Délices d’automne
18 décembre 2020Cela fait longtemps que la belle Sofia n’a pas entrainé d’hommes dans son lit. Mais le beau Lucas, rencontré au hasard d’une promenade en forêt, saura lui redonner goût à la chose !
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Bonjour à tous, je m’appelle Sofia et je suis animatrice nature dans un parc du sud de la France. Si j’accompagne souvent des petits groupes en forêt, j’aime aussi m’y promener seule, respirer l’air pur des feuilles, sentir la fraîcheur de la rosée, écouter la vie d’une faune riche et fourmillante.
Un matin d’automne (j’aime particulièrement cette saison pour les couleurs incroyables qu’elle nous offre), j’ai croisé Lucas, un randonneur maussade, clope au bec, chien en laisse trop serrée, téléphone collé à l’oreille, tout ce que je déteste ! « Hep Monsieur, la cigarette, c’est jamais en forêt ! » me suis-je insurgée en l’interrompant dans sa conversation.
C’est comme ça que nous avons fait connaissance lui et moi. Heureusement, il s’est excusé très vite, et apprenant que j’étais une experte de la nature, s’est empressé de me demander une visite. Il s’est révélé être un homme poli et charmant (et vraiment beau gosse !), et nous échangions autant sur la nature que sur nos vies, et notre vision du monde. C’était passionnant, il en connaissait un rayon sur l’écologie et je l’ai invité chez moi, sous un prétexte un peu bidon.
En réalité, je tremblais au fur et à mesure que l’on s’approchait de mon appart, une attraction était clairement palpable entre nous depuis le début, et j’étais impatiente de savoir ce qu’il se passerait une fois ma porte fermée. Je n’ai pas été déçue ! Nous avons échangé quelques banalités, et très vite, nos deux regards se sont accrochés l’un à l’autre, plus qu’éloquents sur nos envies coquines. Nous étions tous les deux sous tension.
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Nous nous sommes roulés une grosse pelle, un peu maladroitement comme c’est souvent le cas entre deux inconnus, et il a commencé à retirer mon petit chemisier d’une main tremblante. Alors que j’avais le soutif à l’air libre, je l’ai attiré dans ma chambre, pour nous mettre nus. J’avais à peine eu le temps de retirer mon haut qu’il était déjà entièrement à poil.
J’ai alors découvert qu’il en avait une bien grosse et toute lisse, totalement épilée. Cet homme n’était pas aussi nature qu’il me l’avait laissé croire. Mais cela m’allait, je me suis empressé de le sucer, cela faisait un moment que je n’avais pas caressé de mâle et j’ai retrouvé avec grand plaisir la sensation d’un gland proéminent dans ma bouche. J’adore sucer, j’ai toujours adoré sucer, et je ne m’explique toujours pas comment j’avais pu m’en passer aussi longtemps.
Bien chauffé par ma bouche, Lucas m’a ensuite retournée à quatre pattes, a retiré d’autorité ma petite culotte et s’est doucement, très doucement, enfoncé en moi. Ma petite jupe en jean encerclait maintenant ma taille et il s’y agrippait par moment, pour s’enfoncer encore plus loin. A vrai dire, c’était totalement délicieux.
Son pouce venait appuyer délicatement sur l’entrée de mon petit trou de derrière et le combo de ces deux stimulations, sa bite et son doigt, m’a très vite fait décoller vers d’autres cieux. Il n’a pas éjaculé, et alors que je tremblais encore de mon orgasme, il s’est allongé sur le lit et a fait mine d’allumer une nouvelle clope. « Je peux ? On n’est plus en forêt à ce que je sache… » Voyant que je tirais la gueule, il l’a éteinte, m’a embrassée dans le cou, et m’a murmuré à l’oreille « J’irai me promener tous les jours en forêt Sofia, pour toi. »