Une chatte dégoulinante

Vierge ascendant taureau !

Vous croyez que j’écris à interstron.ru aujourd’hui pour me la raconter ? Non ! Je n’ai pas besoin de ça. Je suis « bonne », selon la terminologie masculine, et je le sais ! Je le sais depuis le lycée et mes premières expériences sexuelles. La première fois, c’était lors d’un voyage scolaire, j’ai sucé trois copains de classe au fond du bus qui nous emmenait je ne sais plus où. Les trois ont éjaculé dans ma bouche, j’ai compris ce jour-là, avec les mains qui me tripotaient de partout et me doigtaient par tous les trous, que j’adorais le foutre, les goûts différents de chaque sperme que j’avalais, et avoir des doigts dans ma chatte et dans mon cul, des doigts et … pas que ! Ah, et j’oubliais, mon gros kif par-dessus tout cela, me faire prendre en photo pendant que je baise ! Je vous raconte mon histoire de sexe.

Mon signe du zodiaque ? Vierge. Ma compatibilité anale, pardon, astrale ? Tout, il me faut juste des mecs montés comme des taureaux ! Micha, entre autres, a toutes les qualités, il est membré XXL, endurant et bon photographe, il voue un véritable culte à mon corps en général et à mes orifices intimes en particulier.

Pour lui, ma bouche est toujours prête à s’ouvrir, son beau vit aux courbes affolantes est un régal à recevoir tout au fond de ma gorge. Je sais qu’il adore que je sois passive au début, juste une cavité où planter sa bite, il va-et-vient à sa guise, il me baise par en haut avant de me laisser prendre son manche en main et commencer à le sucer vraiment. Mon regard s’accroche au sien, je lui fais mes yeux de braise tandis que je le pompe avec application. J’aime la grosseur de sa queue dans ma petite paume et son souffle qui devient court au fur et à mesure que je lui taille une plume tout en féminité et en gourmandise. Lui, pendant ce temps, m’immortalise, les traits déformés par l’excitation avec son machin qui tient toute la place et me tord la joue !

Une antenne qui attend de recevoir des signaux.

Il ne reste pas inactif et j’ai le droit à moult attentions, des caresses sur ma vulve au doigt directement dans la chatte, je succombe quand il ne prend pas de gant avec mon con, quand des fessées retentissantes rougissent mon cul ou encore quand es visites anales me fouillent loin tout en assouplissant mon cercle afin de préparer le terrain. Souvent il me fait jouir juste en me tripotant ainsi, mes cris s’étouffent alors dans ma gorge emplie de son braquemart dressé.

Mais la partie que je préfère, et de loin, c’est quand il me renverse et me domine de toute sa hauteur. Allongée sur le lit, son phallus en contre-plongée me paraît encore plus imposant, il vient alors entre mes cuisses qu’il écarte d’autorité, il me bouffe la chatte des yeux, sa langue me goûte, se faufile, se balade, vient agacer mon troufignon (c’est lui qui m’a appris ce mot, je le trouve trop mignon !). Il me lape, me mange, s’insinue ici et là, je me sens mouiller à fond, mon clito est comme une antenne qui attend de recevoir des signaux. S’il me le touche, je pars pour un second orgasme dans l’instant, surtout quand il m’enfonce quelques doigts dans le petit trou.

Les choses sérieuse commencent

La vraie partie de sexe peut alors débuter et je sais que Micha n’a qu’une idée en tête, m’enculer. Le plus profondément, le plus longtemps, le plus bourrument possible. Son gros gland force le sas de mon anus qui, en toute honnêteté, n’attend que cela. Je me plante un ou plusieurs doigts dans la chatte ou je tripote mon bouton de rose, la hampe entre toute seule, nul besoin de lubrifiant ni de salive, ma mouille suffit à faciliter les coulissements qui prennent de la force à mesure que je m’ouvre et accueille ce monolithe dans mon fondement.

Il me prend souvent par les hanches, sa force colossale lui permet même de me soulever et de m’enculer ainsi contre un mur. J’adore me sentir descendre sur sa bite gonflée, elle m’écartèle et ma chatte dégouline, mes seins pointent à en être douloureux, il me demande si je le sens bien. Que répondre, alors que son mât emplit mon rectum dans son entièreté, je suffoque, je hoquette, je crie parfois quand il y va trop puissamment, mais je finis toujours par jouir comme une petite salope qui aime la sodomie et les grosses queues. Et pas qu’une fois. Micha ne s’arrête jamais avant que je sois hors service, une loque demandant grâce. Et s’il a encore de la réserve, il abandonne mon petit trou de balle pour me baiser à la conventionnelle, par devant. Ce n’est guère moins serré, mon vagin est étroit et il s’enfonce en forçant pour me la mettre tout au fond.

Il est alors temps pour moi de le reprendre entre mes lèvres pour une dernière fellation, celle qui le fera éjaculer dans ma bouche et la remplir d’un sperme très épais et crémeux que j’avale avec gourmandise.

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