenir un délicieux couinement qui n’a fait qu’accroître mon excitation. Pendant que j’imprimais de rapides et profonds va-et-vient entre les cuisses de ma blonde, je malaxais mon clitoris déjà passablement gonflé.
Nos gémissements respectifs avaient désormais laissé place à des cris de plaisir qui emplissait ce décor naturel enchanteur de nos ébats en extérieur. Nous montions toutes les deux au même rythme vers l’orgasme et, malgré la neige, une chaleur violente se déployait peu à peu dans mon bas-ventre, envahissant lentement mon corps.
Encore quelques minutes d’un tel traitement et Inge et moi sommes arrivés ensemble à la jouissance, ne pouvant plus retenir nos cris de plaisir. J’ai continué à la pénétrer avec le gode alors que son corps tout entier était pris de spasmes, preuves du violent orgasme qui venait de la saisir. Nous sommes restées blotties l’une contre l’autre un long moment sur ce traîneau qui, sans rennes ni père Noël, nous avait pourtant offert le plus beau et le plus surprenant des cadeaux.
Je suis repartie du pays froid et blanc avec des souvenirs plein la tête et, surtout, cette divine chaleur dans le bas-ventre qui me saisit à chaque fois que je repense à ce moment si jouissif.
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christophe
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