Banana split
19 novembre 2024Jean-Marie se souvient, en regardant ses photos de jeunesse, d’une séance avec une nana chaude utilisant une banane de manière non conventionnelle !
Bonjour cher journal interstron.ru,
Merci pour vos récits érotiques qui sont très divertissants et que je prends beaucoup de plaisir à lire chaque mois. Pour vous remercier et apporter ma contribution à votre édifice, je me livre aussi à une anecdote qui a marqué mes premiers émois de jeune adulte. Je m’appelle Jean-Marie et voici mon histoire de sexe amateu !
L’œil du photographe
J’étais un des premiers mecs de ma génération à posséder un appareil photo argentique. Quand j’en parle aujourd’hui à mes petits-enfants, ça les fait sourire. Ils ont l’impression que ce bel engin est devenu un objet de musée. Pour moi, ça ne l’est pas !
Et avec le temps, plus je l’observe trôner devant mon bureau, dans une jolie cloche de verre, plus j’ai l’impression qu’il est devenu une mémoire érotique. Avec son objectif obscène qui a tout vu de l’anatomie féminine et son flash qui se déclenche au climax de la pose, comme une éjaculation spectaculaire.
J’avais fait le fanfaron avec cet appareil de pointe durant toutes mes années étudiantes. Et je prenais en photo tous mes potes, ceux qui partageaient avec moi les bancs de l’école, les déjeuners à la cantine et les parties de football, avec nos tee-shirts tout sales.
Des modèles photographiées
Et puis, évidemment, me voir transbahuter cet appareil, ça faisait rêver toutes les nanas qui n’avaient qu’une envie : que je les transforme en jolies vedettes de charme ! Vous savez, il n’y avait pas internet, elles ne craignaient pas de se retrouver sur tous les réseaux.
Les coquines pensaient plutôt se faire remarquer par des magazines. J’ai alors organisé des séances dans ma piaule étudiante. Les jolies pépettes prenaient rendez-vous pour se déshabiller devant mon objectif. Je ne restais pas passif, bien sûr ! Je les guidais comme je pouvais, tel un grand photographe sûr de lui, au son de ma voix : « Cambre-toi ! » « Relève tes cheveux » « Là, presse tes seins l’un contre l’autre » « Écarte un peu plus tes jambes. Pas trop ! Ça fait cochonne. ».
Bien sûr que je bandais comme un âne dans mon pantalon de velours (c’était la mode, à l’époque !). Mais aucune d’entre elles ne prêtait vraiment attention à mon état lubrique. Chacune voulait donner le meilleur d’elle-même, et se prêtait au jeu dans un amusement naïf.
Bien plus qu’un mannequin
Elles regardaient toutes la caméra comme s’il s’agissait d’une vedette de cinéma. Elles s’asseyaient sur ma chaise de bois comme s’il s’agissait des cuisses d’un homme. Elles frottaient leur sexe poilu (c’était la mode, aussi !) dessus, enroulaient leurs délicates chevilles sur les pieds, comprimaient leur ronde poitrine sur le dossier.
Avec l’une d’entre elles, je me rappelle même être allé un peu plus loin avec une banane ! Après l’avoir épluchée, elle avait réussi à tailler “un gland” dans la chair jaune du fruit. Puis elle avait passé sa langue sur toute la longueur.
J’ai encore les clichés, et je peux vous dire que pour l’époque, c’était tellement osé qu’aucun groupe de rock punk n’aurait accepté de le mettre en couverture d’un vinyle ! Elle l’avait ensuite réduite en purée, un truc blanchâtre-jaunâtre, assez épais, qu’elle avait posé sur le coin de ses lèvres, près de son con, ou sur son cul ! C’était hyper pornographique, je pensais tenir là un concept de photo totalement original, sur lequel je pourrais me masturber encore et encore.
Un souvenir immortel
Elle avait des idées encore plus cochonnes que les miennes, et cette situation m’a autant déstabilisé qu’excité ! Le clou du spectacle fut quand elle a pris une autre banane et l’a enfoncée dans son vagin, tout entière. C’était presque un défi qu’elle s’était lancée à elle-même. Je l’ai mitraillé comme j’ai pu, usant toute ma pellicule pour ce modèle qui surpassait de loin les autres ! Les photos n’étaient pas très jolies finalement, on ne voyait qu’un bout de banane écartelant un trou, mais dès que je retombe dessus… je bande, mais je bande !
Vous comprenez pourquoi j’apprécie la photographie et quel effet ces objets me font. Je déplore même que l’avancée incroyable des nouvelles technologies ait enlevé le charme de l’artisanat que j’ai connu, dans ma chambre étudiante.
Mais bon, on me dit que le porno, de nos jours, a aussi ses avantages. À vrai dire, je ne sais pas quoi en penser, je n’en regarde pas. Mes vieux souvenirs et mes photos développées occupent déjà à merveille mon esprit quand j’ai besoin… d’une petite motivation !
(source image à la une : Shutterstock)
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