Un duo en cadeau

La rédaction 13 décembre 2019

Jules, 26 ans

Un duo en cadeau histoire de sexe

Après un premier trio, j’ai finalement convaincu Élodie de revisiter le corps et le sexe qui l’avaient tant fait trembler cet après-midi de printemps, dans un hôtel en banlieue de Lyon. Cette fois-ci, je voulais lui faire cadeau du meilleur pour son anniversaire : un duo seulement entre elle et lui. Elle pourrait enfin s’offrir à lui entièrement, et il s’en donnerait à coeur joie. Le principe : lui procurer le maximum de plaisir dans l’hygiène et le respect absolus.

Je bouillonnais après l’avoir vue partir dans sa jolie voiture avec sa robe courte, en toute simplicité… Ses cheveux magnifiques peignés, son gloss et son parfum irrésistible, rrrhhââ… Sa douceur et sa sensualité (si rares dans nos contrées) ne pouvaient que faire chavirer nos charmants gentlemen… Même si, bien sûr, tous n’ont pas la chance de découvrir l’intimité de ma beauté ! Elle est fidèle en amour et si, dans un partage amoureux, elle s’offre à un amant d’un jour, c’est une occasion aussi rare qu’exceptionnelle, afin d’en garder la magie.

J’ai demandé à notre complice d’un soir de nous conter de sa plus belle plume cette soirée d’été, ce vol d’amour et cette étreinte passionnée. Voici le récit. Régalez-vous et tremblez… d’excitation ! Elle est arrivée, superbe, dans sa robe bleue. Rapidement, elle s’est allongée, évitant mon regard dans un premier temps. Je lui ai dit que je la trouvais ravissante et elle m’a souri. Elle semblait un peu stressée au début, alors je lui ai proposé un massage. Nous sommes vite passés aux caresses.

J’ai écarté ses cuisses et pressé mon sexe dur sur le sien. Les premiers gémissements, visiblement contenus, ont fini par se libérer, comme un soulagement. J’ai glissé une main entre ses cuisses, tout en la déshabillant doucement. Elle a accueilli ma main en se laissant aller en arrière, cambrant les reins un peu plus. Elle était trempée, et je sentais qu’elle me voulait en elle. Mais c’était trop tôt. Je désirais la découvrir et l’entendre gémir encore.

J’ai fini de la dévêtir. C’est elle qui a libéré mon sexe. Elle l’a pris en bouche et rapidement, elle est allée très profondément. J’ai alors glissé deux doigts en elle tandis qu’elle me suçait. Elle a dû s’arrêter un instant pour pousser un soupir. L’envie devenait trop pressante : j’ai enfilé un préservatif tout en lui proposant mes bourses qu’elle a léchées. Ensuite, je l’ai pénétrée doucement, elle s’est laissée aller.

Au début, elle était allongée, offerte… Mais, après de multiples va-et-vient, profonds et enveloppant, elle s’est décidée et c’est elle qui m’a baisé. Elle s’est cambrée, a gémi, soufflé… Je me concentrais pour éviter de jouir. Son parfum, ses parfums, les effluves de nos corps envahissaient la chambre. Timide par ses regards, elle parlait avec les reins et m’offrait ses seins quand je tardais à les lécher. Je lui ai basculé une jambe pour la prendre plus profondément et l’entendre soupirer.

Je lui ai demandé si cela lui plaisait. Elle m’a répondu : « J’aime ta queue, ne t’arrête pas.» Spontanément, elle s’est tournée et m’a offert sa croupe. Son visage dans l’oreiller, elle s’est enfoncée dans le lit et je l’ai obligée à se cambrer un peu plus encore. Je regardais mon sexe aller et venir en elle. Je n’ai pas pu résister à la tentation de glisser un doigt dans son orifice ouvert. L’excitation était terrible. Ma queue gonflait à chaque frottement.

Un deuxième doigt est venu poindre à l’orée de son trou. J’ai senti sa main saisir mes bourses et m’imposer plus de profondeur. J’ai dû me retirer pour éviter de jouir et j’en ai profité pour la regarder, l’admirer ; la laisser respirer et soupirer. Nous avons échangé un bref regard. Elle s’est allongée à nouveau sur le dos et a croisé les doigts sur les miens afin de m’attirer contre elle. Son autre main m’a guidé en elle.

J’ai senti que je ne lui résisterais pas longtemps. J’ai tenté de me retirer, mais elle me pressait entre ses jambes et la voir se basculer et gémir de la sorte… Ça me faisait venir ! Je me suis redressé et je lui ai demandé si je pouvais jouir sur elle. Elle m’a répondu que oui. J’ai vite ôté le préservatif et j’ai giclé abondamment sur son ventre. Je me suis permis un doux baiser, déposé sur ses lèvres, un petit kiss de plaisir et de remerciement, quoi ! Cette soirée a été superbe et, alors qu’elle était déjà repartie, je me remémorais encore ces délicieux instants… avec une folle envie d’un encore !

Voilà ce que notre ami avait à dire… Ma femme est divine, d’une douceur, d’une discrétion, d’une sensualité et d’une gentillesse inégalables. Son sourire ravageur, sa peau finement cuivrée, d’un velouté incomparable, me font fondre à chaque instant. Tu es ma muse, mon amour ! Je suis fou de toi ! Je t’aime.

(Image à la une : Getty Images)

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« Un soir avant de nous endormir, au cours d’une longue séance de caresses et de léchouilles, j’ai gardé les deux accessoires à proximité, sous les draps. J’adore dévorer mon épouse, jouer avec la ficelle du string, taquiner son dito, envoûter ses orifices » Marc

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