Voisine guetteuse
18 octobre 2021Je m’appelle Clara, j’ai 29 ans et j’adore vos histoires de sexe. J’habite une petite résidence calme à Issy-les-Moulineaux, une ville à la lisière sud-ouest de Paris. J’ai une vie sympa, un bon poste dans une boite de mode, j’ai une sexualité libre mais que je qualifierais de « conventionnelle plus » même si je suis pansexuelle. Je peux coucher aussi bien avec un homme qu’avec une femme mais dans mon intimité. Je n’ai de fantasmes de pluralité, d’exhibition. Une sexualité épanouie mais tranquille.
Des voisins charmants
Juste avant le confinement il y a eu un emménagement dans l’appartement juste en face de mon immeuble. Un couple de trentenaire a repris l’appartement d’un couple de retraités qui sont partis dans le sud je crois. Je ne regarde pas plus que ça ce bâtiment en vis-à-vis mais, au gré d’une cigarette vespérale, je m’installe sur mon balcon et je jette un coup d’œil en face entre deux tweets. Bien m’en a pris !
J’ai fait la connaissance de Benjamin et Irène, les nouveaux habitants de la copropriété, à l’occasion d’un pot qu’ils ont organisé peu après le déconfinement. On s’est tout de suite bien entendus, le courant est surtout très bien passé avec Irène. Drôle, branchée mode, je lui ai dit que je pouvais lui avoir des invitations pour des ventes privées de créateur, elle m’a proposé qu’on puisse se prêter ou s’échanger des fringues. Une bonne copine en devenir, assurément. Benjamin était un peu plus timide, moins après deux verres de whisky, je ne le trouvais pas beau à proprement parler mais il avait de belles mains, une gestuelle assez hypnotique et surtout, avait un humour qui a failli nous faire faire pipi dans nos culottes avec Irène.
C’était donc, à mes yeux, un petit couple sympa qui allait pouvoir devenir des voisins cools avec qui on pourrait s’entraider et se recevoir. Je n’ai senti aucun sous-entendu même si Irène était très tactile et me prenait par le bras ou par la taille pour faire un selfie.
Et me voilà donc posée sur mon balcon, une cigarette et un spritz sur ma petite table. J’ai allumé ma cigarette et j’ai bu une petite gorgée de mon apéritif, la chaleur était écrasante et la luminosité de la fin de cette journée d’été faisait rougeoyer le ciel. Je me détendais d’une longue journée de travail en checkant mes mails et mes autres messages sur les réseaux sociaux. Mes yeux étaient fatigués d’avoir été fixés sur un écran toute la journée, aussi j’ai préféré lever le nez de mon téléphone et j’ai regardé les appartements d’en face, carrés bien alignés telles des cases de bande dessinée. Chaque alcôve racontait son histoire. Là une femme en cuisine qui préparait le souper, ici la lumière bleutée d’une télé diffusant son halo sur les rideaux blancs, là encore les rideaux clos d’un couple parti en vacances puis j’ai glissé un œil curieux chez Irène et Benjamin.
Vous voyez ce petit mouvement de la tête qu’on voit dans les films quand le héros revient en arrière parce qu’un truc fou est passé dans son champ visuel ? Et bien … j’ai fait exactement le même en ouvrant des billes toutes rondes !
Un oeil chez les voisins
J’ai parcouru l’appart de gauche à droite, la cuisine, rien, le salon rien, l’angle avec la fenêtre de leur chambre rien … hop ! Hop ! Hop ! Il m’avait semblé voir bouger sur le balcon ! Je n’en revenais pas ! Mon petit couple bien sage était en pleine baise en extérieur. Irène était en appui sur la balustrade, le cul super cambré et je ne voyais que les cheveux bouclés de Benjamin et vu sa position, il ne pouvait rien faire d’autre que de bouffer le cul de sa femme ! Irène avait l’air d’apprécier la caresse, elle avait la tête penchée en avant et ondulait des hanches et des fesses, tout au plaisir de la linguale caresse.
