À l’aide… ménagère !

Orane 3 mai 2021

Samy, 43 ans et sa femme se retrouve en pleine partie à 3 avec leur jeune aide ménagère bisexuelles.

Je m’appelle Samy, j’ai 43 ans et je vous raconte mon histoire de sexe.

Mon épouse a décidé de prendre une aide-ménagère pendant les vacances pour que nous ayons le moins de travail domestique possible à effectuer. Nous étions dans notre maison de campagne, en plein hiver, à nous occuper en faisant des jeux de société et en tenant des discussions au coin du feu alors qu’il neigeait dehors. Nous accueillions de temps en temps des amis qui venaient nous rendre visite quelques jours.

L’aide-ménagère, Lola, était une jeune femme, étudiante de 24 ans, à qui ma femme avait fait une faveur en l’embauchant car elle était la fille d’une amie. Ma femme et Lola cuisinaient ensemble et elle faisait un peu de ménage, mais globalement, nous l’avions adoptée et la considérions comme une jeune amie de plus parmi nous. Nous prenions nos repas ensemble et elle nous racontait sa vie d’étudiante en philo, ainsi que ses aventures bisexuelles. Comme nous sommes très libres par la parole ma femme Marie et moi, nous poussons à la confidence et la jeune Lola, chaque soir, nous régalait de ses histoires de ménage à trois, de liaisons avec tel homme ou telle femme à qui elle avait fini par briser le coeur…

Avec Marie, nous avons fini par être franchement intrigués par elle. Moi, j’avais envie de lui faire l’amour et Marie était elle aussi assez excitée par l’idée. A tel point qu’un soir que nous étions autour du feu, nous avons fini par lui demander ce qu’elle pensait de nous. Nous étions plus âgés qu’elle, la quarantaine, et nous nous demandions pourquoi elle nous racontait tout ça. Nos questions, faussement candides, ont eu l’effet escompté. Lola nous a couverts de compliments en disant à Marie à quel point elle était belle et moi, séduisant.

Ce soir-là, nous n’avions pas d’amis à la maison et nous étions tout à elle, avec une folle envie de nous rapprocher de cette jeune femme intrigante. J’étais assis entre ces deux beautés sur le canapé et mon épouse a pris mon visage entre ses mains en me désignant à notre invitée : “Alors Lola, que dirais-tu si je te le prêtais, le temps d’une heure ou deux ?” Elle a ri. “Non, mais vraiment, essaie-le, tu lui plais, il meurt d’envie de t’embrasser.” Elle nous a saisis tous les deux par le menton pour faire se rapprocher nos visages l’un de l’autre.

Lola a accueilli ce baiser un peu forcé avec enthousiasme. Sa langue s’est faufilée dans ma bouche, et ses lèvres ont sucé les miennes, les ont accrochées, les ont roulées doucement entre elles. L’excitation est venue directement durcir mon sexe dans mon pantalon. Mes mains ont atterri sur ses deux petits seins dodus qui ont empli mes paumes. Ma femme voulait voir Lola toute nue. Elle lui a dit de se mettre près de la cheminée et de dévêtir, ce qu’elle a fait avec une obéissance chargée de sensualité. Nous avons découvert sa petite chatte toute lisse, ses nichons bien ronds et ses tétons un peu larges mais mignons. Elle s’est même délassée sur la moquette, prenant des poses différentes pour nous exposer son corps, se doigtant ou se frottant contre le tapis comme une animale.

Toute sa silhouette était parfaitement dessinée et nous inspirait du désir à tous les deux. Ma femme l’a prise en photo. Elle s’est tournée vers moi pour m’embrasser et m’ordonner à mon tour de me foutre à poil. La jeune Lola et moi étions étions sous les ordres de Marie et ça nous excitait tous les deux. Disons que ça nous donnait une raison de nous rapprocher sans avoir à le faire dans son dos. C’était tellement plus subversif. Lola, nue, s’est remise à se doigter sur le sol près du feu, puis ma femme m’a envoyé vers elle. Suivant ses instructions, je me suis rapproché de Lola. “Suce-le, ma jolie. Il en rêve », a dit Marie. La jeune femme s’est exécutée.

C’était vraiment bandant comme configuration. Ma douce ordonnait à une femme de me sucer et moi, je n’avais plus qu’à me laisser faire. Que demander de plus ! La bouche de Lola allait et venait sur ma pine avec délicatesse. Nous nous réchauffions près de la source de chaleur. Ma femme nous prenait en photo en s’amusant avec ostentation. “Tu l’aimes, sa queue ? Tu veux te la prendre ? Est-ce qu’elle est aussi bien que celle de tes jeunes amants ?” Lola a gémi sans cesser sa pipe tout en se doigtant plus agressivement. Les mots de mon épouse semblaient faire effet sur elle et l’exciter autant que moi. J’ai mis un plaid sur une partie surélevée de la cheminée qui faisait comme un banc.

Elle s’y est assise en écartant les jambes, rendant sa fente plus accessible, et j’ai pu y tremper ma queue progressivement, en plantant mon regard dans le sien. Elle avait un air de coquine qui adore ça et elle m’a laissé m’enfoncer en elle en soutenant mon regard de feu. Ma femme continuait : “Prends-la bien, coulisse bien en elle, astique-la, fais-la gémir”. C’est ce que j’ai fait et j’ai intensifié les mouvements de mon bassin pour la prendre plus vite, ses jambes fines accrochées autour de moi, et sa chatte merveilleuse me faisant glisser en elle comme dans de la soie. Ses petits seins s’agitaient comme deux flans frémissants. Beauté !

Je la baisais plus fort sous les ordres de ma légitime, jusqu’à faire crier la jeune fille qui, par-dessus mon épaule, souriait à ma femme. Les deux chipies étaient complices et la jeune Lola ne tarderait pas à faire une minette à sa supérieure pour la faire jouir tandis que je me finirai par une branlette appuyée, rendue extatique par ce tableau de deux femmes s’acoquinant. Vision qui, depuis, nous accompagne parfois Marie et moi dans notre lit.

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