Ébats de jour en bas noirs
3 mai 2025Alex, 46 ans, est en déplacement, il se retrouve dans un hôtel vide. Mais une serveuse aux bas hypnotisant comblera cette solitude…et sera aussi comblée !
Alexandre nous fait part de son histoire de sexe avec une belle inconnue aux bas noirs hypnotisant.
Bonjour, je m’appelle Alexandre et j’ai 46 ans. Je suis commercial, donc souvent sur les routes. Quand j’ai vu Stéfy pour la première fois, j’étais justement en déplacement, assis à la table d’un restaurant presque vide d’un hôtel perdu en pleine campagne. Mais la seule chose que j’ai dégustée ce jour-là, c’est la demoiselle.
La belle et aguicheuse Stéphy
Stéfy est entrée en salle avec son plateau, vêtue d’un uniforme noir parfaitement ajusté qui révélait une silhouette à couper le souffle. Elle avait l’air jeune, peut-être vingt-deux ou vingt-trois ans. Une jupe un peu trop courte, des escarpins qui accentuaient la cambrure de ses jambes, et ce regard… Tout de suite, elle m’a dévisagé comme si j’étais un délicieux dessert.
Elle m’a servi mon plat (une entrecôte saignante accompagnée d’un verre de rouge) avec un sourire coquin, en sachant exactement ce que cela allait provoquer chez moi. Sous la table, je me suis mis à bander de façon incontrôlable.
Je n’ai presque rien mangé. Chaque fois que la belle passait près de moi, je la suivais du regard, hypnotisé par le mouvement de ses jambes moulées dans ses bas noirs. J’étais tellement fébrile qu’en voulant l’aider à débarrasser mon assiette, j’ai fait tomber ma fourchette. Stéfy s’est penchée, juste assez pour que j’aperçoive la limite du fin tissus maintenus par J’étais fichu.
Quand j’ai demandé l’addition, elle m’a glissé « Si vous avez besoin de quoi que ce soit d’autre, je suis là… » au creux de l’oreille. J’ai été tellement soufflé que je n’ai pas pu répondre. Mais en payant au comptoir, j’ai posé la carte qui ouvrait la porte de ma chambre en la regardant droit dans les yeux.
Dans la chambre 72
Je suis remonté, j’ai pris une douche et j’ai fermé les rideaux, avant de m’allonger sur le lit et de me caresser en pensant à Stéfy. J’espérais qu’elle monterait, mais sans trop y croire. Les images de la belle dans les positions les plus chaudes se bousculaient dans ma tête et me mettaient dans un état pas possible d’excitation, de frustration…
Quand j’ai entendu le déclic de la porte, je me suis levé d’un coup et j’ai vu sa silhouette qui se découpait dans la lumière du couloir. Sans un mot, la demoiselle est entrée et a fermé la porte.
« C’est bien ici, la chambre 72 ? », a-t-elle susurré. Je l’ai juste attirée contre moi, sans un mot. Notre premier baiser a été d’une intensité incroyable. Ma queue était tellement tendue que j’en avais mal… Heureusement, Stéfy a trouvé le chemin et a commencé à me masturber sensuellement tout en glissant sa langue dans ma bouche.
Obsession pour les bas
J’étais un peu soulagé. Elle a reculé d’un pas et a enlevé sa jupe, révélant ces jarretelles qui m’avaient obsédé. J’en ai eu le souffle coupé. Profitant de mon trouble, Stéfy s’est allongée sur le lit et s’est offerte à mon regard.
« Tu as envie de moi ? » a-t-elle demandé, plus provocante que jamais. Mes mains ont glissé le long de ses jambes jusqu’à sa jolie chatte, que j’ai commencé à fouiller de mes doigts.
Elle était trempée… J’ai pris mon temps, laissant ses gémissements monter dans la pénombre de la chambre, m’arrêtant seulement pour détacher ses jarretelles, avant d’enfoncer à nouveau mon index et mon majeur entre ses lèvres. Quand j’ai senti qu’elle était mûre, je me suis interrompu et elle a poussé un cri de frustration. Chacun son tour, ai-je pensé.
Mais Stéfy a eu sa vengeance. Elle m’a plaqué sur le lit et a englouti mon sexe, ce qui a fait monter dans ma gorge des gémissements d’animal. Je ne reconnaissais plus ma voix ! La demoiselle a alterné entre ma tige et mes bourses, qu’elle a avalées comme s’il s’agissait de bonbons… J’ai dû faire appel à tout mon self-control pour ne pas jouir sur son doux visage.
Une endurance qui m’a valu des regards d’admiration. J’ai compris que Stéfy n’en était pas à son coup d’essai et que d’autres avant moi avaient craqué bien plus tôt !
Un orgasme partagé
C’est elle qui a sonné la fin du match en se plaçant à califourchon sur moi. Comme une magicienne, elle a fait apparaître une capote qu’elle a enfilé en un clin d’œil, avant de prendre mon sexe en main et de s’embrocher lentement dessus. Nos gémissements se sont mélangés, chaque centimètre englouti entre ses jambes nous mettant dans un état de plaisir et d’excitation totalement dingue.
J’ai attrapé Stéfy par les hanches et elle a commencé à accélérer le rythme. D’abord un peu plus vite, un peu plus fort… Puis encore plus fort… Au bout de deux minutes, elle me chevauchait comme une Amazone en furie et j’enfonçais mes doigts dans la chair de ses fesses pour tenter de la contrôler. Mais impossible.
La belle est partie dans un râle qui a dû s’entendre dans tout l’hôtel et j’ai senti ma semence exploser en elle. Quand elle est retombée sur moi, j’ai senti sa vulve qui palpitait autour de ma queue et j’ai fermé les yeux, rassasié.
Quand je me suis réveillé une heure plus tard, Stéfy avait quitté la chambre. Elle avait juste laissé derrière elle ses bas, en souvenir de ce délicieux festin.