Le placard à malice
5 mars 2019Kevin, 25 ans, Trappes.
Quand j’ai vu Hélène, j’ai compris qu’il me la fallait pour mon tableau de chasse. Elle était blonde et bien roulée, mon type quoi. On s’est rencontré sur un plateau de télé. Elle était invitée, c’est une prof ou un truc comme ça, et elle faisait la promo de son bouquin dans une émission du soir. Moi, je fais la sécu sur les plateaux de la chaîne. Il y a toujours des fans agités ou des mecs qui viennent faire chier pour prendre des selfies avec le présentateur. Je suis là pour calmer tout le monde.
Après sa séquence dans l’émission, Hélène est partie dans les loges, mais je voyais bien qu’elle me matait. Elle faisait un peu MILF, même si elle était assez jeune, et je sais que je plais à ce genre de nana. Alors, j’ai tenté. Je l’ai suivie dans les loges.
Le couloir du plateau aux loges est super long et comme on était tout seul, elle a bien fini par se rendre compte que j’étais derrière. Elle a ralenti, et je suis arrivé près d’elle. Doucement, elle m’a dit : « Il n’y a pas un endroit au calme, ici ? ». Je n’ai rien dit, mais je lui ai pris la main et je l’ai amenée dans le local juste à côté des loges. Dedans, c’est un peu le bordel, il y a des câbles et des projecteurs empilés, mais aussi une espèce de banquette et surtout une serrure qui fonctionne.
J’ai claqué la porte et j’ai regardé Hélène. On n’avait pas plus de vingt-cinq minutes devant nous, je devait retourner sur le plateau. Alors je l’ai pécho direct : grosses pelles, vêtements qui sautent et petit doigt dans le teuch pour voir comment elle se sentait. Elle mouillait à fond et se tortillait comme une professionnelle.
Vu comme elle avait l’air douée pour le cul, j’ai voulu la tester sur la pipe. Je l’ai foutue à quatre pattes et je lui ai mis mon dard devant le nez. Elle a vite trouvé le bon rythme pour me pomper, en même temps qu’elle me caressait les couilles.
Quand j’ai eu le dard en feu, j’ai décidé de la prendre. Je l’ai installée en levrette sur la banquette et je l’ai matée en train de s’exciter : elle s’est mise à se doigter, à écarter sa chatte et son fion, et du coup, je ne savais lequel des deux choisir.
Pour ne pas trop la brusquer, j’ai commencé par sa craquette, que j’ai défoncée sans merci. En même temps, je lui mettais des petites claques sur le cul, pour qu’elle comprenne bien qui était le patron. Et au cas où la leçon n’était pas rentrée, je lui ai mis mon pouce dans le derche, en faisant des petits cercles pour l’écarter.
La garce a aimé ça et s’est mise à me parler mal, comme si elle savait que je n’allais pas pouvoir me retenir. « Je la sens pas assez là, défonce-moi plus, on dirait que ta queue est trop petite… » Elle allait voir si elle ne la sentait pas assez !
J’ai écarté le cul d’Hélène bien grand et j’ai retiré ma grosse bite de sa teuch. Il y avait de la mouille partout et un filet de son jus qui reliait mon gland à son con. Ça m’a rendu ouf, alors j’ai mis mon gland mouillé dans son derche de salope.
J’ai fait quelques allers-retours dedans. On sentait qu’elle avait l’habitude, et ça m’a un peu contrarié, mais je me suis dit que je n’allais pas faire le difficile. Et puis l’heure tournait… J’ai quand même voulu terminer les choses bien, alors je lui ai fourré trois doigts dans la chatte en même temps que je la défonçais par-derrière. Elle a eu l’air toute surprise et a arrêté de râler. À la place, on n’entendait plus que ses cris de putes : « Vas-y ! Vas-y ! »
Elle a joui, mais elle est restée bien cambrée, à attendre que mon tour vienne. L’avantage des femmes qui ont de l’expérience, c’est qu’elles savent comment encaisser les bites. J’ai retiré un peu ma queue, jusqu’à ce qu’il ne reste que le gland, et je me suis astiqué en elle. Le foutre est sorti en grosses giclées. Hélène a écarté ses fesses bien grand, et j’ai pu m’égoutter dans son trou grand ouvert.
On s’est rhabillé en vitesse et on a filé ; elle dans les loges, moi sur le plateau, en faisant gaffe de ne pas me mettre du foutre sur le costard en remontant mon pantalon. Depuis, je ne sais pas trop comment Hélène m’a retrouvé, mais elle m’a ajouté sur Facebook. Je vais lui écrire et lui proposer une partie de jambes en l’air dans un endroit plus classe qu’un placard, à moins qu’elle ait envie de retourner y faire un tour.
(Photo à la une : Getty Images)
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