Copain qui partage le pain et copine qui partage la …
16 novembre 2025
Ma compagne, Fleur, a vingt-cinq de moins que moi et je peux vous garantir une chose, au lit, ça n’a plus rien à voir avec ce que je vivais au sein de mon mariage. Cette jeune femme a toujours envie, quel que soit l’endroit, qu’elle ait ses règles ou non, elle n’a jamais « mal à la tête », si vous voyez ce que je veux dire ! Dès que nous nous sommes rencontrés, cela a été l’osmose, elle « kiffe », comme elle dit, les hommes plus âgés, elle apprécie leur expérience, leur douceur, leur connaissance du corps féminin, mais elle ne s’arrête pas là, elle est également totalement bisexuelle, enfin, elle se définit comme « pansexuelle » exactement. Voici mon histoire de sexe amateur érotique.
Ma compagne aime le partage
Tout cela me dépasse un peu, je l’avoue, mais une chose est sûre, j’en tire tous les bénéfices. Il n’est pas rare qu’elle rentre le soir avec une amie, plus rarement un homme et, en bonne « copine », elle partage la pine, enfin, MA pine l’occurrence ! Ce soir de l’été dernier, elle m’a présenté Jessica, Jess pour les intimes, et, intimes, nous le sommes devenu très rapidement. Encore une fois, elle avait vanté mes mérites d’amant à cette charmante blonde aux yeux bleus qui s’était laissée convaincre, non seulement par l’idée d’une baise à trois, mais aussi d’accepter de céder à mon petit caprice, fixer nos ébats sur pellicule. Comme souvent, la soirée a commencé par de la danse, électro pour débuter puis lascive, les corps de ces deux beautés se dénuant sur des rythmes chaloupés alors que je prenais les premiers clichés des grâces entrelacées.
Ma compagne a un don pour choisir des partenaires plus belles et sensuelles les unes que les autres, Jessica, en plus d’une taille de guêpe, affichait un tour de poitrine exubérant, des seins généreux et fermes, décorés de grandes aréoles, comme des aplats rose pâle qui rehaussaient encore l’élégance érotique qui se dégageait d’elle. Notre grand canapé en cuir bordeaux fut l’écrin évident pour les premières caresses de ces Diane saphiques. Fleur y prit place, offerte et disposée à recevoir toutes les caresses de son amante d’un soir. Celle-ci s’agenouilla comme on le ferait devant un autel, religieusement, recueillie, mais le regard était fiévreux, comme possédé, les yeux fixés sur cet agneau sacrificiel duquel elle s’approcha avec révérence. Et j’ai vu la transmutation des caresses buccales en plaisir pur, en un orgasme d’une rare intensité. Jessica avait l’art et la manière, sa petite langue ne posa pas sur le dôme protecteur du clitoris, mais dessina en arabesques interminables, toutes les circonvolutions du sexe de ma compagne, laissant le temps à son antre de couler en abondance, libérant une source abondante et chatoyante.
La jouissance de Fleur
Le fourreau ainsi lubrifié accepta un, puis deux doigts, ce n’est qu’alors que le contact avec la gemme vibrante se fit. La jouissance de Fleur fut une véritable offrande, sa fente libéra une cataracte chaude, une onde de cyprine pure qui accompagna un long cri sourd et étouffé. Les rôles s’inversèrent alors et ma moitié usa de l’immense éventail de son savoir-faire sensuel. Tétant d’abord les tétons bandés, l’échant les couronnes claires, pressant les globes charnus, avant d’entamer une lente descente calculée, jusqu’au calice de Jessica. Le sillon semblait être une corne d’abondance et ma douce s’empressa enfin de laper la divine ambroisie, dégageant les nymphes, laissant saillir le clitoris de son voile protecteur pour, enfin, aspirer cette géode magique.
Fleur et elle ayant joui à plusieurs reprises, se dirigèrent dès lors vers moi, avançant à quatre pattes, leur attitude se faisant chienne, mon excitation était à son comble lorsque deux langues se posèrent sur mon chibre prêt à exploser. Ma queue a été happée, délicatement léchée, des bourses jusqu’au gland, avant que Fleur aide Jessica à grimper sur moi. Nous nous enfonçâmes dans le cuir chaud d’un fauteuil et, bientôt, je sentis l’antre brûlant et humide qui tentait de s’arrimer à ma bite. Ce fut chose faite grâce à l’intervention de ma compagne, mon pieu disparut dans une fournaise huileuse et très serrée, vaincu, je me laissais faire, dominé par cette silhouette aux seins d’airain et aux hanches toujours en mouvement.
Ma duettiste se mena seule à l’orgasme, sans que je ne fasse rien, tout cela sous l’œil attentif et gourmand de Fleur qui, ayant pris le relais, nous prenait en photo. Le final de cette soirée se déroula, comme toujours, entre moi et ma jeune bien-aimée, je vis son derrière galbé, parfait, venir à a rencontre de ma queue, qu’elle logea au fond de son anus exigu, quelques va-et-vient et je jouissais en râlant de bonheur.
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