En cabine Simone !
3 avril 2022Simone, 65 ans, se retrouve enfermée dans un de ses magasins préférés. Les 2 hommes qui tiennent la boutique lui réservent un essayage de taille.
Je suis une femme veuve qui s’ennuie. Pour m’occuper, je vais souvent en ville le matin faire les magasins. La semaine dernière, alors que je me trouvais dans une boutique que j’affectionne particulièrement, j’ai voulu essayer un pantalon dans la cabine prévue à cet effet. Il était un peu trop serré, si bien que je suis sortie de la cabine pour en trouver un autre à ma taille. Mais, entre-temps, le magasin avait fermé ses portes ! Je restais la seule cliente encore à l’intérieur, en plus de deux vendeurs qui me regardaient avec étonnement.
Ces derniers m’ont gentiment expliquée que l’endroit fermait de midi à 13 h, pendant leur pause déjeuner. Les deux hommes m’ont quand même proposée de s’occuper de moi et de me faire faire des essais. Ils se prenaient au jeu et m’ont suggérée les tenues les plus folles, qui n’étaient plus vraiment de mon âge.
Un essayage sexy
J’ai 65 ans, mais avec ma taille et mon allure, il est vrai que je plais encore. Mes complices en sont venus à me proposer une robe en imitation cuir avec une fermeture qui courait jusqu’au bas du dos. Je l’ai difficilement enfilée et je ne suis pas parvenue à la fermer seule. Je suis donc sortie de la cabine pour leur demander de l’aide. J’étais là, devant eux, le dos exposé à leurs regards. J’ai commencé à sentir une tension s’installer.
Après m’être observée dans la glace, j’ai jugé qu’une jupe serait plus appropriée. Il me fallait donc retirer la robe et j’ai à nouveau sollicité la collaboration de mes deux jeunes et beaux vendeurs. J’étais désormais en sous-vêtements, je sentais le trouble des hommes et l’atmosphère qui devenait un peu plus chaude à chaque seconde. Ils m’ont tendue timidement une jupe et une paire de talons, ainsi qu’un string, car la jupe était moulante.
Un basculement s’est alors opéré. Mes comparses s’enhardissaient, et l’un d’eux a entrepris de dégrafer mon soutien-gorge, tandis que l’autre faisait glisser ma culotte jusqu’à mes chevilles. Ce dernier m’a demandée de lever la jambe pour passer le string. Je me suis laissée faire, m’exécutant docilement. Soudain, il a posé son visage sur mon sexe et a glissé sa langue, rapide et agile, en moi. Pendant ce temps, l’autre me caressait les seins. Nous nous sommes embrassés avec fougue. C’était très doux. J’ai posé un pied sur un tabouret pour que son collègue me caresse mieux. Je mouillais énormément car, je dois bien l’avouer, cela faisait maintenant bien longtemps que je n’avais pas senti une main d’homme se poser sur mon corps.
L’arrière… boutique
J’ai alors sorti le sexe du pantalon de celui que j’embrassais (l’autre a extirpé le sien de lui-même pour le présenter à ma bouche) et j’ai commencé à les sucer tous deux à genoux.
Je devenais folle, l’odeur de leurs queues étaient très excitante et je les branlais avec force. L’un d’eux m’a demandée de cracher dessus, ce que j’ai fait. Je ne me reconnaissais pas. Je m’entendais leur dire de me baiser, de me défoncer. D’un coup de rein, j’ai alors senti une queue s’introduire en moi. C’était un peu comme si je retrouvais goût à la vie, à l’envie. Je sentais l’autre queue dans mon dos. L’homme derrière moi crachait et sa salive coulait entre ma raie. L’autre me tenait les mains pour mieux me secouer pendant que la bite de son copain me passait sur les fesses.
J’étais en extase et j’ai joui sous les va-et-vient de celui qui me pénétrait. L’autre en a profité pour rentrer doucement son gland dans mon petit trou tout en m’embrassant le cou. J’avais deux queues en moi et c’était le pied. Je me sentais ailleurs, et une chaleur intense m’envahit. Moi qui avais refusé que l’on me sodomise pendant tant d’années, je trouvais cela merveilleux. J’entendais celui de derrière gémir de plaisir avant qu’il ne me dise qu’il allait jouir. Celui de devant me montait toujours, mais à ses râles j’ai vite compris qu’il ne tiendrait pas longtemps. Je leur ai dit de se laisser aller et ils m’ont inondée les entrailles de leur semence.
L’heure tournait malheureusement. Il était temps d’ouvrir à nouveau le magasin et, pour moi, de retourner à ma réalité. Pourtant, après cet agréable et inoubliable moment, je compte bien revenir profiter à leur pause déjeuner, de mes petits vendeurs tant serviables.