Elle préfère l’amour en mer …

La rédaction 25 septembre 2024

Alexandre, 47 ans de Dax aime profiter de son bateau pour faire l’amour à sa femme sur l’eau et dans des criques. Ils y font une rencontre libertine.

Durant l’été deux mille vingt-deux, j’ai passé mon permis bateau, juste le côtier, dans l’idée d’approcher quelques îles et criques inaccessibles. Élodie, ma fiancée, n’était pas très chaude au départ, mais elle a vite changé d’avis ! Très rapidement, en ce beau mois de juillet, elle s’est foutue à poil sur le pont. C’est même elle qui m’a proposé de trouver matière pour une histoire de sexe amateur ainsi que des photos coquines.

Préliminaires en mer

Je ne pensais pas qu’elle irait aussi loin d’ailleurs, de poses timides où elle minaudait devant mon objectif, elle s’est peu à peu libérée jusqu’à m’ouvrir ses jambes en grand pour me montrer toute son intimité, sa jolie chatte toute trempée de mouille et son petit trou, également oint d’une cyprine grasse et abondante. Le bateau tanguait légèrement, nous entendions le clapotis des vagues sur la coque auquel répondaient en échos ceux du sexe d’Élodie. Sa chatte était toute gonflée de désir et mouillait en continu, elle était toujours partante pour me sucer sur le pont, risquant à tout moment que quelqu’un nous aperçoive d’une autre embarcation. Elle s’en fichait. Jamais je ne l’ai vue aussi enthousiaste pour la gaudriole.

Notre esquif était pourvu d’une cabine et, après chacune de ses exhibitions, de plus en plus chaudes, nous y descendions pour baiser. Elle affichait son joli cul avant de descendre devant moi d’une démarche chaloupée qui me permettait de regarder tous ses secrets féminins. Allongée sur la couchette, elle reprenait alors des poses lascives, plus que suggestives, se touchant partout, caressant ses seins bombés, pinçant ses mamelons en gémissant comme une petite salope pour finir par écarter les lèvres de son minou et faire saillir son gros clitoris qu’elle masturbait en attendant que je m’en occupe avec ma langue.

Je m’agenouillais pour lui lécher tous les orifices, elle relevait les fesses, exprès, m’indiquant de façon muette qu’elle voulait que je lui lape le trou du cul. Sa peau et ses muqueuses étaient souvent salées à cause de l’eau de mer, ma salive abondante se mêlait à sa cyprine, elle étouffait ses râles de plaisir en enfouissant sa tête dans l’oreiller et me suppliait de la prendre fort pour la faire jouir.

fantasme et plaisir libertin

Ma longue queue l’a toujours rendue folle, mais là, c’était vraiment spécial, Élodie était déchaînée, sexuelle telle que je ne l’avais jamais connue. Elle me parlait tandis que je la besognais comme un sourd, me racontant qu’elle aurait bien aimé qu’un inconnu s’invite sur notre embarcation, me décrivant comment elle le sucerait pendant que je la limais, avec quel vice elle lui présenterait son arrière-train à l’anus gonflé de désir et comment il l’enculerait alors qu’elle m’accueillerait dans sa bouche pour une gorge profonde. Combien de fois ai-je éjaculé avant de l’avoir menée à l’orgasme? Mais elle n’en avait jamais assez et se jetait sur ma bite pour me pomper après que je sois redevenu flasque. Elle me turlutait jusqu’à ce que je bande à nouveau et, en levrette, fesses largement écartées, me demandait de la sodomiser en prenant bien soin d’immortaliser l’instant en photos.

Je lui bouffais alors le fondement, enfonçant ma langue le plus viscéralement possible dans son anus coloré et riche de mille parfums avant d’y loger ma grosse queue. Je l’empaffais sans ménagement, elle ouvrait ses globes pour augmenter la dilatation de sa pastille et me permettre de la foutre au plus profond, me caressant les couilles par la même occasion ou appliquant de la salive sur ma hampe afin qu’elle coulisse mieux dans son rectum. Elle m’encourageait à l’enculer plus fort, jusqu’à ce qu’elle parte dans un orgasme fou, criant son plaisir dans la petite cabine et appelant une nouvelle rasade de sperme de ma part. Lorsque je me sentais venir, elle me prenait entre ses lèvres et me branlait à fond pour que ma laitance coule dans sa gorge.

Avec le temps, nous avons même fini par baiser sous des pins parasols, protégés, le croyais-je, par cette crique inaccessible. J’étais en pleine levrette, claquant le cul d’Élodie, ma pine bien au fond de son rectum, lorsque nous nous sommes aperçu qu’un couple nous matait non loin, la fille semblait agitée, en fait elle masturbait l’homme qui l’accompagnait. C’est ma moitié qui leur a fait signe d’approcher, la femme s’est penchée pour lui donner un smack et ils ont baisé là, debout à côté de nous. Lorsque le type a dit qu’il allait jaillir, Élodie a ouvert la bouche et il est venu juter en elle. Sa compagne m’a roulé une pelle et m’a invité à lui mettre deux doigts dans la chatte. Quand elle a giclé sur le sable brûlant, j’ai balancé ma sève dans le con de ma douce qui a joui dans un cri extatique.

A lire aussi :

Exhibition en mer 

Minou en mer

Une expérience de libertinage très chaude. 

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru