Madame est sortie
1 février 2019Comme tous les jours en cette période de pré-rentrée universitaire, la délicieuse Naila se rend chez sa patronne pour faire le ménage en tenue de soubrette. La propriétaire des lieux est absente, mais notre piquante fée du logis va faire la connaissance du frère de Madame, qui va lui montrer comment se servir d’un autre manche que celui du balai !
J’avais trouvé ce job peinard pour la durée des vacances d’été en attendant de reprendre la fac. Soubrette, c’était un taf assez tranquille et plutôt drôle puisque la femme qui m’employait, une grande avocate lyonnaise, m’avait même affublée de la tenue adéquate pour ce job.
Un trip un peu spécial, mais au prix où elle me payait pour faire le ménage chez elle, je n’allais pas faire la fine bouche !
Ce jour-là, je suis arrivée un peu à la bourre au taf. Je savais que Madame était absente puisqu’elle m’avait dit qu’elle se rendait à Paris pour y plaider une grosse affaire. Je n’étais donc pas obligée de revêtir ma tenue. Pourtant, je dois reconnaître que le cérémonial me plaisait beaucoup.
Je me suis donc dirigée vers l’armoire où je rangeais soigneusement mes vêtements bien pliés, chaque fin d’après-midi, avant de rentrer chez moi.
J’ai ôté mes habits de ville pour me transformer en super-soubrette. J’avoue que ce changement radical éveillait à chaque fois en moi une sorte d’excitation passagère. J’avais l’impression de me transformer en actrice porno avec ce look assez classique des films X que j’avais pu découvrir, planqués dans les affaires de mon frangin. En sous-vêtements, je me sentais observée. Je m’étais même demandé plus d’une fois si la maîtresse des lieux n’avait pas fait installer des webcams dans cette partie de la pièce afin de scruter mes formes généreuses.
Mais jusqu’alors, je n’avais jamais rien découvert permettant de concrétiser mes suppositions. Il est vrai qu’à plusieurs reprises, j’avais surpris l’avocate qui me dévisageait littéralement pendant que je passais l’aspirateur, ce qui offrait une vue plongeante sur mes fesses rebondies. Une fois même, elle m’avait demandé si cela me dérangeait qu’elle me regarde me changer.
Bien évidemment, j’avais trouvé l’idée étrange mais, en même temps, comme je suis une fille plutôt délurée, je n’avais pas vu d’objection à ce qu’elle s’offre un plaisir des yeux…J’avais même secrètement espéré que la situation dégénère en ébats fougueux mais, visiblement, cette femme s’interdisait tout écart !Une fois en tenue de « combat », j’ai commencé à faire les poussières des meubles du salon. Seule dans ce si grand appartement et pressée d’aller retrouver mon mec, j’avais bien l’intention de profiter de l’absence de la maîtresse de maison pour revoir à la baisse mes horaire du jour !
Je me suis vite dirigée vers la chambre d’amis. J’avais l’intention de passer un bon coup d’aspirateur dans cette pièce qui ne servait presque jamais.
En ouvrant la porte, j’ai eu la surprise d’y découvrir un homme en pleine lecture. Même si j’ai été un peu décontenancée par la présence d’un inconnu en ce lieu, mes yeux se sont vite posés sur ce corps plus qu’appétissant.
Le monsieur avait troqué les journaux people pour interstron.ru et semblait, si j’en jugeais par les allers-retours de sa main le long de son sexe, y prendre un plaisir non dissimulé…Lorsqu’il m’a perçue dans l’embrasure de la porte, le pauvre homme a changé de couleur et a recouvert son corps nu en poussant un léger cri de surprise : « Heu bonjour, heu désolé, je suis le frère de la propriétaire, heu pardon, heu oui enfin, elle m’a prêté l’appart’ le temps de mon séjour à Lyon, je pensais qu’elle vous avait prévenue, heu désolé, pardon encore…. » Il était touchant à être troublé comme ça. D’un air mutin, je lui ai répondu que je le laissais à ses activités et que je retournais aux miennes, dans le salon.
A peine m’étais-je replongée dans les occupations de parfaite soubrette que j’ai entendu le robinet de la douche se mettre en marche. Monsieur était visiblement décidé de passer un moment sous l’eau froide afin de calmer ses ardeurs. Quel dommage ! Personnellement, la vue de ce corps et surtout de cette queue tendue avait aiguisé mes envies. J’avais la ferme intention de jouer mon rôle de soubrette dévouée jusqu’au bout.
En mode garce, je me suis lentement dirigée vers la salle de bain. Une boule d’excitation grandissait au fond de mes entrailles. Le frère de ma patronne avait laissé la porte entrouverte et, sans réfléchir davantage, je me suis glissée à l’intérieur de la pièce pour découvrir son corps nu. J’étais désormais terriblement excitée par cette situation tout à fait imprévue et, sans même une parole, j’ai plaqué les mains contre son torse pour peu à peu descendre vers son sexe, qui n’avait plus quitté mon esprit depuis que j’étais entrée dans cette chambre. Mes doigts ont glissé le long de sa peau pour atteindre son membre que mes caresses avaient fait doubler de volume. Hum, cette bite était large, grande et surtout bien dure. Un véritable appel au sexe !
Afin d’être plus à l’aise, nous avons troqué la salle de bain pour la chambre. Nu comme Adam, Thomas – c’était son nom – s’est jeté sur moi pour me rouler une pelle à en perdre le souffle. Visiblement très excité par la petite soubrette qui s’offrait à lui, il a plongé ses mains dans mon chemisier pour saisir ma lourde poitrine qui fait fantasmer tant d’hommes.