J’ai redressé le dossier de mon fauteuil de jardin et j’ai plissé les yeux pour mieux voir. Le cunni ou l’anulingus a duré un moment puis ils ont inversé les rôles, ils avaient l’air chaud tous les deux. Benjamin s’est assis sur une chaise et Irène s’est accroupie, je voyais sa tête monter et descendre en rythme, pas besoin de vous faire un dessin, une belle pipe dans les règles de l’art était en train ! J’ai lentement relevé ma mini-jupe sous mes fesses en me tortillant et j’ai écarté un pan de ma culotte, mon sexe s’était humidifié en un clin d’œil, j’ai décalotté mon clito et j’ai commencé à me caresser du bout de mon majeur. J’aime entretenir ma tension sexuelle en laissant le plaisir longtemps entre deux eaux sans me faire venir trop vite.
Le manège de la fellation a duré un peu, visiblement les deux tourtereaux aimaient les caresses bucco-génitales et je me régalais de voir le gland et le haut de la hampe de Benjamin lorsque sa compagne plongeait en contrebas, j’ai supposé, pour lui lécher les couilles qui m’étaient dissimulées par le haut du parapet. Là Benjamin et Irène se sont roulé une pelle d’anthologie et lui s’est levé en invitant Irène à faire de même. J’ai découvert les seins de la belle, opulents, deux beaux demi-melons posés bien haut sur son torse, elle a repris sa position en levrette debout et il est venu derrière elle, je l’ai distinctement vu fléchir les jambes puis remonter d’un coup ! La vache ! Ca c’était ce qui s’appelle « être prise à la hussarde » ou je ne m’y connaissais pas.
Benjamin y est allé de bon cœur, les seins d’Irène ballotaient dans tous les sens, elle se les chopait de temps en temps pour s’étirer les bouts. J’ai failli reprendre mon téléphone pour les filmer mais j’étais trop excité et je ne voulais pas lâcher mon bourgeon de plus en plus sensible et réactif. Ce trémoussement de ma part pour orienter mon fauteuil de manière à avoir un meilleur angle de vue, c’est là que j’ai commis l’heureuse erreur. Mon mouvement a attiré le regard d’Irène. Je suis restée pétrifiée. Prise en flag de voyeurisme avec les petits nouveaux. Comme une idiote j’ai éloigné ma main de ma chatte comme si cette dernière était devenue brûlante d’un coup, j’ai rabattu ma jupe comme une gamine surprise en train de masturber dans les toilettes de son bahut.
Mais la réaction du couple n’a pas du tout été celle à laquelle je m’attendais. J’ai vu ma copine de mode tourner la tête vers Benjamin et d’un coup de menton elle a désigné ma position. Nouveau palabre entre les deux, j’étais rouge comme une tomate mais de si loin ils n’ont pas pu le voir et finalement Irène m’a fait un signe de la main « Rejoins-nous ! ».
Invitation spéciale
J’étais sur le point de me lever et de me réfugier dans mon appart, la honte au ventre et aux joues mais finalement, la proposition était plus que tentante. Ca faisait un moment que je n’avais pas baisé, le calme plat depuis deux semaines à vrai dire, ces deux-là me plaisaient bien et puis, tant qu’à faire un plan à trois pour la première fois, autant franchir le pas avec un couple sans attache affective particulière entre nous.
Ni une, ni deux, je me suis levé, j’ai attrapé une bouteille de Chablis dans le réfrigérateur, mes clefs d’appart, j’ai retiré ma culotte que j’ai abandonné sur le plan de travail de la cuisine et je me suis précipité dans le couloir pour appeler l’ascenseur. Quelques minutes plus tard, je sonnais à l’interphone d’Irène et de Benjamin, une voix féminine m’a dit « Tu connais l’étage ma belle petite salope, deuxième porte au fond à gauche. » J’ai eu un moment d’hésitation, jamais je n’aurais cru Irène capable de parler ainsi, aussi crument. Mon excitation était à son comble, je suis montée les rejoindre.
La porte était entrouverte sur la palier, je suis entrée comme une ombre et j’ai refermé derrière moi. Les deux amants étaient enlacés dans le canapé, entièrement nus, Benjamin était assis et Irène le chevauchait, les lumières étaient tamisées, pas assez tout de même pour me cacher le principal : une belle chatte imberbe et écartelée sur un pieux d’un diamètre impressionnant et un plug à diamant rose planté dans le cul d’Irène ! Décidément, j’allais de surprise en surprise.
