Sésame ouvre-toi !
16 septembre 2020Mathieu, 54 ans, tombe sous le charme de sa nouvelle employée Faïza. Tous deux fraîchement divorcés, ils vont se réconforter dans la remise, enfermés…
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Je suis un commerçant d’un tempérament assez réservé et on ne peut pas dire que je sois vraiment à l’aise avec les femmes, surtout depuis mon divorce, qui n’a fait que renforcer mon malaise. Je suis serrurier, je travaille en région parisienne et comme j’avais de plus en plus de boulot, j’ai décidé d’engager une secrétaire pour m’aider dans les tâches administratives. Elle s’appelait Faïza, c’était une Algérienne qui était divorcée comme moi. Elle n’en menait pas large, et on ne peut pas dire qu’elle était très efficace au travail car elle était malheureuse. J’essayais de la faire rigoler comme je pouvais, me battant contre ma timidité et ma maladresse.
La première fois qu’elle m’a adressé un large sourire, ça m’a réchauffé le cœur et j’ai senti qu’il se passait quelque chose en moi. Que nos deux âmes meurtries avaient peut-être envie de se rencontrer pour nous apporter un peu de chaleur et de réconfort. J’ai d’abord essayé de lui envoyer des signaux, mais c’était compliqué.
Je sentais qu’elle-même avait pour moi de petites attentions, en me préparant un thé, en me frottant les épaules quand j’avais mal, en m’adressant encore des grands sourires qui prenaient un peu plus de place sur son visage au fil des jours. En fait, elle me draguait beaucoup plus que je ne la draguais ! Un jour, je suis allé dans la remise pour chercher un vieux modèle de clé et je l’ai appelée pour m’aider car je ne le trouvais pas. Ce n’était même pas un prétexte ! Faïza est venue me rejoindre dans la petite pièce. Sauf que la porte, qui ne s’ouvre que de l’extérieur, s’est refermée lors d’un gros coup de vent et nous nous sommes retrouvés enfermés tous les deux. Un comble pour un serrurier ! Faïza s’est répandue en excuses.
Moi, j’y ai vu un signe du destin et je me suis même demandé si elle ne l’avait pas fait un peu exprès. Nous nous sommes agités pour trouver une caisse à outils pour déverrouiller la porte et nous nous sommes retrouvés côte à côte tous les deux, tout près, à nous frôler. J’ai vu sa jolie main brune s’affairer tout près de moi et j’ai pris mon courage à deux mains (littéralement) pour la saisir et déposer un baiser dessus. Mon employée m’a regardé, l’air surprise. Puis elle a encore souri et a tendu ses lèvres vers moi. C’était d’une simplicité !
Le contact de ce coussin de chair m’a électrisé. Elle a appuyé le baiser et nous avons échangé nos salives dans une étreinte qui n’en finissait plus, en nous pelotant, en nous serrant et nous caressant les bras, le cou. C’était terriblement sensuel. Je me suis enhardi et je me suis mis à caresser ses seins généreux et fermes malgré l’âge, la cinquantaine. Elle s’est laissée faire et a redoublé de baisers. J’ai déboutonné son jean et j’ai glissé la main dans sa culotte pour goûter son sexe. J’ai caressé tout doucement l’entrée de cette merveille, puis j’ai sucé mon doigt dans un geste dont je ne me serais pas cru capable et qu’elle a regardé, fascinée, pour le glisser à nouveau dans son écrin chaleureux et humide.
Faïza a fait de même avec ma bite, la sortant de son entrave pour la branler généreusement. Quel doigté ! Puis elle s’est agenouillée pour la prendre dans sa bouche et me pomper. C’était bon, chaud et tendre. Ensuite je me suis assis sur la petite chaise de la remise. La mince lueur du plafonnier éclairait sa poitrine qu’elle avait poussée et ainsi je voyais ses tétons et sa peau charnue et mate. Je bandais très fort.
Elle a escaladé mon entrejambe et s’est pénétrée avec ma queue. Celle-ci s’est aventurée dans ce chemin sinueux et boisé, qui sentait l’amour et le stupre. Elle s’est défoulée sur mon membre pour l’aspirer encore plus profondément et frotter son clitoris en même temps sur mon bas ventre. Elle m’a baisé comme ça en me dominant de toute sa splendeur de femme envoûtante. Ma bite ressentait de plein fouet les sensations délicieuses provoquées par son fourreau. J’ai bougé les fesses pour encore mieux la prendre et j’ai joui en elle pendant qu’elle se frottait de plus en plus fort avec des mouvements de bassin d’avant en arrière.
Ma bite commençait à se ramollir, mais elle la gardait encore en elle pour quelques dernières secondes cruciales, jusqu’à se faire jouir de cette masturbation sur ma propre personne. Nous sommes tombés dans les bras l’un de l’autre et nous nous sommes encore caressés longuement sur cette chaise, avant de nous décider à retrouver la caisse à outils pour de bon. Depuis, c’est devenu une sorte de rituel, quand j’ai envie d’elle je lui demande de venir m’aider à trouver une clé dans la remise. Et je la laisse venir si elle en a envie. Mais maintenant, elle s’assure à chaque fois que la porte est bien coincée à l’aide d’un journal !