Le minou de Mina

La rédaction 31 janvier 2023

Je m’appelle Louis, j’ai 42 ans et j’aimerais partager mon histoire porno.

Réinterstron.ru lingerie

Comme je suis un mec curieux et “open”, j’ai accompagné ma meuf à une sorte de réinterstron.ru tupperware de lingerie où les mecs étaient acceptés pour qu’ils puissent choisir avec leurs nanas des culottes et des soutien-gorge pour s’amuser ensemble. Une gonzesse était venue sans son gars, car elle disait qu’elle kiffait s’acheter de la lingerie avant tout pour se plaire à elle, avant de plaire à ses plans cul. J’ai trouvé ça assez sexy de lâcher cette info comme ça, de montrer qu’elle s’en foutait des conventions.

La vendeuse a présenté tout un tas de trucs et c’était assez chaud de voir toutes ces minettes prendre la lingerie, caresser la dentelle, s’imaginer dedans. Les couples partaient essayer des trucs dans un coin pour se chauffer en même temps. Moi, j’avais du mal à détacher mes yeux de la nana indépendante. Elle était brune, mystérieuse, super bien gaulée, super sapée. On aurait dit une ancienne strip-teaseuse, très bandante. Elle s’est éclipsée pour essayer un corset et des bas-résilles, bien raccord avec le personnage. Ma copine était occupée à regarder les soutifs et n’arrivait pas à se décider.

Je suis descendu au sous-sol de la maison où nous étions pour aller aux toilettes et, en cherchant la porte de la salle de bain, je suis tombé sur une sorte de petit salon télé caché dans un coin, où la belle brune était descendue pour essayer son attirail et se mater dans un miroir en pied qui était là. Elle était debout, gainée, moulée et canon dans son corset, ses jarretières et ses bas-résilles qui laissaient deviner sa chatte nue en dessous. Le tout en noir, assorti à sa jolie chevelure de lionne. Elle ne m’a pas vu. Elle était tellement belle que je lui ai volé une photo avec mon téléphone. Elle a entendu le bruit électronique et a levé les yeux vers moi.

Loin de péter un câble, elle m’a fait un grand sourire complice. Le genre de sourire qui fait que tout devient possible. Je me suis avancé, quand même pas super à l’aise car la nana aurait pu faire un esclandre à tout moment. Elle s’est tournée et cambrée pour me faire mater son ensemble de lingerie. “Alors, t’en penses quoi ?” Ma présence semblait la faire délirer et mettre du fun dans sa soirée.

Le spectacle de l’inconnue sexy

Moi, elle me faisait de plus en plus bander. Surtout, j’adorais le fait qu’elle ne réagisse pas en peureuse, qu’elle ne s’indigne pas et qu’au contraire, elle s’amuse de me voir la mater en secret. Elle s’est même tournée, a retiré les bas et s’est penchée en avant. “Bah vas-y, te gênes pas, prend des photos ! T’avais l’air bien parti tout à l’heure, il se passe quoi maintenant ? En plus j’ai oublié mon portable chez moi donc comme ça, tu pourras me les envoyer après.” Maligne, la coquine…

J’ai pris des photos de son cul et de sa fente trop craquante, toute lisse et jolie comme un abricot, avec son visage rigolard entre ses deux pattes écartées qui me faisait des clins d’œil. Une scène de fou ! Je suis limite tombé amoureux, et j’avais oublié ma copine à l’étage. Poursuivant son petit numéro, la belle inconnue m’a fait face, avec sa chatte en avant. “Viens la goûter… Viens voir si mes nouveaux sous-vêtements font leur effet.” Comme un automate, j’ai sorti ma queue et je me suis avancé vers sa fente, bite en avant, pour la caresser avec mon gland.

Il fallait faire vite. Elle m’avait ensorcelé, la meuf… Elle a posé un pied sur une chaise pour que je la pénètre, debout contre elle. J’ai pris une photo de la pénétration… C’était doux, ma queue qui bandait pour elle, en elle, c’était tellement rapide et furtif que je me demandais si je ne l’avais pas tout simplement rêvé. Mais non, elle était là, ses seins sous son corset et sous mes mains qui voulaient imprimer la forme de son corps dans mes paumes et la chair de son sexe qui se refermait sur la chair de ma teub qui cherchait à tout prix son corps, le contact de sa peau et de sa chatte…

C’était une pénétration éclair, un coup de bite que j’aurais aimé faire durer beaucoup plus longtemps. Elle me rendait tellement ouf que j’aurais voulu la prendre dans tous les sens sur le canapé. “Il te va trop bien ton corset, t’es magnifique.” J’ai embrassé sa nuque, ses lèvres. Je me suis senti perdre pied, comme un coup de foudre. Ça peut paraître con, mais plus rien d’autre n’avait d’importance que son corps qui se trémoussait dans ses dessous, sa bouche de suceuse sur ma bouche, ma queue dans sa chatte qui me tenait sous sa coupe.

Elle a fini par tout enlever pour me montrer son cul et son minou en entier et que je fasse les dernières photos d’elle pour emporter son souvenir avec moi… Elle était tellement bonne et audacieuse que j’en étais tout sonné. Elle m’a donné une fessée. “Allez, on remonte mon grand, les autres vont s’inquiéter.” Elle a grimpé les escaliers après avoir passé une robe. Moi, je suis allé me finir dans les chiottes. Je lui ai envoyé ses photos. Ce courrier est un souvenir de cette inconnue, qui s’appelle Mina, et dont le corps en bas résille reste gravé dans ma tête.

A lire aussi :

En manque de queue 

Le jour où ma chatte s’est ouverte 

L’inconnue de la plage 

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru