Deux bouches à queue

La rédaction 17 octobre 2021

Je me présente, je m’appelle Sabrina et j’ai 40 ans. La jolie brune que je suis aimerait partager une histoire porno. J’ai plutôt de jolies fesses rebondies et de bons nichons. Marin, mon mari, et moi, nous nous sommes connus il y a 3 ans maintenant. Lui est un grand costaud d’1,90 m. Militaire, il prend soin de son corps en faisant beaucoup de musculation. Ça lui assure un certain succès avec les femmes, ce qui n’est pas n’est pas pour me déplaire… À l’occasion de notre anniversaire de rencontre, nous avons réservé un jeudi après-midi dans un spa. Romantique à souhait et très excitant : seuls dans le hammam brûlant en ce jour de semaine, nous avons profité de l’épaisse buée pour nous câliner. Soft pour commencer, puis de façon disons… plus «poussée».

Spa et rapprochements chauds

Nous nous étions assis sur une grande marche en marbre beige et nos corps ruisselaient. Je portais un bikini rouge noué par des celles. Marin a défait le nœud autour de mon cou, et ma poitrine a jailli, trempée de sueur et de condensation. Je fais un joli 90C et mes tétons bruns foncés sont très sensibles… Dans la bouche de mon mari, ils ont durci tout de suite. J’ai glissé mon index gauche entre mes petites lèvres, pendant que mon mari avalait goulûment mes mamelles luisantes. Tout mon corps s’est détendu. C’est là que j’ai distingué une silhouette. Une jeune femme blonde nous observait… Elle devait être sortie de derrière un des pilonnes qui ornaient la pièce, car j’étais certaine de ne pas l’avoir vue en entrant. Je n’ai rien dit, me contentant de tapoter sur l’épaule de mon mari. Il a levé la tête et repéré à son tour la mateuse.

J’étais sûre que se savoir observé exciterait mon époux. Il aime plaire aux jolies femmes et nous jouons souvent les séducteurs quand nous sommes à des soirées, jusqu’à ce que l’autre intervienne quand il se sent trop jaloux. Cette fois-ci, nous avons séduit ensemble et même repoussé nos limites… Marin s’est mis à bander plus fort. Sentant la pression de son sexe contre ma cuisse à travers son boxer noir, j’ai sorti mes mains de mon maillot pour sortir le bel engin. Un chibre de compétition : 22 cm, de grosses couilles velues et un gland large qui m’arrache des cris de plaisir à chaque fois qu’il me pénètre. D’un geste, j’ai invité mon époux à se caler contre le mur à son tour et j’ai plongé, direction son entrejambe.

Son sexe a palpité dans ma bouche. Je savais qu’il fixait la blonde. La bouche bien humide, je l’ai fait reluire à coup de langue, l’enroulant à loisir et alternant avec de petites succions sur le bout. Marin grognait, quand j’ai vu du coin de l’œil la mateuse s’avancer. C’était une bombe : un visage de mannequin, une taille fine, une crinière blonde façon pub pour du shampooing. Son deux pièces blanc moulait une imposante paire de seins et je devinais dans la vapeur un petit con pulpeux, qui faisait un renflement dans la minuscule culotte.

J’ai arrêté de sucer, l’écume aux lèvres. La fille s’est agenouillée près de nous et a lancé, d’une voix grave : «Je peux prendre le relais ?» J’ai vu ses yeux bleus étinceler et j’ai eu envie de déposer un baiser sur sa bouche joliment ourlée. Elle était incroyablement sexy… J’ai regardé Marin, qui souriait. Alors, j’ai hoché la tête, un petit pincement de jalousie au cœur. Étais-je prête à laisser la queue de mon mari s’aventurer dans la bouche d’une autre ? Pas le temps de tergiverser : déjà, la blonde avait saisi la bête et s’appliquait à téter le gland épais.

Une nouvelle bouche pour sa queue

Marin m’a encouragée du regard à intervenir. J’ai donc glissé mes doigts dans les cheveux de la blonde et je l’ai guidée, afin qu’elle donne un maximum de plaisir à mon homme. D’abord, il fallait s’occuper du bout en le prenant bien entre les lèvres, ce qu’elle était déjà en train de faire spontanément. Ensuite, je l’ai faite descendre le long du gourdin, jusqu’à la base. Elle a eu un petit mouvement de recul et a dû s’y reprendre à plusieurs fois, avant de supporter les 22 cm sans avoir un mouvement de recul. Mais nous étions face à une suceuse de première et elle a ni par s’habituer. J’ai alors impulsé le rythme, l’encourageant de mes murmures : «C’est bien, avale ! Remonte en enroulant la langue. Oui… tu peux redescendre maintenant, en aspirant ta salive. Voilà…». Voyant que Marin prenait un plaisir fou à la situation, j’ai glissé ma main sous ses prunes et je les ai caressées très doucement. Il a grogné et a laissé sa tête partir en arrière. Il n’allait pas tarder à jouir

J’ai appuyé un peu plus fort sur la tête de la blonde, puis j’ai tiré sur sa crinière avant de la faire replonger de plus belle. Elle a compris et a accéléré le rythme. Marin a lâché : «Pompe, putain !», alors j’ai forcé la fille à se coller sur son membre, l’enfonçant jusqu’à la base. Un borborygme est monté de sa gorge et Marin a râlé comme une bête. Hum… La purée devait être lâchée !

Les doigts enchevêtrés dans les boucles blondes, j’ai relevé la fille. Elle avait les yeux pleins de larmes et peinait à reprendre son souffle. J’ai essuyé ses yeux et je l’ai embrassée sensuellement, sous le regard de Marin. Elle n’avait pas tout avalé… J’ai pu sentir le sperme âcre de mon mari couler sur ma langue. Il y en avait assez pour deux ! Nous avons partagé le précieux liquide, pendant que Marin nous caressait la tête et encourageait notre baiser.

La blonde est ensuite sortie de la salle, la tignasse en bataille et la démarche mal assurée. Elle a disparu parmi les volutes de fumées et nous nous sommes enlacés, heureux d’avoir passé un nouveau cap dans notre histoire. La suite ? Elle pourrait bien être inspirée par vos suggestions, chers interstron.ruistes…

Lâchez-vous ; comme vous l’avez lu, nous sommes très ouverts !

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