Dans l’étreinte de nuit

La rédaction 12 décembre 2020

Alain, 48 ans, prend le train de nuit avec sa femme direction la montagne ! Ils vont se rejoindre dans sa couchette pour une baise torride… attention une jeune femme est juste au dessus !

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Avec ma femme, nous aimons partir en vacances à la montagne par le train de nuit au départ de Paris. Ça donne un goût d’aventure au voyage et nous nous sentons comme des gosses quand nous le prenons.

La dernière fois, nous nous sommes retrouvés dans une cabine avec quatre couchettes. Nous occupions les deux lits du bas et une jeune fille occupait l’une des couchettes du haut – la quatrième était vide. Il était aux alentours de 23 h, nous avions fait nos ablutions et avions éteint la lumière. La jeune fille était en train de regarder un film sur sa tablette.

De mon côté, j’avais du mal à fermer l’œil. Je me suis tourné vers ma femme et j’ai vu son visage vaguement éclairé par la lumière de l’écran de notre compagne de voyage. Elle ne dormait pas non plus et elle m’a souri. J’ai tendu ma main vers elle. L’espace entre les deux couchettes était très étroit, elle a pris ma main et a caressé très doucement chaque phalange. Ça m’a donné envie d’elle et j’ai pressé ses doigts.

Elle a hésité un instant puis elle s’est redressée tout doucement et est venue se glisser contre moi dans mon tout petit lit. On était tellement serrés que nos souffles se mélangeaient et j’ai senti que le sien était un peu court. Il y avait le stress d’être entendus et découverts. Mais l’excitation était plus forte et nos corps, c’était évident, avaient très envie l’un de l’autre. La jeune fille, au-dessus de nous, avait des écouteurs.

J’ai embrassé ma chérie sans aucun bruit, juste en posant ma bouche sur elle. Puis j’ai glissé ma main vers son sexe, qui était nu sous sa nuisette. Je l’ai touché lentement, puis j’ai enfoncé mon doigt dans sa fente. Elle retenait son souffle. J’ai relevé son vêtement de nuit pour sentir ses seins. J’en ai léché la pointe du bout de la langue.

Ma main fouillait toujours sa chatte et j’ai senti qu’elle mouillait comme jamais. Elle transpirait, aussi. Ses cuisses, son ventre, ses reins étaient brûlants. Elle se tendait sous mes doigts. J’ai glissé au-dessus d’elle et nous étions peau contre peau. Elle me faisait bander comme un fou, à être disponible et mouillée comme ça et en même temps dans la retenue et la crainte de la situation.

J’imaginais que la fille du dessus devait commencer à sentir la chaleur que provoquaient nos deux corps ensemble et l’odeur du sexe de ma femme qui me semblait remplir la minuscule pièce.

Elle était tellement trempée que ma bite a glissé toute seule dans sa chatte ouverte. C’était tellement moite et étroit. J’adore la baiser. À chaque fois, je suis toujours surpris de la douceur humide de son sexe. J’ai commencé à bouger les reins en silence pour mieux me faufiler en elle. Je voyais sa bouche ouverte dans un gémissement silencieux et ça me rendait dingue. J’ai accéléré. Ça commençait à faire un bruit mouillé et j’ai eu peur que la fille du wagon nous entende.

À ce moment, j’ai commencé à percevoir un mouvement au-dessus de ma tête. Comme si le matelas bougeait un peu. J’entendais moi-même un petit bruit mouillé. Malgré nos efforts de discrétion, la fille nous avait sûrement entendus et semblait avoir entrepris de se caresser en nous écoutant baiser.

Je crois que ma femme a compris la même chose que moi parce que je me suis mis à la pénétrer franchement en donnant de grands coups de bite très rapides dans son sexe et qu’elle ne m’a pas demandé d’être plus discret. Au contraire, elle s’est mise à soupirer et à lâcher des « ah » de plaisir qui couvraient à peine le bruit de succion de cette baise magique.

Au même moment, j’ai entendu un cri étouffé au-dessus de ma tête. Je pense que la fille venait de se faire jouir en nous écoutant. C’était incroyable d’entendre le plaisir de cette nana dans l’obscurité et de chevaucher ma propre femme trempée de mouille et de sueur, tout ça dans une toute petite cabine, dans un train de nuit, en pleine campagne…

C’était étourdissant et tellement excitant que je n’ai pas pu me retenir d’éjaculer en m’enfonçant dans mon épouse dans un mouvement final. L’orgasme m’a traversé avec une puissance rarement éprouvée. Nous sommes restés un moment l’un contre l’autre et ma femme a rejoint sa petite couchette. Nous nous sommes endormis dans la moiteur de la cabine et cette odeur de sexe persistante.

Le lendemain matin, alors que le train se rapprochait de notre destination, nous avons replié nos couvertures en silence. La jeune fille est descendue de sa couchette par une petite échelle. Nous avons retenu notre souffle et elle nous a dit bonjour en souriant, avant de sortir de la cabine.

J’espère que la prochaine fois que nous prendrons le train de nuit sera toute aussi excitante. Avec ma femme, il nous tarde de retourner à la montagne.

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