Libertine assumée !

La rédaction 23 août 2024

Marina, 29 ans invite pour la première fois un homme d’un club à venir chez elle pour pouvoir baiser de manière plus intime.

Hello les lecteurs d’Union ! J’adore lire vos écrits, ça me donne beaucoup d’idées cochonnes et ça me donne surtout envie de rencontrer toutes ces personnes qui vivent une sexualité sans entrave. Je m’appelle Marina et je suis libertine « assumée » depuis 2 ans. J’ai été initiée à ce milieu par mon ex qui m’emmenait de temps à autres en club. Nous y allions environ une fois par mois, pas plus, pour garder « l’exceptionnel » de la pratique. Mais en vrai, je savais que c’était ce style de sexualité qui me convenait le mieux. Une fois que nous nous sommes quittés, je passais toutes mes soirées en club à faire de magnifiques rencontres. J’aime autant les hommes que les femmes, les personnes seules que les couples. Tant que les gens s’intéressent aussi à mon plaisir, j’y trouve mon compte. Voici mon histoire de sexe.

En règle générale, je me fixe la ligne de conduite de ne baiser que dans cet endroit de luxure et de débauche et de ne jamais ramener quelqu’un chez moi. Je trouve ça trop intime, et j’ai peur que la personne s’attache à moi, voire puisse d’une façon ou d’une autre avoir une certaine « emprise » sur ma vie. Cela peut vous paraître bizarre, mais mon ex m’avait suffisamment brisé le cœur pour que je retienne la leçon. Cependant, il y avait un homme, Jean-Michel, que je croisais presque une fois par semaine, qui me faisait craquer. Il était doux, attentionné, il ne s’est jamais montré insistant et les rares fois où je l’ai éconduit, il est allé se consoler dans les bras d’une autre sans autre forme de procès. Bien qu’il aille sur sa , il était plutôt bien fait et avait une gueule d’acteur américain à laquelle on ne pouvait rien refuser.

Pas de discussion, on baise

Bref, un soir, un peu éméchée par les coupettes de champagne que je m’enfilais comme s’il s’agissait de verres de grenadine, je l’ai invité à passer à la maison. Il s’est d’abord montré méfiant, puis il a accepté. Il savait que nous étions suffisamment complices pour passer un bon moment. Arrivés chez moi, je lui ai proposé un verre de vin, puis très vite nous avons commencé à faire l’amour, comme si discuter l’un et l’autre en dehors du club était très gênant et qu’il fallait de façon urgente passer à une activité où nous nous sentions plus à l’aise. À vrai dire, ni lui, ni moi, ne savions comment nous comporter, c’est toujours très difficile lorsque l’on ne maîtrise pas l’environnement. La partie de baise était beaucoup plus intense, beaucoup plus intime aussi. J’avais l’impression de redécouvrir sa bite alors que je la connaissais par cœur ! Elle me semblait plus pénétrante, plus grosse, plus « présente ». Je n’avais jamais remarqué avant ce soir à quel point il avait un regard de dingue, évidemment avec sa gueule d’amour il ne passait pas inaperçu. Ses yeux me faisaient chavirer. Je lui ai même montré un de mes sextoys préféré et il a joué avec toute la nuit.

En me réveillant auprès de lui au petit matin, je n’ai cependant pu m’empêcher de paniquer. « Euh dis-moi, on va bruncher au club ce matin ? Je n’ai rien pour le petit dej’ .» Il a éclaté de rire et m’a emmenée dans ce club parisien qui fait de merveilleuses tartines parmi des gens nus. Tout d’un coup, nous étions l’un et l’autre bien plus dans notre élément.

A lire aussi >> Ma première expérience libertine

« À peine dans l’eau, ils prennent immédiatement les commandes et commencent à me caresser, à m’embrasser. Je sombre. C’est le bonheur. Dans l’eau à 30° C, je me fais lécher par un tout en suçant l’autre. Entre deux baisers fougueux, ils échangent leur rôle et j’ai donc droit à une autre queue dans ma bouche affamée. Leurs mains, leurs bouches découvrent chaque partie de mon corps. » Tania,  42 ans.

A lire aussi >> Sages libertines

« Nous nous sommes trouvés un lit et j’ai commencé à lui tailler une pipe d’enfer. Un homme s’est approché de nous et s’est branlé discrètement. Je m’en foutais, ce soir, seule la bite d’Emmanuel, bandante comme jamais, comptait. J’avais l’impression que c’était réciproque de son côté ; seul mon corps, mes yeux, ma bouche sur son membre n’avait d’importance. Le reste était accessoire. Et c’est comme ça que nous nous sommes retrouvés au beau milieu d’une orgie. « Adèle, 43 ans.

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru