Le plein d’anecdotes
9 septembre 2020Georges, 62 ans, a été pompiste pendant 15 ans et il a 2 anecdotes à raconter : fellation par une quinqua chaude et levrette sur un capot de voiture…
J’ai 62 ans et je viens de prendre ma retraite. Ça faisait 15 ans que je travaillais pour une station-service et je peux vous dire que j’ai vu des trucs incroyables. Mes deux histoires de sexe préférées sont dignes d’Union, alors j’ai décidé de vous les raconter.
La première a eu lieu en 2002. Je venais de commencer mon travail de pompiste et je ne savais pas encore que de nombreuses femmes profitent d’être sur les routes pour faire des rencontres. Là, il s’agissait d’une belle quinqua qui conduisait un coupé de marque allemande. J’ai fait le plein de la caisse et j’en ai profité pour la mater discrètement. Elle avait les cheveux courts, bien coiffés, des boucles d’oreilles en perle et un tailleur rouge. La classe, quoi. Elle a dû surprendre mon regard dans son rétro parce que juste après avoir réglé, elle m’a demandé de l’accompagner aux toilettes. J’ai d’abord cru qu’elle se sentait mal. Mais j’ai vite compris quand elle m’a attrapé par la blouse et qu’elle a refermé la porte des chiottes sur nous.
Sans même que j’ai le temps de faire « ouf », la bourgeoise a baissé l’abattant des WC et m’a poussé pour que je m’assoie. Puis elle s’est foutue à genoux. Il a d’abord fallu qu’elle me branle un peu. Mais avec ses belles mains manucurées, elle a réussi à obtenir une demi-érection, qu’elle a ensuite englouti. Quel plaisir ! Je me rappelle encore de ses bruits de bouches et de ses petits « Oh oui ! » en me sentant durcir entre ses lèvres.
J’ai cru qu’elle allait me terminer à la main, mais pas du tout. Plus je gémissais, plus la bourgeoise suçait intensément. À la fin, n’y tenant plus, j’ai plaqué ma main sur sa tête et elle m’a aspiré comme une pompe à air comprimé. J’ai tout lâché. Là, elle a redressé la tête et a ouvert grand le bec pour que j’admire sa bouche remplie, avant de pencher la tête en arrière. J’ai vu mon sperme disparaître dans sa gorge. J’ai gardé la marque de son rouge à lèvre autour de mon dard jusqu’au lendemain.
L’autre histoire s’est produite il y a 2 ans. Il faisait nuit noire et je n’allais pas tarder à fermer boutique, quand un jeune couple a garé sa tire. Je leur ai fait le plein puis je me suis approché pour dire au type de venir payer à la caisse de la station… Avant de réaliser que les deux étaient en train de s’embrasser à pleine bouche et que Monsieur avait clairement ses doigts entre les cuisses de Madame ! Je les ai laissé se chauffer sans perdre une miette de la scène. De temps en temps, je voyais le mec qui zyeutait pour être sûr que je les regardais.
Au bout de 10 minutes à doigter sa femme, il est sorti de la voiture. Il m’a dit : « Tu veux la baiser ? Elle n’attend que ça. » Il n’y avait personne autour de nous, que la route déserte. J’ai regardé la fille par la vitre. Elle était canon : brune, la trentaine, une robe à fleurs à moitié défaite qui laissait voir sa poitrine bien ferme. J’ai hoché la tête. Elle est sortie de la caisse et s’est assise sur le capot en me regardant droit dans les yeux. Je l’ai rejointe et j’ai tendu la main vers ses seins découverts. Elle a frissonné quand ma main rugueuse a caressé ses nichons. Puis elle s’est cambrée, cuisses ouvertes. Je n’ai eu qu’à écarter son slip pour la prendre.
Elle mouillait fort, son mari l’avait bien préparée. En deux coups de reins, j’ai eu mon sexe au fond de sa chatte serrée. Mais la position n’était pas pratique. J’ai regardé le mec et j’ai décidé de l’humilier un peu, en prenant sa femme comme une garce. Je me suis retiré et je l’ai retournée sur le capot. Elle n’a pas bronché. Pour une meilleure prise, j’ai baissé le slip d’un coup sec. Le cul de la belle était blanc, ferme et offert.
J’aurais pu la prendre par derrière, mais je n’ai pas osé. Par contre, je lui ai mis une bonne pétée par devant. Bam ! Bam ! Des coups de reins qui ont fait trembler la bagnole. Le mec faisait une drôle de gueule mais s’est contenté de se branler. La fille, elle, a fermé les yeux et s’est mise à gémir. Je l’ai prise par les hanches et je l’ai bourrée au maximum. Au bout d’un moment, elle a rouvert les yeux et a souri à son mari, avant de partir dans un grand cri de jouissance. J’ai suivi. Elle s’est alors redressée et a soulevé sa robe pour que son mec voit mon foutre glisser le long de ses jambes… Une image que je n’oublierai jamais !
Si mes histoires vous ont plu, je vous en raconterai d’autres. Je suis aussi disponible si des femmes sont intéressées par une rencontre avec un jeune retraité en pleine forme !