Il ne lui a pas fallu bien longtemps pour me débarrasser de mes habits, ne me laissant que mes bas noirs auto-fixants.
En 69, j’ai plongé sur la grosse queue qui s’offrait à moi. Elle était si épaisse que j’ai eu du mal à la faire disparaître dans ma bouche. Je lapais ses couilles, léchais toute la longueur de sa belle tige avant de replonger comme une gourmande pour gober son gland violacé par le désir.
Thomas, de son côté, était loin de rester inactif.
Le frangin de Madame avait glissé sa langue au fond de mon intimité et prenait visiblement grand plaisir à me dévorer du clitoris jusqu’au petit trou. Je m’ouvrais comme un abricot top mûr sous ses caresses délicates et plaisantes. J’ondulais du bassin afin que cette langue se fraye un chemin dans mes endroits les plus intimes. Aux bruits émis par Thomas, j’imaginais que ma mouille abondante coulait sur son visage.
Visiblement, mon corps pulpeux lui inspirait autre chose qu’un 69. Sans que je m’en rende compte, il avait enfilé un préso et m’écartait maintenant largement les cuisses pour prendre possession de ma chatte enduite d’un mélange de mouille et de salive.
Son bel engin n’a eu aucun mal à se frayer un chemin dans mon petit minou. Sans plus attendre, il a commencé à me pilonner avec force, laissant échapper des râles qui témoignaient du plaisir qu’il ressentait. Abandonnée à ses assauts, je me faisais pénétrer, fouiller, défoncer par cette grosse bite qui venait enfin éteindre la vague de chaleur qui me parcourait le bas-ventre.
En ce moment précis, je souhaitais vivement que, comme je l’avais supposé, la maîtresse de maison ait planqué ça et là des webcams pour surveiller ce qui ce déroulait entre ses murs. J’imaginais sa tête si elle découvrait son frère se tapant la petite soubrette ! Cette image me poursuivait et ne faisait qu’accroître l’excitation déjà intense du moment…
J’ouvrais les cuisses à fond et je montrais ma chatte. On ne sait jamais ! Des fois que Madame puisse se délecter du spectacle qu’offraient nos corps mêlés…J’avoue qu’une petite langue féminine pour titiller mon clitoris alors que je me faisais prendre avec force n’aurait franchement pas été pour me déplaire.
Mais, en sortant de mes rêves éveillés, Thomas s’est allongé sur le dos pour me signifier son désir de me voir mener les ébats. Je me suis empalée sur sa bite bien raide et je l’ai fait disparaître au fond de ma chatte.
J’imprimais de grands coups de bassin alors qu’il avait désormais joint la parole au geste : « Tu sais quoi ? J’ai bien envie de te la mettre dans le cul ma bite ! » Ses mots m’ont rendue folle.
Il avait touché mon point sensible car j’adore que l’on me prenne par les fesses ! Je me suis confortablement installée sur le dos pour regarder ce gros engin s’enfoncer peu à peu à l’intérieur de mon cul, bien ouvert. Je kiffe cette sensation ! « Oui ! Vas-y ! Défonce-moi les fesses, j’aime ça, sentir ta belle queue dans mon petit trou, plus fort ! »
Sa belle bite faisait des merveilles et m’arrachait des cris de plaisir. J’avais l’impression d’être complétement dilatée, écartelée par cette tige qui me limait à grand coups d’allers-retours de plus en plus rapides. En plus, je branlais mon clitoris tout gonflé pour accroître les délicieuses vibrations que me procurait cette visite en profondeur. Avide de sensations fortes, je me suis même aventurée à glisser deux doigts au fond de mon vagin. A travers la fine paroi de mes entrailles, je sentais cette bonne grosse queue qui me fouillait avec talent. Je faisais disparaître mes doigts en moi au même rythme que les coups de bite que mon amant m’assenait. Il s’enfonçait maintenant jusqu’à la garde, s’amusant à claquer ses grosses couilles bien pleines sur mon cul ouvert. Je criais mon bonheur, et il plongeait sa langue dans ma bouche pour calmer mes ardeurs et très certainement, pour éviter d’en faire trop profiter le voisinage. Des fois que sa très chère sœur vienne à en être informée…
Désormais empalée sur son énorme nœud, je rythmais la pénétration de sa bite au fond de mon cul en m’appliquant à la faire disparaître tout entière en moi. J’adore avoir une bonne grosse queue bien plantée entre mes fesses et alors, j’ondule du bassin afin de masturber mon partenaire dans mon divin petit cul.
A ses gémissements, j’ai compris que nous n’étions pas loin de la fin de notre corps à corps. Extirpant sa tige de mon fondement, je me suis ruée dessus pour enlever son préso et laper son engin magique très proche de l’explosion.
Je n’ai pas eu bien longtemps à attendre puisque quelques coups de langue ont suffi pour que mon amant du jour se répande sur mon visage.
Je l’ai fixé droit dans les yeux avant de venir boire les dernières gouttes qui coulaient de son joli gland. Après une bonne douche (en solo, quand je me lave, je me lave !), je suis retournée à mes tâches ménagères, non sans espérer que Madame pourrait se délecter de mes ébats avec son frère…
À retrouver sur notre plateforme VOD
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Weimer
Trop bon ,pas facile de trouver des partenaires comme ça.