C’est Benjamin qui m’a fait signe d’approcher, je me suis jetée dans le grand bain direct, j’ai défait la ceinture de ma jupe et pendant que j’enjambais le bout de tissu tombé au sol je retirais mon chemisier et mon soutien-gorge. J’ai enfin pu voir les deux seins opulents d’Irène dont Benjamin suçait les tétons en alternance. Elle avait une paire de nibards dantesque ! J’ai porté ma main jusqu’à une de ces demi sphères quasi parfaites et j’ai pincé ses mamelons, Irène, les yeux clos a soupiré puis a ouvert ses grands yeux bleus sur moi. Doucement j’ai senti les mains se poser sur moi. C’était doux et étrangement excitant de ne pas savoir quel était le propriétaire des mains en fonction des endroits explorés.
J’ai été caressée, doigtée, claquée, enculée, j’ai eu les tétons pincés, la peau doucement torturée de mille effleurements. Irène s’est dégagée de sa position et a pris une paire de pince tétons sur la table basse, elle a mis mes bouts de seins dedans. Quelle sensation bizarre que d’être partagée entre douleur et plaisir. Elle m’a fait mettre à quatre patte, je me rendais compte que j’étais en train d’accepter de leur être soumise pour la soirée, m’a attaché un collier autour du cou puis une laisse. Elle m’a ainsi guidée jusqu’au chibre de Benjamin et m’a fait comprendre que je devais sucer son mec.
Sous les ordres des amants
Je me suis approché du sexe tendu, il était odorant des vestiges de leur pénétration. Je me suis délectée de ces sucs au goût prononcé, puis j’ai gobé le monument en érection. J’ai connu des types bien montés mais là, ça dépassait l’entendement. Sa bite était large, longue, épaisse posée sur une paire de bourses aussi grosses que mes poings. Je suis menue mais tout de même !
J’ai eu le droit à la totale ce soir-là ! Irène a enfilé un gode ceinture et m’a baisée comme une petite chienne en m’insultant de tous les noms pendant que je suçais son mec. Mon mascara coulait sur mes joues tant je me décrochais la mâchoire pour l’avaler le plus loin possible. Benjamin m’a baisée sur le canapé tandis que sa femme me présentait son minou et son anus à lécher. J’ai même eu le droit à ma première double pénétration , Benjamin dans ma chatte (impossible de l’accueillir en sodomie, très peu pour moi !) et Irène dans mon fondement toujours avec son gode-ceinture.
Ils m’ont fait gicler, Irène s’est fait éjaculer sur mes seins puis ça a été le tour de Benjamin de déverser son foutre épais sur les seins de sa dulcinée. J’ai bien évidemment été « obligée » de lécher tout le sperme et d’avaler cette semence crémeuse.
Nous avons terminé tard dans la nuit et mes jambes ne me portaient plus et j’ai dormi entre eux dans leur lit. A six heures du matin j’ai été réveillée par des secousses, Benjamin était en train de se branler ! Infatigable le type ! J’ai bien compris qu’il avait besoin d’un coup de main, c’est le cas de le dire. Je me suis tournée sur le dos afin qu’il puisse me doigter la chatte et le cul et en quelques secondes il éjaculait de nouveau sur son ventre. J’ai de nouveau été invitée à venir le nettoyer avec ma langue. Irène s’est réveillée à cause de nos mouvements et m’a demandé un cunni. Nous nous sommes fait jouir devant un Benjamin dont la bite reprenait déjà de la vigueur, en soixante-neuf. Irène a réclamé le gros calibre de son mec et j’ai été stupéfaite de la facilité avec laquelle il l’a enculée, direct, sans lubrifiant, juste avec ma salive sur l’œillet souple.
Nous nous voyons deux soir par semaine désormais plus quelques week-end. Samedi prochain nous allons tous les trois dans une soirée privée et BDSM. Je ne sais pas jusqu’où cette histoire va me mener !
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