Contrôle des billets enflammé !

La rédaction 2 décembre 2020

Alicia 26 ans, n’est pas en règle pour son contrôle de billet dans un train rentrant chez elle. Le contrôleur va lui accorder ses faveurs…

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En cette fin d’été là, je rentrais de vacances par le train. Je rêvassais, le visage appuyé contre la fenêtre de mon wagon. C’est alors que le contrôleur s’est présenté pour vérifier nos titres de transports. Je me suis rendu compte que mon téléphone ne s’allumait plus et que je n’avais pas imprimé mon billet !

J’ai expliqué ma situation au charmant agent qui était un jeune homme aux yeux bleu clair et à la peau bronzée dont le regard perçant me faisait rougir tant il était beau, malgré le masque qu’il portait. L’homme m’a dit d’essayer de recharger mon portable puis de le rejoindre au wagon des contrôleurs quand j’aurais réussi.

J’ai branché mon engin et j’ai attendu de pouvoir le rallumer. Mais mon cellulaire semblait avoir rendu l’âme. J’étais embêtée. Alors je me suis dit que je pourrais peut-être user de mes charmes avec le beau contrôleur… J’ai rejoint la cabine dédiée aux agents où il était assis seul après avoir contrôlé les passagers.

Il a levé la tête vers moi et m’a incitée à entrer dans l’habitacle pour prendre place en face de lui. Il a fermé la porte coulissante. « Alors vous avez réussi à recharger votre téléphone ? » « Non, je suis désolée, je suis embêtée. » « Bon, on va garder ça entre nous… Mais la prochaine fois, pensez à imprimer votre billet ! » « Oui, promis. »

Le regard du contrôleur était chaleureux par-dessus son masque. Je suis restée assise, car je n’avais pas envie de m’en aller tout de suite. Il m’a posé des questions sur mes vacances et j’y ai répondu avec plaisir. La conversation dérivait gentiment vers le registre du flirt. « Est-ce que je pourrais voir votre visage sous le masque ? » m’a-t-il demandé. Surprise, j’ai encore rougi et j’ai baissé le tissu sous mon menton pour découvrir mon joli minois encadré de cheveux blonds vaporeux.

Il m’a regardée avec intensité. J’étais très troublée, mais j’étais aussi portée par la situation et par mon imagination. « Vous voulez voir autre chose ? » ai-je fait. J’ai alors écarté les cuisses sur mon siège. Rougissant à son tour, le contrôleur a jeté un œil sous la tablette qui nous séparait. C’était le recours que j’avais mis au point au cas où il veuille me coller une amende.

J’avais retiré ma culotte. Alors, sous la table, il pouvait voir ma chatte que je touchais sous ma jupe en jean. Son regard entre mes cuisses me faisait mouiller. Il a tendu la main pour me caresser aussi. Nos deux mains ont caressé ensemble les lèvres de mon sexe. Mon corps était électrifié, mon regard se perdait dans la contemplation des champs qui défilaient par la fenêtre et nos doigts couraient sur ma chatte, ma fente et mon clito.

A mon tour, je suis passée sous la table pour le sucer. J’avais une furieuse envie de lui. Sa bite était douce, ferme et agréable en bouche, me donnant encore plus envie de me la prendre entre les cuisses. Nous nous sommes chauffés comme ça durant toute la fin du trajet. Nous étions essoufflés, au bord de l’orgasme. La tête me tournait.

A l’arrêt du train, le contrôleur et moi sommes sortis rapidement car nous n’y tenions plus. Il m’a entraînée dans un petit local caché au sous-sol de la gare où il y avait des dossiers, des cartons et un canapé. Il a enfin retiré son masque. Il était encore plus beau que dans mon imagination et il était tout à fait sexy dans son uniforme. J’avais envie qu’il me prenne.

Je me suis remise à le sucer avec bonheur, tout en regardant son beau visage gémissant sous le plaisir de ma pipe. Il m’a prise en photo et j’adorais son côté voyeur. Nous avons fini entièrement nus, excités par nos caresses et par la situation, par le fait de se chauffer sans se connaître dans ce local un peu glauque où il faisait très chaud.

Je me suis allongée sur le canapé et il a relevé mes jambes pour me prendre – enfin ! Sa bite a glissé en moi très facilement tant je lubrifiais. Ses allers-retours se firent d’abord très lents, comme pour finir de me préparer aux assauts futurs. Mon corps tremblait de désir et je le suppliais d’accélérer.

Sa bite glissait encore très doucement en moi et, la bouche contre mon oreille, il me parlait – ce qui a encore plus embrasé mon corps : « Tu veux que j’accélère ? Tu veux que je te baise ? Tu le veux vraiment ? » Je gémissais que oui. Il a joué des reins et m’a prise avec fureur. Mes jambes autour de lui, il me soulevait presque pendant qu’il me criblait de coups de bite.

Ma chatte suintait de mouille et surchauffait dans les bruits humides de notre baise, mon corps collant de sueur glissait contre le sien… C’était une étreinte torride. Quand nous étions à deux doigts de jouir tous les deux, j’ai voulu qu’il me prenne en levrette. Je me suis retrouvée coudes à terre, fesses en l’air, toute à lui. Il m’a prise avec passion en me faisant aller et venir sur sa queue bien raide, prenant mes hanches et dirigeant tout son plaisir entre mes cuisses…

J’étais agitée de spasmes et la montée de mon orgasme est partie de la sensation de sa queue en moi pour enflammer mon clitoris, mon ventre, mes fesses. Je me suis cambrée pendant qu’il me bâillonnait de sa main pour étouffer le cri de ma jouissance. Mon orgasme parcourait mon corps, du contact de sa main sur ma bouche jusque dans mon sexe.

Lui aussi a joui en gémissant à mon oreille, presque couché sur mon dos comme une bête, se laissant transporter par son propre orgasme. J’ignorais tout de lui, et pourtant cet échange m’avait donné l’impression de le connaître intimement.

Cette aventure m’avait transportée, j’étais exsangue. J’ai rassemblé mes affaires et le beau contrôleur a remis son uniforme en me disant qu’il m’enverrait le détail de ses prochains voyages, car il habitait dans une autre région. Depuis, je ne pense qu’à lui et mes fantasmes sont peuplés de wagons et de billets de train oubliés.

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