Loveuse : éloge de la sodomie
23 octobre 2024Dans son témoignage, Loveuse une libertine, partage sa première expérience de sodomie. Tant désirée, elle explique son impatience et son amant hors pair.
33 ans, fonctionnaire dans le Morbihan, en couple sans être mariée et aujourd’hui, libertine… Loveuse aime les hommes, uniquement les hommes. Ouverte à de nombreux plaisirs, elle aime les caresser, les prendre dans sa bouche mais surtout, les recevoir entre ses fesses. Sensation de domination, d’impudeur, de se sentir « salope et soumise », la sodomie lui procure de délicieux frissons. Une pratique qui n’a jamais été tabou pour elle, même si elle a dû attendre plusieurs « copains » pour enfin s’y adonner et s’y abandonner.
Sa première sodo ? Un amour d’été, elle avait 19 ans : « J’avais trouvé un job de serveuse pour me faire un peu d’argent. Il avait dix ans de plus que moi, serveur aussi. J’étais complètement amoureuse. Il m’a sodomisée dès la première fois. J’étais enfin heureuse de rencontrer un homme qui s’intéresse à mon petit trou. »
Avant cette aventure, Loveuse avait connu plusieurs garçons, des expériences qui lui avait laissé quelques sentiments de frustrations : « C’était aussi de ma faute car je n’osais pas leur dire ce qui me faisait envie. Dans mon imagination, me faire sodomiser, c’était l’impression d’appartenir totalement à mon partenaire et c’est ce que je souhaitais. Mais ils étaient peu expérimentés tout comme moi.»
Une petite annonce sur Internet, un départ pour deux mois ( logée nourrie) dans un lieu touristique de Vendée et une rencontre : « J’ai vraiment eu de la chance car il savait très bien y faire. Déjà, rien que sa langue autour et à l’intérieur de mon anus, c’était du pur bonheur. Je n’ai pas eu à lui dire tout ce que je ressentais. »
Elle aimerait l’encourager mais elle n’ose pas trop. Lorsqu’il la guide pour se mettre à quatre pattes, elle ne sait pas encore par quel orifice il va la pénétrer : « Et puis, j’ai senti qu’il écartait mes fesses d’une main et son gland est venu butter sur mon anus. J’étais tellement excitée, j’avais tant envie de ça que je n’ai pas le souvenir d’avoir eu mal. »
Il la pénètre lentement avec douceur puis, arrivent les premiers va-et-vient : « J’étais comme folle de plaisir, j’avais envie de prononcer des mots crus mais, trop pudique à l’époque, ils sont restés dans ma tête. Peu importe ! C’était ma première sodomie et j’adorais ça. »
Depuis, c’est un plaisir dont elle ne peut plus se passer, aussi bien en couple que dans ses relations libertines.
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