Pierre mon plaisir

La rédaction 16 décembre 2022

Attiré par les mecs depuis l’adolescence, j’ai pourtant toujours joué le garçon modèle : sage et respectueux, comme le voulaient mes parents. Tout m’avait plutôt bien réussi : amitié, études, stages, mais pas amour car à 22 ans passés, je n’avais eu aucune relation sexuelle. Je m’en inquiétais nuit et jour. Internet ne me suffisait plus car je pouvais visiter des sites gays, chatter, mais pas aller plus loin. Je m’appelle Nathan et voici mon histoire porno.

Une montée de courage

En partant pour le Congo pour mes études, j’ai fait la connaissance de Pierre, un Français comme moi d’une quarantaine d’années, brun, yeux bleus, cheveux très courts. Pas le genre efféminé qu’on remarque dans la rue ! Il était très drôle. Grâce à lui, je ne me suis pas ennuyé une seconde durant tout le vol. Il venait pour un stage de perfectionnement. Nous nous sommes revus après l’atterrissage. Il avait du mal à s’en sortir dans Pointe-Noire, et il a eu recours à mes services en tant que guide. Le week-end, il me demandait de l’aider pour changer la déco de son appartement. Dès 9 heures, nous étions à fond dans les travaux : déplacer les meubles, nettoyer, peindre… Le travail fini, il allait prendre sa douche.

Un matin, il m’a proposé de la partager avec lui. Je bandais déjà dans mon slip, mais j’avais un peu le trac, ce qui m’a poussé à refuser cette belle offre, prétextant que l’émission qui passait à la télévision me plaisait. Je suis resté seul devant la télé. Là, son téléphone cellulaire a sonné et il m’a demandé de le lui apporter dans la salle de bain. La porte n’était pas fermée. Je suis entré aussitôt. Comme c’était merveilleux de le voir dans cette tenue d’Adam ; Pierre faisait dans les 1,80 m, 80 kg à peu près, mi-rond, mi-costaud, pratiquement mon genre, très épilé. Je ne voulais plus repartir au salon et je suis resté discuter avec lui, histoire de continuer à le reluquer. Il a remarqué très vite la bosse sous ma braguette, de plus en plus visible. Il s’est moqué de moi : « Qu’est-ce qui a bien pu t’exciter de la sorte à la télé ? » Je n’ai su que lui répondre. Gêné, j’ai voulu repartir, et soudain, j’ai vu son membre se dresser. Il grossissait en s’allongeant : un chapeau tout rose sortait du prépuce ; ses couilles étaient bien chargées. Whaou !

D’un signe de la main il m’a demandé de le rejoindre. « L’eau est bien bonne !« , a-t-il ajouté. Là, j’ai compris qu’il fallait se lancer ou je le regretterais. Je me suis débarrassé très vite de mes fringues et me voilà debout, dans la baignoire, en face de lui.

Une découverte fantastique

Il a caressé ma bite bien raide puis mes couilles, tout en me regardant droit dans les yeux : c’était si parfait que je me laissais faire. On s’est rapprochés davantage tout en se caressant. Il a posé ses lèvres sur les miennes. Il m’a fait un tendre et long baiser, puis s’est mis à me lécher partout : les oreilles, le cou, les tétons et bientôt ma bite. Il a glissé un doigt dans mon anus puis un deuxième, tout en me suçant. C’était si bon que je me suis mis à trembler de plaisir.

Nous sommes sortis de la baignoire et nous sommes allongés à même le sol. Il était couché sur le dos : un 69 s’imposait. Sa grosse queue sentait tellement bon que j’aurais voulu la sucer des heures. Il n’a pas tardé à éjaculer dans ma boucle : un liquide très gluant, visqueux, un peu salé que je n’ai pas trop aimé. Il m’a demandé de m’allonger sur le dos à mon tour, m’a enfilé un préservatif avant de s’asseoir sur mon boa. Je sens encore ses mouvements de va-et-vient, son corps si beau, comme il savait s’y prendre. Enfin, il s’est mis à quatre pattes, et moi derrière. Voir ma bite toute épilée dans son trou si rose me comblait de bonheur.

Il gémissait si fort qu’après quelques mouvements, j’ai senti mon sperme monter. Je l’ai contourné rapidement pour enfourner ma queue dans la bouche. J’ai giclé fort, c’était un délice, je tremblais et criais comme un vrai puceau. Je venais de réaliser ma première expérience sexuelle et homosexuelle. Dans l’après-midi, nous l’avons refait plus confortablement, et j’ai découvert à mon tour le plaisir de la sodomie passive. C’était un moment magique !

Aujourd’hui, il est loin ce matin d’automne. Je pense toujours à lui très fort. En écrivant dans votre magazine, j’ose espérer qu’il tombe sur mon courrier, afin qu’il comprenne combien j’ai été heureux à ses côtés : « Pierre, en me faisant découvrir le plaisir, tu as réveillé le romantique qui sommeillait en moi. Sache que tu as illuminé ma vie et que je suis prêt à t’attendre, s’il le faut. Je veux passer le restant de mes jours avec toi. Reviens, je t’aime. »

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