Traiteur sur gage

La rédaction 3 février 2025

Voici mon histoire de sexe amateur. C’était un été où j’avais réussi à me dégoter un petit boulot pour payer mes vacances. Je bossais pour un traiteur qui faisait des réceptions et des mariages. Je passais beaucoup de soirées dans des lieux magnifiques, où je servais des canapés et des boissons sur des plateaux. Je m’entendais très bien avec l’équipe, et j’avais mes chouchous, Alexandra et Pierrick, eux aussi serveurs comme moi, avec qui nous faisions les quatre cents coups. Souvent, il y avait un moment de la soirée où l’ambiance se relâchait et qui correspondait à la fin de notre service. Les convives dansaient et étaient occupés à se bourrer la gueule et nous, nous piquions une bouteille de champagne pour la siroter dans un coin de jardin ou une pièce inoccupée.

Des collègues et des photos de charme

Ce soir-là, nous nous étions réfugiés dans une sorte de cottage éloigné de la fête dans le jardin, une espèce de petit studio pour accueillir des invités. Nous étions tous les trois en train de nous marrer et nous avions retiré nos uniformes de service car la chaleur était suffocante. Nous étions donc en sous-vêtements en train de fumer des clopes et de siffler le champagne au goulot quand Alexandra s’est levée, son téléphone à la main. “J’ai envie de vous prendre en photo, vous êtes grave beaux, on dirait des rock stars en train de picoler après un concert.” Pierrick et moi avons joué le jeu en posant avec nos clopes au bec et nos corps dénudés. J’ai poussé le petit jeu encore plus loin en posant pour elle seins nus sur le canapé. J’avais des bas résilles, un string bleu et je me savais irrésistible. J’ai senti le regard de Pierrick en train de me mater et ça m’a beaucoup excitée de sentir que je lui faisais de l’effet.

Alexandra se la jouait photographe de charme. “Embrassez-vous un peu !” La proposition nous a fait rire, Pierrick et moi, et nous avons échangé un regard complice. Il m’avait toujours plu, alors je n’étais pas contre ! Parce qu’Alexandra nous encourageait, nous nous sommes roulé une pelle pour la photo. Au début, c’était comme une blague. Mais nous nous sommes pris à ce jeu et j’ai senti que ce roulage de pelle nous avait troublés tous les deux – au point de continuer à nous galocher bien après la photo. J’ai senti le désir nous électriser et rapprocher irrésistiblement nos corps.

Une aventure voyeuriste

Pris par l’excitation du moment, le baiser s’est prolongé et nous avons commencé à nous caresser. Alexandra n’a rien dit et a continué à faire des photos. C’était comme un accord tacite entre nous trois : il allait se passer quelque chose. Le désir est monté encore d’un cran, fulgurant, dans mon corps et mon entrejambe. Cette montée m’a poussée vers lui, au point de finir peau contre peau sans plus aucun sous-vêtement sur le dos. Je me suis penchée pour prendre sa queue en bouche, devenue très raide de par ce brusque renversement de situation. Nous nous sommes installés sur le canapé où il s’est positionné entre mes jambes pour me prendre, toujours sous l’œil voyeuriste et fasciné d’Alexandra. J’ai levé une patte pour la poser sur son épaule. Il m’a pénétrée avec une grande douceur. Puis je me suis mise à califourchon sur mon pote serveur pour le prendre en moi. Alexandra, derrière moi, prenait encore des photos avec le flash, qui éclairaient temporairement nos corps bronzés et nos ébats de sa lumière crue. Pierrick allait et venait en moi, et je n’aurais voulu être nulle part ailleurs sur cette planète.

Sa bite était dure et douce à la fois, c’était comme si mon alter ego sexuel s’était trouvé là sous mon nez pendant tout ce temps et qu’il me montrait subitement à quel point c’était un bon coup et à quel point on pouvait s’entendre, sexuellement parlant. La sensation de sa bite dans ma chatte était planante et Pierrick n’était plus un collègue, mais le coup du siècle. Et Alexandra, la meilleure des entremetteuses ! J’en ai presque oublié sa présence quand Pierrick a joui sur ma poitrine dans la chaleur tendre de la nuit. Je me suis désaltérée au champagne pour reprendre mes esprits et Alexandra, de par son sourire, semblait avoir elle aussi pris son pied !

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